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Livre:Leibniz - Réfutation inédite de Spinoza.djvu

-INÉDITE lJIî SPINOZA
+INÉDITE DE SPINOZA
-LEIBNIZ
+LEIBNIZ PRÉCÉDÉE D’UN MÉMOIRE PAR A. FOUCHER DE CAREIL. {{—}} PARIS. — 1854.
-AVANT-PROPOS. La
+{{t3|{{uc|Avant-propos.}}|m=3em|fs=150%}} La
-qui seulève celle
+qui soulève celle
-de MM. Trendelenhurg, Erdmann,
+de {{MM.}} Trendelenburg, Erdmann,
-ce délaat. M. Schulze,
+ce débat. {{M.}} Schulze,
-à Gœttiugue, avait,
+à Gœttingue, avait,
-fait Connaître- dès 1830, (tans la Revue Sa» vante de Gœttingile, les
+fait connaître dès 1830, dans la Revue Savante de Gœttingue, les
-marginales (Pun
+marginales d’un
-exemplaire (le Spinoza, conserve à Ilanovre, annoté
+exemplaire de Spinoza, conservé à Hanovre, annoté
-ne vout point au-delà (le 1a première
+ne vont point au-delà de la première
-Leibniz ifavait pas
+Leibniz n’avait pas
-moins étudie les autres. M. Trendelenburg,
+moins étudié les autres. {{M.}} Trendelenburg,
-de PÉthiqile de
+de l’Éthique de
-la 3° à la 5° partie. M. Erdniann, dans
+la 3e à la 5e partie. {{M.}} Erdmann, dans
-des BËÊPHÎÏS de
+des extraits de
-Enfin, M. Guhrauer
+Enfin, {{M.}} Guhrauer
-la Predestination et
+la Prédestination et
-lecture (Faucun des
+lecture d’aucun des
-x à
+à
-comme Hohhés et
+comme Hobbes et
-contradictions. M. Schulze
+contradictions. {{M.}} Schulze
-première liartie de PÉthique, et cependant M. Trendelcnhurg citait la 3°, la 4° et la 5°. De
+première partie de l’Éthique, et cependant {{M.}} Trendelenburg citait la 3e, la 4e et la 5e. De
-côté, M. Guhrauer reprenait M. Erdmann
+côté, {{M.}} Guhrauer reprenait {{M.}} Erdmann
-effet, M. Erdmann,
+effet, {{M.}} Erdmann,
-démontrer 1’iufluence de Spiuoza sur
+démontrer l’influence de Spinoza sur
-de Léibniz, iuti- ‘ tulé :
+de Leibniz, intitulé :
-Vita Beala, composé,
+Vita Beata, composé,
-De Emmadatiotze Intelleclus. Il
+De Emendatione Intellectus. Il
-a Œapprochantes. Mais il avait
+a d’approchantes. Maisil avait
-’t lr sulterDescartes, où
+sulter Descartes, où
-que FÉthique étant
+que l’Éthique étant
-que Lcihniz ait
+que Leibniz ait
-de (létails écartées, (3e qui
+de détails écartées, ce qui
-de PÉthique faits
+de l’Éthique faits
-de PÉthique, ou
+de l’Éthique, ou
-Nous Poffrons aux
+Nous l’offrons aux
-de PEntendement, les
+de l’Entendement, les
-donc Leihniz connaît
+donc Leibniz connaît
-réfuter ; donc Leihniz n’est
+réfuter donc Leibniz n’est
-quelle estla date
+quelle est la date
-de cetecrit, on
+de cet écrit, on
-assez de. certitude entre 4’706 et 4’710. En
+assez de certitude entre 1706 et 1710. En
-qu’en 4’740, et
+qu’en 1710, et
-à nolre manuscrit, où Leihniz paraît
+à notre manuscrit, où Leibniz paraît
-de Vl/achter, et
+de Wachter, et
-qu’en 1706, c’est
+qu’en 1706 c’est
-de Fllarinonie préétablie.
+de l’Harmonie préétablie.
-de Leihniz, en
+de Leibniz, en
-de Flylthirlue est
+de l’Éthique est
-Or, (les 1672,
+Or, dès 1672,
-sur Fidée fondamentale (le la
+sur l’idée fondamentale de la
-le joug‘ du nmître pour
+le joug du maître pour
-celui Cfinn disciple
+celui d’un disciple
-En 1573, nous
+En 1673, nous
-possession (Tune autre
+possession d’une autre
-plus Lard la
+plus tard la
-Enfin, l’Étliique paraît,
+Enfin, l’Éthique paraît,
-le 4 “Y décembre 4 679‘ ? « J e Voudrois savoir
+le 1er décembre 1679 ? « Je voudrois savoir
-feu M. Spinoza.
+feu {{M.}} Spinoza.
-un ziutre de
+un autre de
-mot : «
+mot «
-je ufetonne. n Hunovro, 25 octobre 1853.
+je m’étonne. » Hanovre, 25 octobre 1853
-INÉDITE SPINOZA
+INÉDITE DE SPINOZA
-sur Leihniz ;
+sur Leibniz ;
-les misons dans l’avant propos. Je
+les raisons dans l’avant-propos. Je
-la traæ ce (Tune réaction
+la trace d’une réaction
-Spinoza. Tarrive donc
+Spinoza. J’arrive donc
-la félicitation de
+la réfutation de
-par Leihniz dans
+par Leibniz dans
-sembler radi 1 Voir
+sembler radi- Voir
-u cale et nïätre que
+cale et n’être que
-; on lui conteste
+; onlui conteste
-comme dhprès l’hypothèse
+comme d’après l’hypothèse
-de l’Ethique, la
+de l’Éthique, la
-sont. (Ïest là ce que j’appellerais volontiers
+sont. C’est là ce quej’appellerais volontiers
-et dest la
+et c’est la
-seconde méthode, moins
+seconde méthode moins
-mais (lcmande plus (l’étude et
+mais demande plus d’étude et
-critiquer chaqute Proposition,
+critiquer chaque Proposition,
-l’être ; il
+l’être il
-fonde : à
+fonde à
-Spinoza : cŸost là le eôté original,
+Spinoza c’est là le côté original,
-son oeuvre, celui
+son œuvre, celui
-restituer. Enfin, bien quïmulysant minutieusement et airec détail,
+restituer. Enfin bien qu’analysant minutieusement et avec détail,
-IIl vrai
+vrai
-par Texcès de
+par l’excès de
-? Est— il au-dessous de 1a vérité
+? Estil au-dessous de la vérité
-le licu de
+le lieu de
-sincère : ce
+sincère ce
-renferment. Évidemment Leibniz
+renferment. Evidemment Leibniz
-à Voir le jour. Ce n’est pas
+à voir le jour. Cen’est pas
-do Deo, en
+do Deo en
-partie del’Etl1ique renferme
+partie de l’Éthique renferme
-la 13“ de l’Ethique ;
+la 1 3ede l’Éthique ;
-douze premièresil ne
+douze premières il ne
-approuve, niais il
+approuve, mais il
-s’y ‘rattachent pitoyables
+s’y rattachent pitoyables
-but (l’établir : il° Qu’iln’y a
+but d’établir 1° Qu’il n’y a
-; 9° Que Pexistonco appartient
+; 2° Que l’existence appartient
-nature ; 3° Qlÿelle est
+nature 3° Qu’elle est
-; in Quïine substance
+; 4° Qu’une substance
-dans une lettre ÊIHIIgEHS, leur
+dans unelettre à Hugens, leur
-et très-fonde de
+et très-fondé de
-substance, qu’olles doivent. expliquer ; et il n’admet pas
+substance, qu’elles doivent expliquer et il n’admet, pas
-de lithique. Après avoir pose la
+de l’Éthique. Après avoir posé la
-en "déduit les
+en déduit les
-a (Yautantplus Uêtre qu’elle
+a d’autant plus d’être qu’elle
-plus 1 Voir Lûlbtllt. Ed. Erdmunn, p.
+plus Voi Leibniz. Ed. Erdmann, p.
-V grand
+grand
-(Prop. 1X). Ils
+(Prop. IX). Ils
-V) définie, niais totale.
+V) définie mais totale.
-qu’enseignait Descurtes, dans
+qu’enseignait Descartes, dans
-trop : car
+trop car
-Dieu, dest-à-dire dans lTître absolu et par-l’ait des
+Dieu, c’est-à-dire dans l’Être absolu et parfait des
-telles (pie la
+telles que la
-ses 1ierfecticns, altérer
+ses perfections, altérer
-simplicité, etcela, comme
+simplicité, et cela, comme
-une inmë gination grossière
+une imagination grossière
-les (dangereuses conséquences.
+les dangereuses conséquences.
-la peusée est
+la pensée est
-de l’imperfection et comme Llépouillee de raison. r Oui,
+de 1 imperfection et comme dépouillée de raison. « Oui,
-cela if empêche pas
+cela n’empêche pas
-s’élève ail-dessus de
+s’élève au-dessus de
-divisible eL finie, de
+divisible et finie de
-de PÉternité et de Plnfinité. Quant
+de l’Éternité et de l’Infinité. Quant
-saurait Paltérer. »
+saurait l’altérer. »
-ici qu’. vec une
+ici qu’avec une
-sa Inétaphysique sur
+sa métaphysique sur
-l’étendue : Ce
+l’étendue Ce
-qu’il venille faire
+qu’il veuille faire
-Dieu 1. Mais, d’abord, l’étendue nest pas
+Dieu Mais, d’abord, l’étenduen’est pas
-chose «Tincomplet, une
+chose d’incomplet, une
-: Juvocpuxèv arpälov, vrofizfllxôv «F5701 : Ôwcxäzflsrov, ce
+: texte=δυναμιϰὸν πρῶτον, παθητιϰὸν πρῶτον ὑποϰέιμενον|trans=dunamikon prôton, pathêtikon prôton hupokeimenon, ce
-j’appelle : fllcztière rentière. Est-ce
+j’appelle Matière première. Est-ce
-a le réponds que l’éteu— 1 Voir Sahel. de
+a Je réponds que l’éten- Voir Schol. de
-et Letlre 72,
+et Lettre 72,
-il avcue {qu’il n n pas
+il avoue qu’il n’a pas
-pu mettra.- en erdre ses
+pu mettre en ordre ses
-vu due,
+due,
-si 1’on veut 1a matière
+si l’on veut la matière
-choses eu tant
+choses en tant
-de tresvil qui
+de trèsvil qui
-telle cl1ose ne
+telle chose ne
-abstraction. n» Ceux. qui Veulent qu’une
+abstraction. » Ceux qui veulent qu’une
-renversent Perdre des paroles aussi. bien
+renversent l’ordre des paroles aussi bien
-étendu, dest-à-dire une substance a laquelle
+étendu, c’est-à-dire une substance à laquelle
-la matière‘ ?
+la matière ?
-alors C011]-
+alors com-
-vIu ment
+ment
-et Pindivisibilité ‘f Elle est une, dites-vous : mais
+et l’indivisibilité ? Elle est une dites-vous mais
-parties, où elle
+parties, ou elle
-divisible : est-Ce pour
+divisible est- ce pour
-choses quelle répète.
