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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS


— Propos du comte de Bourmont sur Chanoine, 307. — Grève des ouvriers terrassiers ; manœuvres de Guérin, 308. — Bagarre du 2 octobre, 309. — Menace d’une grève des employés de chemins de fer,310. — Bruit d’un complot militaire, 311. — Affaire de Fachoda ; graves complications avec l’Angleterre, 312. — État lamentable de nos forces navales, 316. — XV. Instruction du capitaine Tavernier, 317. — Picquart au secret, 320. — XVI. Travaux préparatoires de la Cour de cassation ; le président Lœw, 321. — Le procureur général Manau réclame les pièces secrètes ; refus de Chanoine, 322. — Lœw confie le rapport à Bard, 323. — Articles de Drumont et de Rochefort ; Cavaignac déclare qu’il faut dessaisir la Chambre criminelle, 326. — XVII. Traîtrise de Chanoine ; il refuse de porter plainte contre les insulteurs de l’armée, 327. — Le duc d’Orléans fait savoir à Guérin que Chanoine, le jour de la rentrée des Chambres, donnera sa démission à la tribune, 328. — Les socialistes constituent un comité de vigilance, 329. — Agitation des groupes révolutionnaires et conciliabules royalistes, 331. — Buffet télégraphie au duc d’Orléans que sa présence est indispensable à Bruxelles, 332. — XVIII. Séance du 25 octobre ; les progressistes contre Brisson, 333. — Démission de Chanoine, 335. — Arrestation de Guérin, 337. — Ordre du jour sur la suprématie du pouvoir civil, 338. — Interventions du comte de Mun, de Ribot et de de Mahy, 339. — Chute de Brisson, 340. — Bagarres royalistes, 341. — XIX. Audiences solennelles de la Chambre criminelle ; rapport de Bard, 342. — Réquisitoire de Manau, 346. — Plaidoyer de Mornard, 347. — La Cour déclare recevable la demande en revision et ordonne l’enquête, 348.


CHAPITRE IV

CHAMBRE CRIMINELLE

I. Félix Faure rappelle Dupuy aux affaires, 351. — Attaques des nationalistes contre Ribot, 352. — Dupuy propose le ministère de la Guerre à Freycinet, qui se fait prier et accepte, 353. — Il élimine Ribot de sa combinaison et appelle Lebret aux Sceaux, 355. — II. déclaration ministérielle ; le « fusil » de Dupuy, 357. — Motions de Gerville Réache et de Goujon sur le dessaisissement de la chambre criminelle ; Dupuy déclare qu’il les combattra « au fond », 358. — Abandon de Fachoda, 360. — III. Premiers travaux de la chambre criminelle ; lettres d’Esterhazy sur papier pelure, 361. — Les experts en papier, 362. —