Livre:Quatremère de Quincy - Essai sur la nature, le but et les moyens de l’imitation dans les beaux-arts.djvu
Titre | Essai sur la nature, le but et les moyens de l'imitation dans les beaux-arts |
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Auteur | Antoine Chrysostome Quatremère de Quincy |
Maison d’édition | Treuttel et Würtz |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1823 |
Bibliothèque | Bibliothèque nationale de France Internet Archive |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Pages
Préambule
PREMIÈRE PARTIE
DE LA NATURE DE L’IMITATION DANS LES BEAUX-ARTS.
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SECONDE PARTIE
DU BUT DE DE L’IMITATION DANS LES BEAUX-ARTS.
156 157 158 159 160 161 162 163 164 165 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 177 178 179 180 181 182 183 184 185 186 187 188 189 190 191 192 193 194 195 196 197 198 199 200 201 202 203 204 205 206 207 208 209 210 211 212 213 214 215 216 217 218 219 220 221 222 223 224 225 226 227 228 229 230 231 232 233 234 235 236 237 238 239 240 241 242 243 244 245 246 247 248 249 250 251 252 253
TROISIÈME PARTIE
DES MOYENS DE L’IMITATION DANS LES BEAUX-ARTS.
256 257 258 259 260 261 262 263 264 265 266 267 268 269 270 271 272 273 274 275 276 277 278 279 280 281 282 283 284 285 286 287 288 289 290 291 292 293 294 295 296 297 298 299 300 301 302 303 304 305 306 307 308 309 310 311 312 313 314 315 316 317 318 319 320 321 322 323 324 325 326 327 328 329 330 331 332 333 334 335 336 337 338 339 340 341 342 343 344 345 346 347 348 349 350 351 352 353 354 355 356 357 358 359 360 361 362 363 364 365 366 367 368 369 370 371 372 373 374 375 376 377 378 379 380 381 382 383 384 385 386 387 388 389 390 391 392 393 394 395 396 397 398 399 400 401 402 403 404 405 406 407 408 409 410 411 412 413 414 415 416 417 418 419 420 421 422 423 424 425 426 427 428 429
Table des matières
ESSAI
SUR
LA NATURE, LE BUT ET LES MOYENS
DE LIMITATION
DANS LES BEAUX-ARTS.
PAR M. QUATREMERE DE QUINCY.
PARIS,
TREUTTEL ET WÛRTZ, LIBRAIRES, RUE DE BOURBON , N° 17 ;
À STRASBOURG ET À LONDRES,
MÊME MAISON DE COMMERCE.
1823.
TABLE
DES PARAGRAPHES
CONTENUS DANS CET OUVRAGE.
PREMIÈRE PARTIE.
DE LA NATURE DE L’IMITATION DANS LES BEAUX-ARTS.
Paragr. I. Définition du principe élémentaire de l’imitation dans les beaux-arts.
Paragr. II. De Fidée qu’il faut se former de la ressemblance dans l’imitation propre des beaux-arts.
Paragr. III. Que la ressemblance qu’il est donné à chaque art de produire, ne peut être que partielle.
Paragr. IV. Que les conséquences de la définition et des notions précédentes, s’appliquent à la poésie, comme à la peinture.
Paragr. V. De la réalité des séparations placées par la nature entre les arts de la poésie, comme entre ceux du dessin.
PREMIÈRE PREUVE
Tirée de la diversité des facultés de l’âme et de la diversité des Qualités des objets imitables.
Paragr. VI. Suite du même sujet.
SECONDE PREUVE
Tirée du principe de l’unité de l’âme et de l’unité de son action,
d’où résulte le principe d’unité imitative, et dés-lors celui des séparations établies entre tous les arts.
Paragr. VII. De l’unité et de la variété imitatives. Des fausses notions qui résultent du malentendu de ces mots.
Paragr. VIII. De la nature et de l’esprit des réunions qui ont lieu entre plusieurs arts concourant à un ouvrage commun, qu’on peut appeler d’assemblage.
Paragr. IX. Des moyens erronés par lesquels on détruit la vérité imitative de chaque art, en voulant la compléter ou l’accroître.
PREMIERE ERREUR DE L’ARTISTE.
Elle consiste à chercher au-delà de son art un surcroît de ressemblance imitative dans les ressources d’un autre art.
Paragr. X. Continuation du même sujet.
SECONDE ERREUR DE L’ARTISTES.
Elle consiste à chercher la vérité en-deçà des limites de chaque art, par en système de copie servile, qui enlève à l’imitation ou à l’image, cette partie fictive qui en fait l’essence et le caractère.
Paragr. XI. Qu’il faut reconnoître dans chaque art quelque chose de fictif quant à la vérité, et quelque chose d’incomplet quant à la ressemblance.
Paragr. XII. Que ce qu’il y a de fictif et d’incomplet dans chaque art, est précisément ce qui le constitue art, et devient le ressort même du plaisir de l’imitation.