+choses qu’elle répète.
-répétition Llansïespaee et
+répétition dans l’espace et
-temps. (Yest une
+temps. C’est une
-; (‘Îest quelque
+; c’est quelque
-de passif’, vous
+de passif, vous
-de (diffusion de la (livinite, tandis
+de diffusion de la divinité, tandis
-Schol. (le la
+Schol. de la
-l’entendement : la
+l’entendement la
-que Pinragination nous
+que l’imagination nous
-indivisible a l’aide de Fenton-
+indivisible à l’aide de l’enten-
-les modes ; Leibniz,
+les modes. Leibniz,
-a {l’étrange à
+a d’étrange à
-divisible : mais
+divisible mais
-peut, àlaide de
+peut, à l’aide de
-termes : Vous
+termes « Vous
-Dieu on la
+Dieu ou la
-est indivisible, donc
+est indivisible donc
-quantité lest aussi.
+quantité l’est aussi.
-et mémé il
+et même il
-s’agit (le la memière, elle est ac-tu tellement sorts-divisée en une infinité de parties. Je dis zmc infinité’parce qu’i l n’y
+s’agit de la première, elle est actuellenientsous- divisôe en uneinfinité departies. Je dis une infinité parce qu’il n’y
-cette Llivision et
+cette division et
-déclarer Findivisihilité. Entendez-vous parler
+déclarer l’indivisibilité. Entendezvous parler
-contraire (le la seconde, c’esta(lire de
+contraire de la seconde, c’està- dire de
-idéale : elle
+idéale elle
-à Finfiui. Prenons
+à l’infini. Prenons
-quantité (le la matière : comme Deséartes et
+quantité de la matière comme Descartes et
-pas do raison
+pas de raison
-X conclure
+conclure
-infinie : j’en
+infinie j’en
-divisible ‘. En
+divisible En
-actuelle ; dans
+actuelle ;i dans
-divisibilité. Ce ne peut
+divisibilité. Cene peut
-connue. a» Les
+connue. » Les
-voient la une
+voient là une
-mathématiques ala métaphysique : c : Pour Spinoza, nous
+mathématiques à la métaphysique « PourSpinoza, nous
-l’infini. (Yest précisément
+l’infini. C’est précisément
-par Leihniz. n lln’y a
+par Leibniz. » Il n’y a
-malheur : il esl ; bien
+malheur il est bien
-l’infini, destlïndéterrniné. Loibniz le
+l’infini, c’est l’indéterminé. Leibniz le
-fine 1 Neus nous
+fine Nous nous
-cette epinien de
+cette opinion de
-paraissent centre dire les résultats acquis
+paraissent contredire les résultais acquis
-science. Neus insistons
+science. Nous insistons
-un peint : c’est quïzlle contredit certainement Pepînien de Spinoza,
+un point : c’est qu’elle contredit certainement l’opinion de Spinoza.
-XI et
+et
-l’étendue : quand
+l’étendue quand
-et (Tincomplet, une
+et d’incomplet, une
-pas l’infini. Or,
+pas l’Infini. Or,
-en taire un
+en faire un
-absolue. Maintient-fila distinction
+absolue. Maintient-il la distinction
-manière (l’être : in certo enlis génére consistât :
+manière d’être in certo eniis génère consislit :
-Cartésien, niais il doit Vôtre jusqu’au
+Cartésien, mais il doit l’être jusqu’au
-contraire, a force d’indétermination, ‘faire entrer Petendue dans
+contraire, à force d’indétermination, faire entrer l’étendue dans
-évanouir ; alors
+évanouir alors
-plus Cartesien, mais
+plus Cartésien, mais
-cet attri Abut qui l’exprime rien
+cet attribut qui n’exprime rien
-; un être
+; im être
-xu Telles
+Telles
-avait deux’attributs qui Pexpriment. L’un
+avait deux attributs qui l’expriment. L’un
-tombé, feutre demeure.
+tombé, l’autre demeure.
-de Fétentlue. Spinoza,
+de l’étendue. Spinoza,
-monde ; et
+monde et
-demandez ; La
+demandez La
-Si 1’on cherche
+Si l’on cherche
-la Création, (‘Îest évidemment (le reléguer
+la création, c’est évidemment de reléguer
-principe : Eœiziltilo nihil.
+principe Exuihilo nihil.
-fameux Scholie- de 1a Proposition XV, qui, en
+fameux Scholie de la Proposition XV, qui en
-en menue temps
+en même temps
-et Peflort du
+et l’effort du
-ex nilæile reihil est
+ex nihilo nihil est
-xu ! essentiellement
+essentiellement
-toute l’antiquité-païenne pour
+toute l’antiquité païenne pour
-et Péternité du
+et l’éternité du
-en effet, est tiré c|.e la loi même qui
+en effet est tiré de la loi môme qui
-la na« ture, où
+la nature, où
-germe. (Ïest donc
+germe. C’est donc
-spectacle (les causes
+spectacle des causes
-qui d’ai]lei1rs ne
+qui d’ailleurs ne
-Leibniz ‘met au
+Leibniz met au
-Mais comment‘ Spinoza,
+Mais comment Spinoza,
-ne Veut pas
+ne veut pas
-que Pexpèrience seule
+que l’expérience seule
-être suggéré que par
+être suggéréque par
-des causes secondes dont
+des causessecondes dont
-passer ‘f Evidemment,
+passer ? Evidemment,
-sa lméthode, que
+sa méthode que
-il revint à
+il revînt à
-: 11 transforme ce principe ‘, il
+: il transforme ce principe’, il
-principe, que lui fournit
+principe, quelui fournit
-et ille formule ainsi : c : Tout
+et il le formule ainsi « Tout
-Dieu, (Test-àdire Dieu renferme Petre et Pidée de chaque chose.» Üest la
+Dieu, c’est-àdire Dieu renferme l’être et l’idée de chaque chose. » C’est la
-pas ; n : Tout est de
+pas « Toutest de
-ex Deo, c’est-à-dire Dieu
+ex Deo c’està- dire Dieu
-in D90. Dieu renferme [être et
+in Deo.Dieu renferme l’être et
-sa Lettre XIX.
+sa LettreXIX.
-xv chaque
+chaque
-et disserte les
+et disserté les
-savante : la
+savante la
-une Vérité éternelle
+une vérité éternelle
-en infirmeries conséquences
+en infirmer les conséquences
-c’est (l’expliquerl-a dépendance
+c’est d’expliquer la dépendance
-dépendance, cette action, à
+dépendance, celte action à
-manière ; le panthéisme a la sienne ; le
+manière le panthéisme à la sienne le
-chose : Spinoza,
+chose Spinoza,
-qu’en vertu de
+qu’en vettu de
-principes : ou
+principes ou
-XVJ rappelée
+rappelée
-lui : Eau vzilzilo mlzil, ou
+lui Ex nihilo nihil, ou
-transformé, (levenu une vérité ration elle à
+transformé, devenu une vérité rationelle à
-la formule même du par théisrne : Dieu reaz/‘cr-nze ferre et Futée de chaque
+la formulemême du panthéisme Dieu renfermel’être et l’itlée (le chaque
-applicable quïmx choses
+applicable qu’aux choses
-qu’il enlploic dans l’Ethique, il
+qu’il emploie dans l’Éthique, il
-tort (l’appliquer aux
+tort d’appliquer aux
-s’applique quîä Dieu et austérités éternelles infinies. Leihniz s’attache
+s’applique qu’à Dieu et auxvérités éternelles infinies. Leibniz s’attache
-la lausse application
+la fausse application
-individuelles ; il
+individuelles il
-Bien loin" d’y ‘voir une
+Bien loin d’y voir une
-étaient (Fabord arrivent d’existence réelle
+étaient d’abord arrivent à l’existence réelle
-auteur ; elles
+auteur elles
-xvu losophiques
+losophiques
-Platon ; elles
+Platon elles
-choses coûternelles à Dieu,
+choses coéternelles a Dieu,
-choses l’existence.
+choses à l’existence.
-Spinoza zqïiplique à tout,
+Spinoza applique a tout,
-et finis, à
+et finis à
-axiome z que ‘ÜÆSSBIZCG de
+axiome : que l’essence de
-chose l’en/brins son âtre et son
+chose renferme son cire el son
-gratuitement Fideutité des
+gratuitement l’identité des
-idenques ; elles
+idenques elles
-la Pmp. Xleel axiome que Spinom paraît désavouer lui appartient en propre ; car après l’avoir rejeté en commençant, il y revient en finissant. Voir Prop. X. p. 2. 2
+la Prop. X.oeLaxiomqeueSpinozpaaraît désavouelrui appartienetnproprec ; araprèsl’avoirrejetéen commençainlty, revienetnfinissanVt.oirProp.X.p. 2.
-xvm ne
+ne
-Dieu. Uessence est
+Dieu. L’essence est
-de Pexislzence est
+de l’existence est
-et Findivitiu ;
+et l’individu ;
-général ; mais
+général mais
-première nïaxptrime que
+première n’exprime que
-du inonde, nié
+du monde, nié
-passer ‘. (‘Rest pour
+passer 1. C’est pour
-1 sans doute Spinez-i connaissait
+1 Sans doute Spino/.i connaissait
-particulier. Il Fénnnce dans
+particulier. l’énonce dans
-il Fa méconnue dans le Scholiede la Prop. XV,
+il l’a méconnue dans Je Scholie de la Piop. XV,
-dans toute FEthique ;
+dans toutete l’Éthique ;
-rétablir cuntm lui.
+rétablir contre lui.
