Livre:Blanquefort - Maisons de plaisir et distractions parisiennes, 1909.djvu
Titre | Maisons de plaisir et distractions parisiennes |
---|---|
Auteur | P. de Blanquefort |
Illustrateur | Léon Roze |
Maison d’édition | F. Pierre |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1909 |
Bibliothèque | Gallica |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Pages
Couv. - - - - Du même auteur titre - - 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 161 162 163 164 165 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 177 178 179 180 181 182 183 184 185 186 187 188 189 190 191 192 193 194 195 196 197 198 199 200 201 202 203 204 205 206 207 208 209 210 211 212 213 214 215 216 217 218 219 220 221 222 223 224 225 226 227 228 229 230 231 232 233 234 235 236 237 238 239 240 241 242 243 244 245 246 247 248 249 250 251 252 253 254 TdM TdM TdM TdM TdM TdM TdM TdM TdM TdM
TABLE DES MATIÈRES
PREMIÈRE PARTIE
chapitre premier
Les petites ouvrières, se rendant à leur travail, reluquent le Monsieur à la recherche d’une bonne fortune. Sourires et œillades. Le suiveur de bonne volonté ne perdra rien pour attendre
chapitre ii
La jeune ménagère de bonne volonté avec son panier à provisions. L’allumage du « miché ». La crainte du lapin. Les poires du marchand et la poire du monsieur… La femme de l’employé qui de s’ennuie
chapitre iii
La petite bonne n’est pas farouche. Pas de galette, pas de caresses. L’amour du tablier blanc. Professionnelles de l’amour déguisées en bobonnes
chapitre iv
Voilà midi ! Sortie des ateliers. Les midinettes s’en vont déjeûner, saluées au passage par des sourires et des œillades. À la crèmerie, sur le Boulevard. Les offres de ces messieurs sont rarement repoussées si elles sont faites gentiment. L’amour sans « pognon » a peu de cours à l’aube du xxe siècle ; cependant la vertu n’est pas un
vain mot
DEUXIÈME PARTIE
chapitre premier
Promeneurs et promeneuses. La dame au petit chien. Terrasses de cafés et de brasseries. Étrangers et petites dames de bonne volonté. Cent et un moyens d’entôler les naïfs. Le provincial et l’étrangère. Pickpockets en jupon. Méfiez-vous de la dame qui ne peut pas retrouver son chemin. Les alentours du Grand-Hôtel. Les passages. Les bureaux d’omnibus. Balade en sapin. On est mieux en taxi-auto
chapitre ii
De la Madeleine à la Concorde. L’avenue des Champs-Élysées. Les petites femmes du Quartier Marbeuf. Sportsmen et cocottes. La dame qui cherche son outsider
chapitre iii
Dames seules à la recherche d’un monsieur à galette. Nourrices et bonnes d’enfants. La dame avec une petite fille. Cyclistes en chaussettes et étudiantes en béret. La musique militaire
chapitre iv
L’avenue du Bois de Boulogne. Le club des panés. Équipages, autos et piétons. La grande courtisane s’étale dans sa victoria ; la débutante trotte à pied à la recherche du boyard qui lui assurera son avenir. L’allée des Acacias. Les restaurants du Bois. Le tour du lac. Dans les fourrés. Les courses de Longchamp et d’Auteuil
chapitre v
La grisette du Quartier. Mimi-Pinson et Nana-la-Vadrouille. Boul’ Mich’ et ses environs. Brasseries de femmes pour étudiants. Les débutantes de la noce débarquées de province commencent leur carrière sur la rive gauche de Paris
chapitre vi
L’amour des chiffons. Les habituées des Grands Magasins. Frôleurs et hommes à passions. La vertu est chose bien fragile en face des richesses des Grands Magasins. Les vieux marcheurs le savent et triomphent souvent des lionnes pauvres qui ne savent pas résister devant un beau cadeau
qu’elles n’ont pas le moyen de s’offrir
chapitre vii
On s’y serre, on y étouffe, on s’y pince, on s’y cajole. La petite dame pressée. La petite veuve qui passe ses journées entre la place d’Anvers et la Porte Dauphine. La femme du monde dans l’embarras. La pauvrette à qui on a fait son porte-monnaie
chapitre viii
La place Blanche et la place Pigalle. Les Boulevards
Extérieurs. Les raccrocheuses. Les grisettes de Montmartre. Le marché aux Modèles de la place Pigalle. Les hôtels à passe. L’avenue de Clichy, l’avenue de Saint-Ouen, le boulevard Barbès. Les Fortifs. Femmes d’apaches
Page:Blanquefort - Maisons de plaisir et distractions parisiennes, 1909.djvu/259 Page:Blanquefort - Maisons de plaisir et distractions parisiennes, 1909.djvu/260 Page:Blanquefort - Maisons de plaisir et distractions parisiennes, 1909.djvu/261 Page:Blanquefort - Maisons de plaisir et distractions parisiennes, 1909.djvu/262 Page:Blanquefort - Maisons de plaisir et distractions parisiennes, 1909.djvu/263
Page:Blanquefort - Maisons de plaisir et distractions parisiennes, 1909.djvu/264