Paragr. XIII. Comment et avec quoi chaque art corrige ce qu’il y a de fictif en lui et compense ce qu’il a d’incomplet.
Paragr. XIV. De l’illusion dans les œuvres de l’imitation.
Paragr. XV. Que le plaisir de l’imitation peut se mesurer sur la distance qui, dans chaque art ou mode imitatif, et dans l’ouvrage de chacun, sépare les éléments du modèle des éléments de l’image.
Paragr. XVI. Que le rang assigné par l’opinion générale aux différents arts entre eux, semble confirmé par cette théorie, et la confirme.
Paragr. XVII. Que le résultat des notions et des faits qui précédent, nous conduit à reconnoitre ce qui doit être le véritable but de l’imitation.
SECONDE PARTIE.
DU BUT DE L’IMITATION DANS LES BEAUX-ARTS.
Paragr. I. Que plaire est l’objet de l’imitation. — Des deux genres de plaisir qu’elle produit. — Lequel des deux est son but.
Paragr. II. Comment, selon l’esprit de cette théorie, on doit entendre l’idée de réalité ou d’identité dans l’imitation, et celle du plaisir qui en résulte.
Paragr. III. De la supériorité du plaisir de l’esprit dans l’imitation, sur celui qui ne s’adresse qu’aux sens.
Paragr. IV. Ce que c’est que l’imitation dont on ne peut pas montrer le modèle, et quel nom on lui donne.
Paragr. V. De l’idéal. — Définition de ce mot. — Du sens qu’on doit y attacher.
Paragr. VI. Que l’imitation idéale procède d’une étude généralisée de la nature.
Paragr. VII. De l’infériorité des ouvrages de l’art comparés à ceux de la nature, s’il n’a recours au modèle idéal de l’imitation.
Paragr. VIII. Continuation du même sujet.
Paragr. IX. En quoi l’œuvre de l’imitation peut surpasser l’ouvrage de la nature.
Paragr. X. De la cause originaire qui introduisit en Grèce et y perpétua le style idéal dans les œuvres de l’art.
Paragr. XI. Caractère de l’idéal démontré et rendu sensible dans les ouvrages de l’art antique.
Paragr. XII. Que la notion de l’idéal, telle que cette théorie la donne, est d’accord avec celle qu’en ont donnée les écrivains de l’antiquité.
Paragr. XIII. Que l’idéal dans la théorie ne doit être expliqué qu’à l’intelligence, et ne peut l’être que par l’analyse rationnelle.
TROISIÈME PARTIE.
DES MOYENS DE L’IMITATION DANS LES BEAUX-ARTS.
Paragr. I. Ce qu’il faut entendre par moyens de l’imitation, selon l’objet et l’esprit de cette théorie.
Paragr. II. De ce qu’on appelle convention, entendue comme moyen d’imitation. — Des conventions pratiques et des conventions théoriques.
Paragr. III. Des conventions poétiques, ou des moyens généraux et communs à tous les arts y qu’emploie l’imitation pour parvenir à l’idéal.
Paragr. IV. De l’action de généraliser considérée comme moyen de parvenir à l’imitation idéale — dans les ouvrages de la poésie.
Paragr. V. De l’action de généraliser dans les ouvrages des arts du dessin — et dans l’imitation du corps humain.
Paragr. VI. De ce qu’on appelle choix de formes et réunion de beautés éparses, dans les outrages de l’art. — Analyse de ces deux notions.
Paragr. VII. De l’action de transformer ou de transposer considérée comme moyen de l’imitation idéale soit dans les inventions de la poésie, soit dans les formes de son langage.
Paragr. VIII. Sur la diversité d’emploi des moyens métaphoriques, selon la différence des arts. — Des méprises qui ont lieu en ce genre, sur-tout dans les arts du dessin.
Paragr. IX. De l’action de transformer et de transposer, considérée comme moyen d’imitation idéale dans les arts du dessin.
Paragr. X. De l’action de transformer par le style de composition historique.
Paragr. XI. De l’action de transformer ou de transposer par le style de composition allégorique.
Paragr. XII. De quelques convenances à observer dans la composition allégorique.
Paragr. XIII. Pourquoi l’emploi de l’allégorie moderne a moins de valeur et fait moins d’effet en poésie qu’en peinture.
Paragr. XIV. De l’action de transformer les sujets et les personnages par l’effet de la composition symbolique.
Paragr. XV. Pourquoi la métaphore symbolique a peu de valeur en poésie.
Paragr. XVI. Sur quelques moyens poétiques exclusivement propres des arts du dessin. — De la nudité poétiquement considérée.
Paragr. XVII. Continuation du même sujet. — De l’ajustement idéal ou des costumes et habillements antiques transportés dans les sujets modernes.
FIN DE LA TABLE.