-XIX compris
+compris
-continuellement a faux Faxioine que Fessence de la clause ami/brute son
+continuellement à faux l’axiome que l’essence de la clwserenferme son
-faux on du
+faux ou du
-il sïxgit des
+il s’agit des
-espèces fils ne
+espèces ils ne
-ne sont. donc
+ne sont donc
-la Ineme nécessite cause
+la même nécessité cause
-est (distincte de
+est distincte de
-d’agir. n La
+d’agir. » La
-de Dirau dans
+de Dieu dans
-dit Leihniz, parlant
+dit Leibniz, parlant
-xx qu’il laisse en tendre qu’il 1ie1’est pas
+qu’il laisse entendre qu’il ne l’est pas
-mais a cause (le raisons inclinant os ou prévalent es. Quand bien Inénie on
+mais à cause de raisons inclinantes ou prévalentes. Quand bien même on
-autrement, mais il ne
+autrement, maisil ne
-(non émoi facturus). »
+(non éradfacturas). »
-existences. (Test une
+existences. C’est une
-renouvelés, sîy montrent
+renouvelés, s’y montrent
-reconstituer son idéal. Leibniz
+reconstituer sonidéal. Leibniz
-cachées on retranchant
+cachées en retranchant
-de paraître. On
+de parattre. On
-de Pininiobile unité,
+de l’immobile unité,
-lui, (‘Îest de Fanlhropornorplusme tout
+lui, c’est de l’anthropomorphisme tout
-XXI efïbt, son Dieu, réglé
+effet, son Dien, réglé
-saurait Yaccuser de
+saurait l’accuser de
-qui Va] au
+qui va au
-volonté, (ÿest pour
+volonté, c’est pour
-Dieu qlfon ferait
+Dieu qu’on ferait
-la Volonté qui constitueraient l’essence (le Dieu if auraient pas
+la volonté qui constitueraientl’essenco de Dieu n’auraient pas
-à leu l’intelligence et
+à leur intelligence et
-aboyant. Ni la volonté, ni Pintelligenco nhpparticiiilent à
+aboyant. Nila volonté, ni l’intelligence n’appartiennent à
-Leibniz ex‘ prime merveilleusement. Spinoza, (lit-il, cherchait
+Leibniz exprime merveilleusement. « Spinoza, dit-il, cherchait
-Dieu tilt déterminé
+Dieu fiit déterminé
-la nécessite de
+la nécessité de
-le den 1i-cercl0 est
+le demi-cercle est
-lui-même c1u’il
+lui-même qu’il
-xxu y
+y
-la Tl1éo(licée l’apparente
+la Théodicée l’apparente
-trouve : Cogilationenz mm inlcllcclunz caazcedil Deo. Dans larefutation, il
+trouve Cogilationem non inlelleclum concedit Deo.Dans laréfutation, il
-plus aux textes. Par
+plus auxtextes. Par
-de la Prop. XVII, p. 4, Spinoza
+de laProp. XVII, p. 4 Spinoza
-Dieu Fmtendenzent ;
+Dieu l’entendement ;
-la Prop.l de la ä“ partie,
+la Prop. 1 de la partie,
-la pmzsée. Wachter ‘ prétendait
+la pensée. Wachter’ 1 prétendait
-Dieu : l’un,
+Dieu l’un,
-dont Spinoza ne veut pas 5 Feutre, qui
+dont Spinozane veut pas l’autre, qui
-est persuade que
+est persuadé que
-le Verbe ou
+le verbe ou
-pas (Fafiirmer qu’il
+pas d’affirmer qu’il
-a la aux
+a là aux
-sans 1 Voir pour Waehler la
+sans Voir pour Wachter la
-xXIn comprendre
+comprendre
-comment : la
+comment la
-cartésien, cogitation est
+cartésien, cogitatio est
-Tant quelle ne
+Tant qu’elle ne
-savoir (intellect us). Ne recevant aucnnc forme,
+savoir (intellectus). Ne recevant aucune forme,
-la sagesse. Il peut
+la sagesse.Il peut
-bien. À ce degré
+bien. Ace degré
-est natte-rame, dest-à-dire libre ‘. Entendez-vous
+est naturante, c’est-à-dire libre. Entendez-vous
-la pensée, et
+la pensée et
-sortes : l’intellect en estune, la
+sortes l’intellect en est une, la
-est amturée, dest-à-dire nécessaire
+est nalurée, c’est-à-dire nécessaire
-fatale. Sinous traduisons
+fatale. Si nous traduisons
-moins barbare cette
+moins barhare cette
-de l’Ethique, toujours
+de l’Éthique, toujours
-signifie : Dieu
+signifie Dieu
-XXIV pensée
+pensée
-conscience (Telle-même (ce
+conscience d’elle-même (ce
-de Descartes)‘. l)ans cet
+de Descartes). Dans cet
-bornes : elle
+bornes elle
-comme l’océan. Si
+comme l’Océan. Si
-d’elle-même, dest-a-dire les
+d’elle-même, c’est-à-dire les
-particulières, etc., ’etc., tout
+particulières, etc. etc., tout
-n’est quïine suite
+n’est qu’une suite
-pensée ifest plus
+pensée n’est plus
-de la que,
+de là que,
-infinie s’annulc, et
+infinie s’annule, et
-reste c1u’un nionde nécessaire. La nécessité (les choses, tel
+reste qu’un mondenécessaire. La nécessité des choses tel
-la ïlléodicée de Spinoza : n J’ai
+la Théodicée de Spinoza « J’ai
-pas en vertu Œune volonté
+pas on vertu d’une volonté
-infinie PUÎSSfiBCG. » 1 COgHUÎËDTIÎS nomine inlelligo illa omnia (une nobis cnnsciis in nobis sunt, quulonns coi-nm in nohis Eûîlsüifllllïfl est. Vnir aussi les Lellrcs 27 et 1 :1 de Spin.
+infinie puissance. » 1 Cogitationis nomineintelligiollaomniaquoenobisconsciis innobissunt, qualcnucsorutninnobisconscienleisat.Voiarussi lesLettres27ei/ji deSpin.
-XXV Leibniz,
+Leibniz,
-de l’er1‘eur et
+de l’erreur et
-se niélent dans
+se mêlent dans
-conclusion. m Il
+conclusion. « Il
-par 11110 volonté
+par une volonté
-raisons, volmztate rationzîbus tn-rtixa. n Mais
+raisons, vohmtate rationibus innixa. » Mais
-que Dieu fasse aucun
+que Dienfasse aucun
-» a Entre
+» « Entre
-libre. n Telle
+libre. » Telle
-enlevé Fintelligence et
+enlevé l’intelligence et
-à s’a1‘l’ermir de
+à s’affermir de
-XXVI turque.
+turque.
-a tâche de
+a tâché de
-encore : le préjugé (les causes
+encore le préjugé des causes
-finales ‘. c J’avoue,
+finales l. « J’avoue,
-volonté iudife férente, et
+volonté indifférente, et
-celle qui t’ait agir
+celle qni fait agir
-arrivait àlïdentite du
+arrivait à l’identité du
-parfaitement que Spinoza les ait
+parfaitement queSpinozales ait
-comme des compagnies importunes
+comme descompagnes importunes
-Mais cedédain des causes ñualcs sans
+Mais ce dédain des causes finales sans
-ne decélait de
+ne décélait de
-1 Voir Schol. 11 de la Prop. XXXHI etrnppendiee do la première parlie.
+1 VoirSchol1.1dela PropX. XXIIeItl’appendicdeelapre» mièrepartie.
-XXVll savoir.
+savoir.
-Et coInme elle
+Et comme elle
-adresses : et,
+adresses et,
-de Tlnfini, on
+de l’Infini, on
-l’on 11e sait Inanier une
+l’on ne sait manier une
-était entre Spinoza
+était entré Spinoza
-découvertes : « Spi110za est
+découvertes «Spinoza est
-à Fabhé Galloys,
+à l’abbé Galloys,
-je lny ai
+je luy ai
-qu’une meule chose
+qu’une même chose
-des 1no—
+des mo-
-xxvm des
+des
-accidens. Mais j’ay remarque que
+accidens. Maisj’ay remarqué que
-démonstrations p retendues qu’il
+démonstrations prétenclues qu’il
-» Ce n’est donc
+» Cen’est donc
-courtes exhortées. Il s’est prive d’utiles
+courtes et bornées. Il s’est privé d’utiles
-sans reserve et
+sans réserve et
-porte elle-même dans
+porte ellemême dans
-le teinoignaige de
+le témoignage de
-géométrie. l La
+géométrie. La
-seconde partic de FEthiquo et
+seconde partie de l’Éthique et
-xxix un
+un
-Mais, (Fabord, y
+Mais, d’abord, y
-pour Spînoza des
+pour Spinoza des
-de fait‘ ! Jhppelle ainsi,
+de fait ? J’appelle ainsi,
-qui enveloppant une existentiel etformeut une
+qui enveloppent une existence1 et forment une
-la SIIUSÎZELHCC est
+la substance est
-par elle-même, et
+par ellemême, et
-besoin däiucune autre idée
+besoin d’aucune gutre idée
-qui Fachève. Il
+qui l’achève. Il
-avoir L1u’une seule
+avoir qu’une seule
-les autres.‘ Et comme lidée de
+les autres. Et comme l’idée de
-qu’on (lenianderait vainement à Spiuoza une
+qu’on demanderait vainement a Spinoza une
-avec l’orr lre des
+avec l’ordre des
-sur 1 Lettres 11 Arnauld. Earistentinz, est essenzîu reruna extra Doum. Iiexistence de Fhomxue lflest pas une idëo, mais un fait.
+sur 1Lettresà Arnauld.Exlstentia, estessenliarerumextra DeitmJ./ex.istenfcieel’hommne’estpasuneidée, maisunfait.
-XXX la
+la
-tombeau cVArchimede, comme
+tombeau d’Archimède comme
-l’idée generale de
+l’idée générale de
-de ce nombre sont
+de cenombre sont
-la naturc entière,
+la nature entière,
-à Dcscartes, bien plus qiÿà Dessertes, que
+à Descartes, bien plus qu’à Descartes, que
-est donne dans
+est donné dans
-de Yesprit, bien loin que l’esprit soit
+de l’esprit, bien loin quel’esprit soit
-loin qirelle les
+loin qu’elle les
-à Perdre adopté
+à l’ordre adopté
-lois (le la
+lois de la
-et fuit-il à
+et fait-il à
-la Théodicee de
+la Théodicée de
-un Dieu sourd, fatal,
+un Dieusourd, fatal,
-xxxi tantôt
+tantôt
-comme Pindétermination de
+comme l’indétermination de
-choses ; de
+choses de
-des Vérités de
+des vérités de
-dont Pintelligence est
+dont l’intelligence est
-sa Substance. Après
+sa substance. Après
-je (lirai que
+je dirai que
-on me comprendra, je pense, et l’on ne
+on mecomprendra, je pense, etl’on ne
-dans Terreur de
+dans l’erreur de
-choses z mais
+choses mais
-cherche Pexpre ssion d’un Dieu intelligent et
+cherche l’expression d’un Dieuintelligent et
-celle Ll’un Dieu
+celle d’un Dieu
-xxxu Cette
+Cette
-grave (les rapports de rame et
+grave des rapports de l’âme et
-que l’âme et le
+que 15âmeet le
-de deux manières. De môme que dans l’unité (le la
+de doux manières. De même que dansVunitc de la
-comme (différences pour cieineurer comme
+comme différences pour demeurer comme
-dans Yunite relative
+dans l’unité relative
-et Pame ne
+et l’âme ne
-de Feutre. La
+de l’autre. La
-même. Ce que le eorps est
+même. Ceque le corps est
-pensante. Ce parallélisme de
+pensante. Ceparallélisme de
-de Feutre, dont
+de l’autre, dont
-pente Ilaturelle a déclarer,
+pente naturelle à déclarer,
-seulement Funion, mais Pnnite de Fàme et
+seulement l’union, mais l’unité de l’âme et
-ainsi : «
+ainsi «
-XXXIH Dieu
+Dieu
-rien quïine, de laquelle (l’écoulent une
+rien qu’une, de laquelle découlent une
-idées ùleur tour
+idées à leur tour
-dans Fidée infinie
+dans l’idée infinie
-objet ‘a son idée : le cercle à la
+objet ’a son idée le cercle a la
-est Tidée du corps ; le
+est l’idée du corps le
-de l’ame. Et,
+de l’âme. Et,
-âme : car il y a
+âme car ily a
-de toutes choses en Dieu
+de tontes chosesen Dieu
-il estla cause. » Les. hommes
+il est la cause. » Les hommes
-choses objectivent par
+choses s’objectivent par
-une àine en
+une âme en
-manière dnnimer la nature : a 11’n’y a pas (l’apparence de
+manière d’animer la nature « Il n’y a pas d’apparence de
-idée ; les
+idée les
-purement abstrait, comme
+purement abstrait’, comme
-animal (quelconque est
+animal quelconque est
-une idée. mais
+une idée, mais
-source il’innomhralJles idées.
