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Les Romains, plus excusables dans leurs cruautés, que ne le sont les Français.

L’Assemblée Nationale agissant plus tyranniquement que Henri VIII. — Tournure qu’il se crut obligé de donner à ses opérations contre le clergé.

L’état de la France exigeait-il cette injustice ? Ce qui se pratiquait, relativement aux impositions, dans les deux premiers Ordres.

La vente des biens du clergé, considérée comme un moyen d’assurer la durée de la révolution.

Moyens adroits de ceux qui conduisent ces opérations.

Examen du Gouvernement démocratique.

Ce qu’était la monarchie française.

Que le règne de Louis XVI avait été, plus qu’aucun autre, marqué par l’amour du bien et des réformes.

État actuel de la France.

Injustice à l’égard de la noblesse, d’après l’examen de sa conduite respective, dans son propre ordre ; et relative, quant aux autres — Ce qu’il y avait a lui reprocher.

Même examen du clergé.

Conséquences des punitions infligées, dans un temps, à un corps collectif, pour les fautes commises longtemps avant dans ce même corps.

Danger des fausses applications des leçons de l’histoire.

Ce que l’auteur peut dire du clergé de France, d’après lui-même.

Conclusion de tout ce qui a été dit sur le clergé, ainsi que sur ce qu’on a fait à son égard.

Objection et réponse sur l’opinion que l’on pourrait supposer à l’Angleterre, sur ce qu’on a fait en France, par rapport au clergé.

Sur la tolérance, et suite de l’article précédent.

Respect dû à la prescription.

Qu’y a-t-il de politique dans la destruction des ordres religieux.

Principes sur les avantages que l’on peut retirer des établissemens publics, et leurs conséquences à l’égard de ceux du clergé.

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