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Dufay - L’Impôt Progressif en France,1905.djvu/561
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Objections de contribuables craignant de faire connaître leurs fortunes. En Angleterre et en Amérique, elles sont publiées chaque année sans inconvénient
247
Fonctionnaires approuvant le Progressif
253
Un notaire signale la résistance probable des riches
255
Un fonctionnaire approuve la progression et regrette la difficulté d’exécution
257
Professeur, magistrats
260
M. de Resnes, adversaire intransigeant. Réponse à ses nombreuses objections
264
Objection de M. Jules Roche
368
L’échelle des riches
391
Objections d’un fonctionnaire. Il faut réprimer la richesse acquise par l’usure
397
Un économiste anonyme inféodé aux milliardaires
405
Le Polybiblion. — Société de Législation comparée. — Publications diverses voient dans le Progressif un danger d’expropriation
412
Exemple d’impôt progressif communal
425
Professeur d’économie politique
428
Fonctionnaire en retraite
434
Propriétaire rentier
435
Un notaire
437
Journal des Économistes. — M. Rouxel
439
Le suicide de la République. — M. Kergall
445
Le capital moderne remplit-il son rôle social
465
L’impôt peut contribuer à une plus équitable répartition de la richesse
469
Le travail, seule source légitime de la richesse
475
Nécessité d’affranchir le travail et d’imposer davantage la richesse
477
Sur un sermon de Bossuet
482
Prêt à intérêt. Constitutions de rentes
486
Danger de la féodalité financière
491
L’impôt sur le revenu favorise l’accroissement de la population et n’empêche pas l’accroissement de la richesse
494
Il faut déduire les dettes pour établir le chiffre de l’impôt
497
Facilité de la réforme
498
Impôt sur le revenu au
XIV
e
siècle
500