+source d’innombrables idées.
-outre ridée présente,
+outre l’idée présente,
-ou la production de
+ou laproduction de
-XXXIV Ce
+Ce
-l’immortalité. Quoi de plus
+l’immortalité. Quoide plus
-l’idée d’nn corps, dest-a-djre une
+l’idée d’un corps, c’est-à-dire une
-doute ifest pas
+doute n’est pas
-exprime ? Mais aussi, quoi
+exprime ?2 Maisaussi, quoi
-plus changeant‘ ? 4K Suivant Spinoza, Pànie change a chaque
+plus changeant ? « Suivant Spinoza, l’âme change à chaque
-loin : «c Dame est pour lui tellement fugitive, quelle ne
+loin «L’âme est pourlui tellement fugitive, qu’elle ne
-minute pré« sente. n Je ne nfétonne plus
+minute présente. » Je ne m’étonne plus
-se sufilre à
+se suffire à
-xxxv rait
+rait
-que l.e nom.
+que le nom.
-mais raflinez tant qu’il vous plaira. Idée
+mais raffinez tant qu’il vousplaira. Idée
-est Tidée d’une
+est l’idée d’une
-idée détendue, elle
+idée d’étendue, elle
-pas Fidée de
+pas l’idée de
-idée Œétendue, elle
+idée d’étendue, elle
-Dieu ; idée détendue, elle n’a d’et1‘e que
+Dieu idée d’étendue, elle n’a d’être que
-dépend ; non-seulement
+dépend non-seulement
-n’y u pas de Subslnncns individuelles, parce qu’il n’y a pas d’individus véritables. et qu’il ne saurait y avoir (le principe dütidividtiatlou. Pour Spinoza, l’individu n’est qu’unc cerlaine union des parties, et non pas le fondement des accidens de la substance. Or, les parties sont divisibles, parlagrables, corruptibles. Donc, il nfly a pas de véritable individualité dans le Corps. Quant il la figure. ce n’est pas davantage un principe dïndividiuatian dans le Spinozisme : car il en fait une négaîon pure, (ÿesl-à -dire tout
+n’y a pas de substance insdividuelles, parcequ’iln’yapasd’individuvséritablees.tqu’ilne sauraity avoirdeprincipde’individuatiPouo.urSpinozal, ’individnu’est qu’unecertainueniondespartiese, t nonpasle fondemednet s accidondselasubstanceO.r, lespartiessondt ivisiblesp, artagrablosc, orruptibleDs.onci, ln’yapasdevéritableindividualitédansle corpsQ. uanitl la figurec, en’estpasdavantaguen principde’individuatidoannsle Spinozismcearil en faitnue néga’ionpure, c’est-à-dire tout
-y u de
+y a de
-contraire à. la
+contraire à la
-xxxn qui
+qui
-qu’un. Lïininortalité que Spinoza laissé à
+qu’un. L’immortalité que Spinoza laisse à
-de "môme (pfune immortalité
+de même qu’une immortalité
-d’immortalité. Ècoutons Leiliniz z «
+d’immortalité. Écoutons Leibniz «
-parce que les idées
+parce queles idées
-que l"êinie d’un
+que l’âme d’un
-effet. L’à.rne n’est
+effet. L’âme n’est
-Que l’:‘une humaine
+Que l’âme humaine
-entièrement Llétruite avec
+entièrement détruite avec
-n’a pointde relation
+n’a point de relation
-temps ; car il ifattriliue à Pâme de
+temps car il n’attribue à l’âme de
-corps. v Dans
+corps. Dans
-Scholie stiivunt, il ajoute : a Celte idée,
+Scholie suivant, il ajoute « Cette idée,
-exprime "l’essence du corps sous le caractère de Feternite, est
+exprime l’essence du corps sousle caractère de l’éternité, est
-mode cléterininé de
+mode déterminé de
-qui se rapporte à
+qui serapporte à
-de lïime, et
+de l’âme, et
-est nécessuireïnent éternel.» Tout
+est nécessairement éternel. » Tout
-reprend Leihniz, qui
+reprend Leibniz, qui
-ombre el’. non
+ombre et non
-iocxvn être
+être
-enveloppe dînnnortalité. Ce
+enveloppe d’immortalité. Ce
-dire : à Notre
+dire « Notre
-tant etfelle enveloppe
+tant qu’elle enveloppe
-dans laine ce
+dans l’âme ce
-et il ne lui
+et ilne lui
-de lame je
+de l’âme je
-rendre Fàme éternelle, infinie : il
+rendre l’âme éternelle, infinie il
-qui Fentraîne à
+qui l’entraîne à
-et Feutre. Et,
+et l’autre. Et,
-les {unes et
+les âmes et
-est faeile à
+est facile à
-que Fàme n’en
+que l’ame n’en
-non plus’. si
+non plus si
-xxxvxxx ver àune individualité
+ver à une individualité
-Si 1a physique de 1’in1— mortalité se
+Si la physique de l’immortalité se
-métaphysique de. Pimmortalite ne
+métaphysique de l’immortalité ne
-du Spinozisrne, celui
+du Spinozisme, celui
-de Fàme, soumis
+de l’âme, soumis
-que Pâme était
+que l’âme était
-la ‘Providence, que
+la Providence, que
-de Pétre spirituel.
+de l’être spirituel.
-cela : il
+cela il
-si lu réalité
+si la réalité
-de Pàine doit
+de l’âme doit
-en Vertu de
+en vertu de
-XXXIX Or,
+Or,
-seule d’ex plique ‘rien, même
+seule n’explique rien, même
-de sentiment et de
+de sentimentet de
-portion (l’étendue et
+portion d’étendue et
-voulez, Féclielle entière
+voulez, l’échelle entière
-plantes jusqira l’homme,
+plantes jusqu’à l’homme,
-mesure que l’on s’éleve, comme
+mesure quel’on s’élève, comme
-grande jusqiÿà ce
+grande jusqu’à ce
-excède Petendue, comme
+excède l’étendue, comme
-XL Uetendue est
+L’étendue est
-expliquer : mais
+expliquer mais
-elle l’ost doublement
+elle l’est doublement
-la (li visitai lité ; or, c’est 1a divisibilité
+la divisibilité or, c’est la divisibilité
-de ce monde des
+de cemonde des
-incalculable (Yétres, de
+incalculable d’êtres, de
-effets ; et
+effets et
-arrivant ànotre œil
+arrivant à notre œil
-En retranehantla divisibilité, Spinoza retranche donc
+En retranchantla divisibilité, Spinozaretranche donc
-sa (lualité principaleget il est
+sa qualité principale etil est
-celui deDescartes, Fétendue ne
+celui de Descartes, l’étendue ne
-; Surtout elle
+; surtout elle
-nous (lira-jamais s’il
+nous dira jamais s’il
-xu quelque
+quelque
-et dîngenérahle, un
+et d’ingénérable, un
-de immortalité. Il
+de l’immortalité. Il
-Leibniz z cela
+Leibniz cela
-y laourrait arriver
+y pourrait arriver
-fait Spinozo. C’est
+fait Spinoza. C’est
-à Fàme, à
+à l’âme, à
-subsister (Je l’erreur
+subsister de l’erreur
-1. Ijétendue suppose
+1. L’étendue suppose
-les esprits, se demande Leibuiz‘ ! 1
+les esprits se demande Leibniz ? 1
-n’avons à nous
+n’avons nous
-la lllmiadnlixgie que
+la Monadologie que
-mesure où Leibniz
+mesure ou Leibniz
-peut Voir E1 ce
+peut voir à ce
-les lettres à l’abbé Bourgnel. 011 suit que Gcelhe, d’abord admimleur passionné de FEIhIque, avait
+les Jeflres à l’abbé Bourgnef. On sait que Goelhe, d’abord admirateur passionné de l’Éthique, avait
-se convertir-ù lu Monudologie, exemple
+se convertir à la BIonadologie, exemple
-de Patin-ait et
+de l’attrait et
-le spiritualiszni : de
+le spiritualisme de
-du XIXE siècle, dflabord fasciné par lepanlliéisme.
+du XIXe siècle, d’abord fasciné par le ’panthéisme.
-xLn Par
+Par
-le corps n’est pas
+le corpsn’est pas
-scientifiquement parlant, n’a rien Œeffcctif et de
+scientifiquement partant, n’a rien d’effectifet de
-pas trouvée. la
+pas trouvée la
-formation. Considérez une ligne : cette
+formation. Considérezune ligne cette
-regardée connue composée d’une infinité de points.
+regardée commecomposéed’une infinitéde points.
-ligne ; car
+ligne car
-homogène a la ligne. De même on
+homogène à la ligne. Demême on
-est poussé plus loin. De même qu’il n’y a 3.11011110- portion
+est pousséplus loin. De mêmequ’il n’y a aucune portion
-de memeil n’y
+de même il n’y
-ses réquisits immédiats.
+ses requisits immédiats.
-xLm Elles
+Elles
-parties ; on
+parties on
-même : à l’indivisible, àlïngénérable, à Pindestructible. De
+même à l’indivisible, à l’ingénérable, à l’indestructible. De
-les réquisits immédiats
+les requisits immédiats
-matière : je
+matière je
-appelle mouades. Mais à ce
+appelle monades. Maisà ce
-d’abstraction les monades peuvent
+d’abstraction lesmonades peuvent
-organise : Chacune
+organise Chacune
-car naturellement iln’y a
+car naturellementil n’y a
-ni de corps animé sans organes. Chaque substance corporelleadouc une
+ni decorps animé sansorganes. Chaquesubstancecorporelleadonc une
-est très-vrai que
+est trèsvrai que
-substance eu soit
+substance en soit
-Spinoza u’est donc
+Spinoza n’est donc
-que Palme exprime
+que l’âme exprime
-xuv corps,
+corps,
-que Fàme n’exprime que cela. Ce
+que l’âme n’exprime que cola. Ce
-pas m’attacher une
+pas d’attacher une
-de Fidentifier avec
+de l’identifier avec
-admirer fart infini
+admirer l’art infini
-des rnonades, et
+des monades, et
-substitue 11 Yétenclue pure
+substitue à l’étendue pure
-l’étendue, (le la
+l’étendue, de la
-il n’en a
+il n’en, a
-informe : Iindis indigeslaqzze anales. Prenez
+informe Rudis indigestaque moles. Prenez
-peu dïêtenclue qui
+peu d’étendue qui
-dépendance, attachez-d’aperception, (leià vous
+dépendance, attachez-y la perception, déjà vous
-point metaphysiqtie ; car
+point métaphysique car
-divisible ctle matériel répandu dans une. foule de
+divisible et le matérielrépandu dans unefoule de
-de vue, multipliez
+de vue multipliez
-simples : quelle prodigieuse varie té va
+simples quelle prodigieuse variété va
-sein (le la
+sein de la
-étendue ! Que
+étendue Que
-pensée ; quel
+pensée quel
-quelles inñnités de
+quelles infinités de
-sont indivisibles ; indestructibles et mgénerables.
+sont indivisibles, indestructibles et ingénérables.
-XLV Forces
+Forces
-et VÎVÎfient le
+et vivifient le
-peuplent (le leurs invisibles ‘multitudes, un
+peuplent de leurs invisibles multitudes, un
-existence : un miracle (le Dieu
+existence un miracle de Dieu
-soudaines, paraît nous
+soudaines, parait nous
-dans le nature
+dans la nature
-transformations, (le faire
+transformations, de faire
-indestructible ‘ ?
+indestructible ?
-raisonne fauteur de la Monadolegie. La
+raisonne l’auteur de la Monadologie. La
-celle-ci : la matière elle-nième n’a
+celle-ci la matière elle-même n’a
-que pat‘ les monades, c’est-à-dire par (les substances immatérielles ; elle ne saurait
+que par les monades c’està- dire par des substances immatérielles elle ne, saurait
-compte (Taueun des
+compte d’aucun des
-XLVI aucune
+aucune
-établir Findestructibilité ou immortalité physique
+établir l’indestructibilité ou l’immortalité physique
-fait : car
+fait car
-accorde Pindestructihilité aux
+accorde l’indestructibilité aux
-spirituelles. Chez lui, après
+spirituelles. Chezlui, après
-de plus’ ?
+de plus ?
-chose : ils
+chose ils
-XLVH sans
+sans
-dans Finaction, et
+dans l’inaction, et
-la Vieillesse, et
+la vieillesse, et
-de Pimbécilité, je
+de Fimbécilité, je
-dire : le
+dire le
-de mémoire, que,
+de mémoire que,
-un bien l’ait. Pour
+un bienfait. Pour
-contraire, Pimmortaljté de
+contraire, l’immortalité de
-sommes, c’est-à—dire la
+sommes, c’est-à-dire la
-humaine. À Je
+humaine. « Je
-elle, Pâme serait
+elle, l’âme serait
-prémisses. n Telle
+prémisses. » Telle
-XLVlll et
+et
-lois dïnnour et
+lois d’amour et
-étendre au-deliæ de
+étendre au-delà de
-pensée qu7il invoque,
+pensée qu’il invoque,
-Leibniz rétæihlit les
+Leibniz rétablit les
-les la privilèges nies, méconnus,
+les privilèges niés, méconnus,
-de Pâme et
+de l’âme et
-qui régssent ces
+qui régissent ces
-monades, mais il s’en
+monades, maisil s’en
-par Pharnionie préétablie ’. on
+par l’harmonie préétablie on
-moins. (Test un malentendu. Uliarnionic’préétablic Jfétant qu’ilne suite
+moins. C’est un malentendu. L’harmonie préétablie n’étant qu’une suite
-impossible quefharnionie préalable, qui
+impossible quel’harmoniepréalable, qui
-est qlfune suite,
+est qu’une suite,
-la confirma» tion d’un
+la confirmation d’un
-la ltlonæirlologie est
+la Monadologie est
-XLIX Les
+« Les
-dit Spinozu, se
+dit Spinoza, se
-dans lu nature
+dans la nature
-empire (lans un empire z ils ont tort. n» c À
+empire dans un empire ils ont tort, » « À
-dit Leihniz, reprenant
+dit Leibniz, reprenant
-textes pureeis, irreeusalales, que pourrait-on répondre
+textes précis, irrécusables, que pourrait- on répondre
-que Yharnlonie préétablie
+que l’harmonie préétablie
-que Leihniz, dans une réfutation
+que Leibniz, dansune réfutation
-pas Paccord ou
+pas l’accord ou
-en effet. là où 11 gÿy a
+en elfet, là où il n’y a
-être Paccord, l’harmonie, le nombre 1 ? ’ Mais,
+être l’accord, l’harmonie, le nombre1 ? Mais,
-Le syslèxue de lfliamxouie preelublie a élé comparé, en Al» lemagne, par Mendolsshnn et Jacubi ;
+Le système de l’harmonie préétablie a été compare, en Allemagne, par Mendelsshon cl Jacobi ;
-seul édileur et
+seul éditeur et
-de Spinozu, avec le sys(ème inlaginé par
+de Spinoza, avec le système imaginé par
-dernier pour rendre
+dernier puur rendre
-de Fuccord el de Fensemble des
+de L’accord el dei’ensemblc des
-avec Lessiug contre ce rnppm» chement forcé. 4
+avec Lessing contre ce rapprochement forcé.
-L Allons
+Allons
-sens disharmonie préétablie
+sens de l’harmonie préétablie
-de Faooord des
+de l’accord des
-de Tâme et
+de l’âme et
-qui necorde aux
+qui accorde aux
-au (lehors. Il recourt, e11 dernier ressort, a la
+au dehors. Il recourt, en dernier ressort, à la
-réel (l’harmonie. Je
+réel d’harmonie. Je
-de spon-tanéité intérieure. (Ïest le
+de spontanéité intérieure. C’est le
-propre (les rnonades. (Ïest afin (1e mieux
+propre des monades. C’est afin de mieux
-jusqu’à Tinvraisemblance et
+jusqu’à l’invraisemblance et
-ses Inonades, les
+ses monades, les
-non-seulement Leibilir. maintient
+non-seulement Leibniz maintient
-LI spontanéité
+spontanéité
-soit égalementsgaoizlctïzc’, dest-à-dire qu’il
+soit également spontané, c’est-à-dire qu’il
-des changemcns de 1a monade
+des changemens de la monade
-principe dïiarrnonie. Car
+principe d’harmonie. Car
-dans Findivisible, la réalisation mêmc des
+dans l’indivisible, la réalisation même des
-l’harmonie : l’unité
+l’harmonie l’unité
-est clouée pour
+est douée pour
-la manade est réglée : elle
+la monade est réglée elle
-des Llélinézttions primitives
+des délinéations primitives
-conformes a sa nature détre créé.
+conformes à sa nature d’être créé.
-fait sympa-v thiser avec
+fait sympathiser avec
-et l’empéche de
+et l’empêche de
-soustraire ‘a l’ordre
+soustraire à l’ordre
-l’art des" transitions
+l’art des transitions
-état ‘a un
+état à un
-LII Assurément,
+Assurément,
-tendance àïharxnonie, et
+tendance à l’harmonie, et
-y anïle l’unité.
+y a de l’unité.
-saisit Pâme et
+saisit l’àme et
-sur elle-même comme
+sur ellemême comme
-l’autre (l’actions et
+l’autre d’actions et
-1. C’est-à—dire, a première
+1. C’est-à-dire, à première
-et (le l’autre
+et de l’autre
-difficulté (l’avouer que
+difficulté d’avouer que
-n’est qwapparent, et
+n’est qu’apparent, et
-1 Prop. X1, p.
+1 Prop.XI, p.
-L111‘ divine,
+divine,
-fond sont’identiquement les mèmes, quoique
+fond sont identiquement les mêmes, quoique
-de Pâme et
+de l’âme et
-de 1’un et
+de l’un et
-Leibniz : leur
+Leibniz leur
-et Pillimite. Un mécanisme brut. prend 1a. place
+et l’illimité. Un mécanisme brut, prend la place
-les délinéerions primitives,
+les délinéations primitives,
-voulu voir‘ cependant
+voulu voir cependant
-dire, et.
+dire, et
-LIV qui
+qui
-voici : oc Toute
+voici « Toute
-chaîne des" étendues fornle un
+chaîne des étendues forme un
-accord Inutnel —des parties
+accord mutuel des parties
-simple applica "tion de la menadologie. En
+simple application de la monadologie. En
-corps nesont pas
+corps ne sont pas
-ni lesànles ne
+ni les âmes ne
-que "Leibniz a
+que Leibniz a
-du Spinozisnie. On
+du Spinozisme. On
-localiser Fâme du
+localiser l’âme du
-dans un entendement infini,
+dans unentendement infini,
-les niodes fugitifs
+les modes fugitifs
-assimilation. —1 Voir Spincza, lrad. française,
+assimilation. 1 Voir Spinoza, trad. française,
-2, Sahel. du lemme «VIL
+2, Scliol. du lemme VII.
-LV Uharmonie préétablie
+L’harmonie préétablie
-tirer (le sa
+tirer de sa
-nie 1nositixreilnent, l’action
+nie positivement, l’action
-physique ou réelle,
+physique oit réelle,
-outre cpfelle est
+outre qu’elle est
-inutile. (Tétait Terreur de
+inutile. C’était l’erreur de
-siècle, partgée parDescarLes, de in croire
+siècle, partagée par Descartes, de la croire
-Au XVII“ siècle,
+Au XVIIe siècle,
-chose Œanalogue à
+chose d’analogue à
-comme si un courant
+comme siun courant
-corps fût venu traverser Fâme. À quoi Leilmiz objecte
+corps fut venu traverser l’âme. À quoi Leibniz objecte
-ses n10nades n’ont
+ses monades n’ont
-[fil Pour
+Pour
-passer (Pune telle
+passer d’une telle
-bientôt, rfétait pas
+bientôt, n’était pas
-commun, Deseartes, n’admettait
+commun, Descartes, n’admettait
-physique xl’une substance
+physique d’une substance
-Sans (loute Spiuoza nïidinettait pas
+Sans doute Spinoza n’admettait pas
-pas Fadinettre, mais
+pas l’admettre, mais
-Le Spinozism e est
+Le Spinozisrae est
-pétrit (les vases, les nus pour
+pétrit des vases, les uns pour
-pour Finfamie. Ces
+pour l’infamie. Ces
-emplit, sontuiiebelle image (le ce
+emplit, sontunebellc image de ce
-laisse quïi Dieu
+laisse qu’à Dieu
-LVIi Voici
+Voici
-puissance cfagir en
+puissance d’agir en
-c’est Ïétendue. Dieu
+c’est l’étendue. Dieu
-c’est-à-dire iläétend, et
+c’est-à-dire il s’étend, et
-la peusée. Il nfy a
+la pensée. Il n’y a
-que e°est Dieu
+que c’est Dieu
-par Spincza comme
+par Spinoza comme
-d’expliquer Fanion de Yâme et
+d’expliquer l’union de l’âme et
-monde ? Qu’est-ce, en
+monde ?Qu’est-ce, en
-une Véritable influence
+une véritable influence
-la divinité“ ?
+la divinité ?
-elle sïëtend dans
+elle s’étend dans
-Ce ifest pas se11]ement par Ïefliciæcité de
+Ce n’est pas seulement par l’efficacité de
-agit : il
+agit il
-propre (Tune telle influence, dest
+propre d’une telle influence, c’est
-Lvm que
+que
-chose (telle-même, qu’elle
+chose d’elle-même, qu’elle
-en prend. une
+en prend une
-élément, puisquîl le
+élément, puisqu’il le
-physiquement ‘. avec
+physiquement avec
-toute ‘autre influence (levient superflue.
+toute autre influence devient superflue.
-physique (le la
+physique de la
-Spinoza, Lpfil prétend
+Spinoza, qu’il prétend
-que Tâme a
+que l’âme a
-corps, dest Dieu
+corps, c’est Dieu
-dans Pêune la
+dans l’âme la
-corps. Ïvlalehranehe y voyait une sorte dbpération (livine, surnatnn relle, presque
+corps. Malebranehe y voyait mie sorte d’opération divine, surnaturelle, presque
-y Voit, an contraire,
+y voit, au contraire,
-comment : Dieu
+comment Dieu
-de lame par
+de l’âme par
-idées : en
+idées en
-qu’il Sÿexprime par cette nature il a (les idées : donc Pâme perçoitl. 7 1 Cûrnll. Prop. X1 et Prnp. XII, X111, p.
+qu’il s’exprime par cette nature, il a des idées donc l’âme perçoit 1. 1 Coroll. Prop. XI et Prop, XII, XHI, p.
-Lix Mais
+Mais
-de l’âmé par les idées,
+de l’âme parles idées,
-sensible, il prend la
+sensible, ilprend la
-l’âme ce qu’il faut
+l’âme cequ’il faut
-perceptions. Étant dans l’ame par
+perceptions. Etant dans l’âme par
-et l’image de l’Univers.
+et l’imagede l’Univers.
-par Fàme, c’est
+par l’âme, c’est
-donnait assurance rpfil y
+donnait l’assurance qu’il y
-les Choses de
+les choses de
-de Fenehaînement. On
+de l’enchaînement. On
-même ipÿil rêvait
+même qu’il rêvait
-des ehoses, facilement
+des choses, facilement
-corps (Tégales traces
+corps d’égales traces
-activité fata1 e et
+activité fatale et
-de raccord et
+de l’accord et
-trompait : l’influence
+trompait l’influence
-L’ordre et. l’arrangement
+L’ordre et l’arrangement
-le Cosmos. ne
+le Cosmos, ne
-série Œeffets mécaniques fatalement enchaînés les
+série d’effets mécaniques fatalement enchatnés les
-aux autres, Le
+aux autres. Le
-efficientes ne.- suffit pas : il
+efficientes ne suffit pas il
-ou la. morale
+ou la morale
-sous lætforce. À un
+sous la. force.À un
-les Iois du
+les lois du
-moral, correspondant, (Ïest précisément dans 1’a ccord de ses deux
+moral, correspondant.. C’est précisément dans l’accord de ces deux
-Supprimer l’u n des
+Supprimer l’un des
-Spinoza, c’est- mutiler
+Spinoza, c’est mutiler
-le problème.
+le problême.
-1.x ! Leibniz
+Leibniz
-contre l11iles règles
+contre lui les règles
-choses : Si
+choses Si
-nature est. pleine
+nature est pleine
-auteur. Ijopinion contraire
+auteur. L’opinion contraire
-l’air (Paccorder beaucoup
+l’air d’accorder beaucoup
-principes mëmes (le la
+principes mêmes de la
-les àmes et
+les âmes et
-ont du déterminer
+ont dû déterminer
-enfin a un ordre (le considérations
+enfin à un ordre de considérations
-sont donc. trompés.
+sont donc trompés.
-de l’infin i que Leibnizkamploie
+de l’infini que Leibniz emploie
-LXII comme
+comme
-un élémentnouvean et
+un élémontnouveau et
-propre. (‘iest une des FIpPÎÎCaÈÎOîIS de
+propre. C’est une des applications de
-de Finfini à
+de l’infini à
-nature. (Ïest l’élimination,
+nature. C’est l’élimination,
-telles eoilsidérations. Il
+telles considérations. Il
-voie (Ïnne influence
+voie d’une influence
-nature. Il a
+nature. II a
-l’action au-dessus on en
+l’action audessus ou en
-celui (le la
+celui de la
-omis aï essentiel ;
+omis d’essentiel ;
-de l’Etl1ique ont
+de l’Éthique ont
-censurées ; c’ost assurément
+censurées c’est assurément
-dès qu’o11 entame
+dès qu’on entame
-en ronipt toute
+en rompt toute
-la Théodicée‘ 1 Théodicée, 3“ p. p. 613.
+la Théodicée Thoodicc3o"p, . p.613.
-LXIII qu’ii son
+qu’à son
-par lfllmgleterre et
+par l’Angleterre et
-et cpfil s’entretint
+et qu’il s’entretint
-Spinoza età ceux
+Spinoza et à ceux
-dans saThfiiodicee en
+dans saThéodicée en
-fait Œune entrevue
+fait d’une entrevue
-prix ; mais
+prix mais
-la Théodicél : Spinoza était, au XVH“ siècle, un {Jhilosophe compromettant, et détait déjà
+la Théodicée Spinoza était au XVII" siècle, un philosophe compromettant, et c’était déjà
-visité. Leibuiz, toujours
+visité. Leibniz, toujours
-peu (diplomate7 savait
+peu diplomate, savait
-auquel en se
+auquel on se
-Je YÎS M.
+Je vis M.
-Court ‘aussi bien
+Court aussi bien
-Spinoza zïappris (Feux musiques bonnes
+Spinoza j’appris d’eux quelques bonnes
-les afi-‘aires de ce teiups-ci. l) Mais si 1’on croit que l’entren tien ne fut quunecdotique et plaisant, ou se
+les affaires de ce temps-ci. » Maissi l’on croit que l’entretien ne fut qu’anecdotique et plaisant, on se
-LXlV trompe : Leihniz s’est charge lui-même
+trompe Leibniz s’est chargé lui-même
-philosophique, [mr une
+philosophique, par une
-main, ou il
+main, où il
-et (lui jettent quelque lumière sur
+et qui jettent quelquelumière sur
-le eoimnerce de
+le commerce de
-philosophies. J’ay
+philosophies. « J’ay
-Spinoza ‘, il
+Spinoza il
-esté 1iorte, le
+esté porté, le
-et (Yaffieher quelque
+et d’afficher quelque
-proche du lieu (des
+proche dulieu (des
-papier où il
+papier ou il
-ultimi IIŒTÔCLTOTZHH. llrlais son
+ultimi harbarorum. Mais son
-serait expose à être déchire. n a Spinoza ‘ne voynitpus bien
+serait exposé à être déchiré. » « Spinozane voyait pas bien
-M. Dessertes, il
+M. Descartes, il
-je eomniençai de
+je commençai de
-qu’elles viol nient Pégalité de la cause et de l’effet. »
+qu’elles violaient l’égalité de la causeet del’effet. »
-avons rutrouvéeelle nele de
+avons retouvé cette note de
-de Leihnizparmides papiers eùon ne sïittendruil guère à la rencontrer. Elle est inédile, ainsi
+de Leibniz parmi des papierosùonnes’attendragituèreà larencontreErl.leestinédite, ainsi
-le manuscrit que nous puhlionsà la suite de ce mémoiref
+le manuscrqituenouspublionàslasuitedoce mémoire.
-LXV à
+à
-Leibniz lavait déjà entamé. ltlais alors,
+Leibniz l’avait déjà entamé. Mais alors,
-principes (le M.
+principes de M.
-absurdes, n il
+absurdes, » il
-pas (le lui-même
+pas de lui-même
-que Leihniz. y
+que Leibniz y
-comprend pas toujours. Notamment,
+comprend pastoujours. Notamment,
-le Cogito z ergo 820m. Dans
+le Cogilo ergo mm. Dans
-à Oldenburg‘, ilveut le critiquer,
+à Oldenburg, il veutle critiquer,
-Descartes s’esl ; éloigné de la. première
+Descartes s’est éloigné de la première
-l’origine (le toutes
+l’origine de toutes
-l’erreur : Quoi deplus vague
+l’erreur Quoi de plus vague
-trois ans] après
+trois ans après
-LXVI change,
+change,
-difficulté : a Vous
+difficulté « Vous
-est (difficile, on partant dela notion
+est difficile, en partant de la notion
-conçoit, dost-à-dire comme
+conçoit, c’est-à-dire comme
-que oela est diñîcile, je
+que cela est difficile, je
-impossible. n On io voit,
+impossible. »On le voit,
-son proliL des
+son profit des
-a profite qu’ù demi,
+a profité qu’à demi,
-il estiuoertain et
+il est incertain et
-Quand onfinterroge, il
+Quand on l’interroge, il
-annonçant "a ses
+annonçant à ses
-mouvement qu’ou chercherait
+mouvement qu’on chercherait
-nous tacherons d’éclairer
+nous tâcherons d’éclairer
-point, resté fort obscur
+point, restéfort obscur
-Spinoza. Leibiliz, qui
+Spinoza. Leibniz, qui
-du Cartésianisme. a
+du Cartésianisme, a
-n’avait ï Voir
+n’avait Voir
-LXVIl pas suffisamment connu
+pas suflisamment connu
-sur Spinoza, il
+sur Spinoza il
-qui intéressentlc monde
+qui intéressent le monde
-d’avoir vouln tout
+d’avoir voulu tout
-reproche rapplique à
+reproche s’applique à
-pour toutexplirluer dans
+pour toutexpliquer dans
-Le mou« veulent, qui
+Le mouvement, qui
-de Pètendue, doit l’): aider.
+de l’étendue, doit l’y aider.
-la même quantité
+la môme quantité
-même (fuantité de
+même quantité de
-LXVlll et
+et
-parties (le l’univers. Deutre part,
+parties de l’univers. D’autre part,
-atomes. Jilsqu’ici, Spinoza
+atomes. Jusqu’ici, Spinoza
-fait L1u’emprunter à Dessertes, et
+fait qu’emprunter à Descartes, et
-du Cartesianfisme est profonde. 1 En
+du Cartesianisme est profonde. En
-hypothèse (les tourbillons,
+hypothèse des tourbillons,
-choses : la clivisihilité et le mouvementée la matière. Cemme la
+choses la divisibilité et le mouvement de la matière. Comme la
-initiale faîte par Dieu lui-Inênie au
+initiale faite par Dieu lui-même au
-naît (Tune fausse
+naît d’une fausse
-quantité. Qu’est-ee, en
+quantité. Qu’est-ce, en
-et qvÿest-ce que
+et qu’est-ce que
-substance, dfime manière
+substance, d’une manière
-Si la. divisibilité
+Si la divisibilité
-faiblesse de l’esprit,
+faiblesse do l’esprit,
-Sch. Pmp. XV, p. 1. et Leu. 25 sur Finfmi.
+Sch. Trop. XV, p, 1. et Lett. 25 sur l’infini.
-LXIX donc "s’élever au-d essus’ du
+donc s’élever au-dessus du
-à Findivisible, dest-à-dire à Fidée de
+à l’indivisible, c’est-à-dire à l’idée de
-les (Estimations modales
+les distinctions modales
-identique : la
+identique la
-pensait Leibuiz de Petendue nue
+pensait Leibniz de l’étendue nue
-ont perce par
+ont percé par
-plus : le
+plus le
-que Spinnzæi conserve
+que Spinoza conserve
-mécaniques i 1 Dur. u, 1
+mécaniques 1 Dut. II, 1
-Lxx encore
+encore
-reçu : Il yfaut tout
+reçu Il y faut tout
-sont la des
+sont là des
-un mouvement naturel, il y faut
+un mouvementnaturel, ily faut
-tact. À Un corps n’est
+tact. « Uncorps n’est
-touchant. n Spinoza
+touchant. » Spinoza
-satisfait. Mais attendons la suite : de
+satisfait. Maisattendons la suite de
-que conclut Leibniz ‘ ? (Test que
+que conclutLeibniz ? C’est que
-Leibniz, réduisez le a ses élemcns les
+Leibniz, réduisezle à ses élémens les
-simples. Qiry trouverez-vous (le réel’ ?
+simples. Qu’y trouverez- vous de réel ?
-formellement, dest-à-clirc un
+formellement, c’est-à-dire un
-LXXI ment
+ment
-détail (le ce
+détail de ce
-de mouvement (car le mouvement demande du
+de mouvement( car le mouvementdemande du
-dans la force faisant
+dans laforce faisant
-changement. (Yest elle
+changement. C’est elle
-réalité : elle
+réalité elle
-est différente. du mouvement : dest elle
+est différente du mouvement c’est elle
-faite (le la
+faite de la
-à Spineza :
+à Spinoza :
-Dut. 11.1 p. 45.
+Dut. II, 1p .45.
-Lxxn s’il
+s’il
-Descartes : Spinoza,
+Descartes Spinoza,
-à Oldenburg‘, reconnaît
+à Oldenburg reconnaît
-; niais (Tailleurs il
+; mais d’ailleurs il
-il Pattequait par
+il l’a.ttaquait par
-base. cc Spinoza
+base. « Spinoza
-de M. Descartes, nous
+de M.Descartes, nous
-je c-ommençay de lui mon 1 Lettre XV, p. M1,
+je commençay de lui mon- 1 LellraXV.p4.-H.
-LXXIII trer
+trer
-violaient légalité de
+violaient l’égalité de
-l’effet. n Spinoza
+l’effet. Spinoza
-encore avise de
+encore avisé de
-transformation que Spinoza lait subir
+transformation quc Spinoza fait subir
-Spinoza, e11 Théodieée, pressé
+Spinoza, en Théodicée, pressé
-matérialiste : à Eœ azihilo izi/Lil, »
+matérialiste « Ex nihilo nihil, »
-évident parmi-môme, se
+évident par lui-môme, se
-et sïmposaut a titre
+et s’imposant à titre
-de Plithique, et
+de l’Éthique, et
-LXXIV et
+et
-il vagissait, pour
+il s’agissait, pour
-métaphysique, Œemprunter à la physique cartésienne son
+métaphysique, d’emprunter la physiquecartésienne son
-qui lait tout
+qui fait tout
-tout marchàt suivant
+tout marchât suivant
-facilités pom‘ une
+facilités pour une
-d’une niatiere honïogèxie partout
+d’une matière homogène partout
-se (li versifie dans
+se diversifie dans
-de Desoartes, ait
+de Descartes, ait
-Lxxv ment.
+ment.
-manière (l’ordonner l’empire
+manière d’ordonner l’empire
-aveuglément 1a Ioi de Descartes. lilais, pour
+aveuglément la loi de Descartes. Mais, pour
-loi menue 1i’est qu’un
+loi même n’est qu’un
-Descartes : « que 1a même
+Descartes «que la même
-monde, n devient
+monde, » devient
-repos. a» Spinoza
+repos. » Spinoza
-monde Ie même
+monde le même
-de 1a pensée à Petendue, de l’esprit la
+de la pensée à l’étendue, de l’esprit à la
-l’âme. n
+l’âme. »
-LXXVI Cette
+Cette
-règle universelle ; vraie
+règle universelle, vraie
-corps : c’est
+corps c’est
-par Spinoza : Dessertes a
+par Spinoza. Descartes a
-rapport. Mais Descartes n’a
+rapport. MaisDescartes n’a
-pensée, a savoir Fentendenient et
+pensée, à savoir l’entendement et
-le même‘. Cela
+le même1. Cela
-autrement, Car il
+autrement, car il
-et (l’étendue. 11 est
+et d’étendue. Il est
-esprits quolos corps,
+esprits queles corps,
-ainsi : à La ponsée ne
+ainsi « Lapensée ne
-1 Elh. I,
+1 Eth. I,
-et Finlelligi-une sont
+et l’intelIig™i ;G sont
-repos. Cl’. p.
+repos. Cf. p.
-LXXVII a La
+« La
-ce qu’e11e rend
+ce qu’elle rend
-» Le
+» « Le
-de Ïétendue à
+de l’étendue à
-cas. Comine étendue,
+cas. Comme étendue,
-Descartes : «r Dieu
+Descartes Dieu
-même quantité de
+même duantité de
-et (le repos.
+et de repos.
-règle parla loi de Spiuoza : c Dieu
+règle par la loi de Spinoza : « Dieu
-l’intelligence la volonté. n L’intelligence
+l’intelligence à la volonté. » L’intelligence
-repos (les esprits : Elles
+repos des esprits Elles
-On nuraitpeine à croire que Spinoza ait
+On aurait peine à croire queSpinoza ait
-application (le la
+application de la
-cartésienne, s’i1 nïivait pris
+cartésienne, s’il n’avait pris
-de prem dre à Deseartes la
+de prendre à Descartes la
-il prend
+il lui prend
-LXXVIII aussi
+aussi
-que Galilee, Gassendi
+que Galilée, Gassendi
-ce dontni Galilée, ni Gassendj, ni
+ce dont ni Galilée, ni Gassendi, ni
-et Fapplique à
+et l’applique à
-lui l, des
+lui des
-Ainsi, Pafiirmation n’est
+Ainsi, l’affirmation n’est
-être, eFest-à-dire pour
+être, c’est-à-dire pour
-seule etmême chose,
+seule et même chose,
-des détermina 1 Drop. XLYIII el ‘XLIX, p. 2.
+des détermina- PmpX. LVIeIItXUX, p.2.
-Lxxlx tions
+tions
-loi s applique à
+loi s’applique à
-sont l’efi’et de
+sont l’effet de
-il ya une
+il y a une
-naturelle (les âmes
+naturelle des âmes
-qu’aux autres 1. On
+qu’aux autres. On
-du Inouvement, imaginée
+du mouvement, imaginée
-le 1ieu- de
+le lieu- de
-son maîtrs dans
+son maître dans
-règles in-Ventées pour
+règles inventées pour
-de contact. ne
+de contact ne
-rend 1 P. 3, Prop. VII, VIII ctIX, Voir aussi p. l, Prnp. XXXI et XXXII, etp.2, Prop. XLVIII, XLIX.
+rend P.3, Prop.Vil, VKIetIX.Voiraussip. I, Prop, XXXIet XXXIIe, tp. 2, Prop.XLVIIIX, LIX.
-LXXX compte
+compte
-s’il s agissait de
+s’il s’agissait de
-de tardiveté. L’homme
+de tardivité. L’homme
-nous Favons vu,
+nous l’avons vu,
-soumis àlïnipulsion des
+soumis à l’impulsion des
-ne nfétonne plus,
+ne m’étonne plus,
-des mouvemens corporels
+des monvemens corporels
-ne In’étonne plus
+ne m’étonne plus
-mots : dïtgir et
+mots d’agir et
-subissons. ïbut cela
+subissons. Tout cela
-déterminées : la
+déterminées la
-déterminations iÿempêche pas
+déterminations n’empêche pas
-physique carté sienne. La
+physique cartésienne. La
-Eth. Dèf, 1[ et Prop à I,
+Eth. Déf. Il el Prop I,
-Lxxxi médecine : Pourquoi
+médecine Pourquoi
-de Pëgale quantité
+de l’égale quantité
-détermine Tequilibre ou la sauté. Celle nième loi,
+détermine l’équilibre ou la santé. Cette même loi,
-aux êunes, en détermine aussi l’équilibre ou la "sainte. Il n’esL pas
+aux âmes, en détermine aussil’équilifareou la santé. Il n’est pas
-nous 1’ !I’0Cl1I’6I’C6iiL’- do l’esprit
+nous procurer celle de l’esprit
-corps ‘. Toutes
+corps Toutes
-par Dessertes 7. Spinoza triomphe (Farcir découvert
+par Descartes 2. Spinoza triomphe d’avoir découvert
-esprits : «
+esprits «
-nous diiäl, n’ont
+nous dit-il, n’ont
-conçu connue nous Favoris tiiitici, Peine agissant
+conçu comme nous l’avons fait ici, l’âme agissant
-lois LÏÉÊGITHÎHÉBS n . {Renouer} «le ces
+lois déterminées 3. » L’énoncé de ces
-remplissent ptout le
+remplissent tout le
-de PEthique, et
+de l’Éthique, et
-exprès : « liordre et la (:011 1 "final. polir. U. il, p. 271. Æ P0 Ennemi. InleL, p. 361. i‘ Du Ennemi. lntcL, p. 5383.
+exprès « L’ordre et la con- Tracl.pulil.C.J[, p. s !71. a PcBiiiond.fuie ! p. 361. sDeEmond.Intel., p. 383.
-Lxxxu nexiqiz des
+nexion des
-à l’ordre et
+à l’prdre et
-» (Ïest cette
+» C’est cette
-et X11. La Xllläjoînte à 1a VIF, contient
+et XII. La XIIIe, jointe à la VIIe, contient
-de Ïicientité de Fàme et
+de l’identité de Pâme et
-XIX, XXIy renvoient. ToutelaThéoriedela volonté, Part.
+XIX, XXI y renvoient. Toute la Théoriedelavolonté, Part.
-Part. II, Prop.
+Part. Il, Prop.
-principe ‘. C’est
+principe C’est
-de PEthique. Ce
+de l’Éthique. Ce
-et sanseonséquence que
+et sans conséquence que
-du Inouvement des
+du mouvement des
-a transporte en
+a transporté en
-esprits. (Ïest une
+esprits. C’est une
-Prop. V1, Yll, VIII. et surtmpt la Proposition XI.
+Prop. VI, VII, VIII. et snHoi.lt la l’ropoïition XI.
-LXXXIII mais
+mais
-la mé.. ta physique. Et
+la métaphysique. Et
-avait passe sa
+avait passé sa
-suivre Leihnia, essayant
+suivre Leibniz, essayant
-Nous avons plus haut
+Nous avonsplus haut
-sur cc qu’il
+sur ce qu’il
-sujet : Leibniz
+sujet Leibniz
-plus loin que Descartes
+plus loinque Descartes
-physique : Spinoza,
+physique Spinoza,
-sans gène avec
+sans gêne avec
-Descartes : Leihniz insistant
+Descartes Leibniz insistant
-que Leihniz met
+que Leibniz met
-le eonçoit sans
+le conçoit sans
-LXXXIV vue,
+vue,
-pas Fil-propos, etl’o11’sedemandece que
+pas l’à-propos, et l’on se demande’ ce que
-à lTlôpital nous l’apprennent : «c "est le fondement (le nia Dynamique, lui écrit-il’. v» En
+à l’Hôpital nous l’apprennent « C’est le fondement de ma Dynamique, lui écrit-il. En
-science ou Petendue ifest rien, ou la
+science où l’étendue n’est rien, où la
-physique (le Spinozra : et. par
+physique de Spinoza et par
-quelque (zhose de Pironie (le Socrate
+quelque chose de l’ironie de Socrate
-avec Parnienide. QLfest-ee, en
+avec Parménide. Qu’est-ce, en
-aux (Îartésiens et
+aux Cartésiens et
-plus Lléçu de tous, a Spîxioza. (Yest un principe quirfa rien
+plus déçu de tous, à Spinoza. C’est un principe quin’a rien
-cette nécessite métaphysique
+cette nécessité métaphysique
-Spinoza chercheJartout Leilmiz, au
+Spinoza cherche partout. Leibniz, au
-modeste, connue une
+modeste, comme une
-faite Faute de
+faite faute de
-attendant. (Ïest, dit-il, une nmxiine subalterne,
+attendant. C’est, dit-il, une maxime subalterne,
-mouvement : elle
+mouvement elle
-nécessaires rêvais par S [JlDOZiL Si
+nécessaires rêvés par Spinoza. Si
-la nécessite, elle
+la nécessité, elle
-Il s’er) faut
+Il s’en faut
-Lxxxv trouve
+trouve
-cherche en tout
+cherche cn tout
-nécessaires, uientierement arbitraires, (juellesréveleïit la perfection (le leur
+nécessaires, ni entièrement arbitraires, qu’elles révèlent la perfection de leur
-sagesse ; mais
+sagesse mais
-la boulé‘ ! Dieu,
+la bonté ?’{ Dieu,
-fait (lépéndre du
+fait dépendre du
-ne Viole jamais
+ne viole jamais
-tels {principes devaientfaüe sourire
+tels principes devaient faire sourire
-de pitiië, et,
+de pitié, et,
-devant Leibuiz, il
+devant Leibniz, il
-surpris, n’est assurément
+surpris, c’est assurément
-envers sou hôte. Ouvrez FÉLhique, ‘vous y
+envers son hôte. Ouvrez l’Éthique, ’vous y
-fait (le ces principes d’or-Llre, de beauté, (Fharniouie et (le sagesse
+fait de ces principes d’ordre, de beauté, d’harmonie et de sagesse
-et Veut lesdéraeinerà tout
+et veut les déraciner à tout
-à lavèzitahle méthode
+à la véritable méthode
-philosopher. Leihniz a beau leslui exposer, eçghïiïffïäiräpressentii- quelques-unes
+philosopher. Leibniz a beau les lui exposer, et’jSihfaîf^pressentir quelques-unes
-Lxxxv‘: plus
+plus
-ne camprend pas.
+ne comprend pas.
-il s’étonue ‘a son
+il s’étonne à son
-de manque mens, que
+de manquemens que
-m’étonne. a Évidemment, Leibniz attendait mieux.- Et
+m’étonne. » Evidemment, Leibniz attendait mieux. Et
-le Inot d’un ancien : a Ûlemn pertlidit. »
+le mot d’un ancien « Oleum pcnlidit. »
-Leibniz, FÉthique est
+Leibniz, l’Éthique est
-ouvrage mauqué, et
+ouvrage manqué, et
-les propositions de
+les prôpositions de
-caractériser Pensemble de
+caractériser l’ensemble de
-je ‘crois sévère pour Dessertes, mais
+je crois sévère pour Descartes, mais
-trouve ivraie, nous
+trouve vraie, nous
-Lxiäxvix avec ürie entière
+avec une entière
-: c‘: Spinoza, dit Letbniz ; a
+: « Spinoza, dit Leibniz a
-in naturalisme. n Au XVII“ siècle,
+in naturalismo. » Au XVIIe siècle,
-matérialisme ; Mais il faut bien s’entendre
+matérialisme : Mais il fautbien s’entendre
-mot Manière et du niot nature.
+mot matière et du mot nature.
-ne ‘sais quel
+ne sais quel
-nourrit ‘(lu sang
+nourrit du sang
-quelque partque nous
+quelque part que nous
-masse corporelle‘. é Par n’attire, dit
+masse corporelle. « Par nature, dit
-infinité (Ïêtres ; »
+infinité d’êtres. »
-ajoute : «
+ajoute «
-ou Nature 1. v La
+ou Nature. » La
-la puissante de
+la puissance de
-a même vertu et même puis-Eth. lV, Præl’. p.
+a mêmevertu et même puis- Eth.IV, Prtef. p.
-LXXXYHI sance.
+sance.
-elle doitêtre mise
+elle doit être mise
-à {burnir à
+à fournir à
-rend ineessammenten étendue ce qlfelle rend en pensée,
+rend incessamment en étendue ce qu’elle rend eu pensée,
-par ui1 jeu (le son
+par un jeu de son
-l’esprit ei ; (le la InaLière, sans
+l’esprit et de la matière, sans
-jamais a celui-la de surpasser celleæi 1.
+jamais à celui-là de surpasser celle-ci 1.
-cela (le désordre ou (le manquement
+cela de désordre ou de manquement
-très parlait. Et
+très parfait. Et
-et (l’étendue dans
+et d’étendue dans
-ses combinai 1 Si Dieu rÿexislail pas, la pensée pourrnjlconcevoîi- plus que la nalure ne Sillllüll fournir. (Do iniell. Emend. 431), eL (dans in Lellre 4-5) z que la puissance de penser ne se parle pas à penser avec plus de force que la puissance. de la nalure ne 5K‘ [JONC il exister et in agir, c’est un axiome très clair el très vrai, d’où suil très réellement Ïexisleixce «le Dieu connue produit
+ses combinai- 1 Si Dieun’existaitpas, la penséepourraictoncevoipi’lusque lanaturenesautaitfournir.(Dointell.Rrnend. 431), et (dansla Lettre45} quela puissancede panserne se portepasà penser avecplusde forceqno la puissancedela nature ne se portoh existeret àagir, c’estun axiometrès clairet trèsvrai, d’oùsuit très réellementl’existenceîle Dieucomme produit
-LXXXIX sons
+sons
-même (piantité de
+même quantité de
-de Feutre. La
+de l’autre. La
-accroissement (tétenduo et
+accroissement d’étendue et
-des laeusées peut être (léduite de
+des pensées peut être déduite de
-de ‘généralité nécessaire
+de généralité nécessaire
-maximum dïmages au-delù duquel Fosprit sembrotlille et
+maximum d’images au-delà duquel l’esprit s’embrouille et
-notions. L’àine a
+notions. L’âme a
-corps « a plus (le points
+corps a plus de points
-l’esprit äaccroît (ÏÏIIIÎHDÎLIEILIS, que
+l’esprit s’accroît d’autant plus, que
-ample. = Noirsenlement chez Spiuoza, le
+ample. Non-seulement chez Spinoza, le
-une doctrine ; (Test une
+une doctrine. : C’est une
-LC thode.
+thode.
-dit : r : Il
+dit « Il
-chose (‘être ainsi, a» il
+chose d’être ainsi, » il
-Quand il met Petendue eu Dieu,
+Quand ilmet l’étendue en Dieu,
-fait ù lui-même l’objection
+fait à luimême l’objection
-nature (Vôtre ainsi,
+nature d’être ainsi,
-dans celle (le Dieu
+dans cellede Dieu
-et dest là
+et c’est là
-il sagit (l’expliquer les
+il s’agit d’expliquer les
-les Vices et
+les vices et
-les veuille déduire
+les Veuille déduire
-la ‘manière des
+la manière des
-« Mais qu’y faire, répond-il, (Pull ton
+« Maisqu’y faire, répond-il, d’un ton
-la mienne.... Les
+la mienne. Les
-les mèmes, et
+les mêmes, et
-la neutre. 1 a» 1 Préf. de la 3E partie. ‘Trad. Ir.
+la nature. » i Préf.dela3«partie. Trad.l’r.
-LCI Mais dumoins, Spinoza en a-t—il profondément interrogé
+Mais du moins, Spinoza en a-t-ilprofondément interrogé
-la Vue des
+la vue des
-lui oiïre, elle a dit moins
+lui offre, elle a du moins
-l’attrait «Tune science
+l’attrait d’une science
-d’un problème. Il
+d’un problême. Il
-de PÉthique où
+de l’Éthique où
-la ligue et
+la ligne et
-Spinoza itidique en
+Spinoza indique en
-les Inerveilles du inonde des corps : il
+les merveilles du monde des corps il
-pour Yobservateul’attentifnne raison
+pour l’observateur attentifune raison
-pensons ; il
+pensons il
-de somnanibulisine‘ par
+de somnambulisme’ l par
-la na 4 Personne n’u déterminé ce dont le corps est capable, dit Spinoza, Eth., p. 3, Sch. Prop. Il. Et il ne faut pas s’eu étonner, puisque personne encore n’a connu assez profondément l’économie du corps humain pour être en état d’en expliquer toutes les fonctions : je ne parle pas de ces merveilles qu’on observe
+la na- Personne n’a déterminéce dontle corpsest capable, dit SpinozaE, th., p. 3, Sch.PropI.I. Etilnefautpass’enétonner, puisqupeersonneencoren’aconnuassezprofondémeln’étconomieducorpshumainpourêtreenétatd’enexpliquetroutesles fonctionsje neparlepasdecesmerveilleqsu’on observe
-LCH ture,
+ture,
-pour l’ûme qui
+pour l’âme qui
-l’entendement lin-môme se l’aisant ses
+l’entendement lui-même se faisant ses
-de nature‘. et
+de nature et
-naturelle (les corps
+naturelle des corps
-persévérer (lans leur
+persévérer dans leur
-la physique, Dans
+la physique. Dans
-autre mssage de FÊthique, il
+autre passage de l’Éthique, il
-images Inatérielles qu’on
+images matérielles qu’on
-s’attend gueres à
+s’attend guères à
-sous la- plume
+sous la plume
-sensible cé que
+sensible ce que
-colossales (lfiun individu
+colossales d’un individu
-comme de" ses pan’ties, que rien nentràve dans son développe —ment, et
+comme de ses parties, que rien n’entrave dans son développement, et
-les changemens, sans
+les cliangemons, sans
-son imles animaux el qui sur-passent de beauconpluisugucilé dé : hem» mes, ni (le ces actions des somnambules qu’ils IŸOSOPGÎGHL répéter dans lu veille. Trnd. fr. 1 lnlelleclus sibi feuil instrument-a vi nalivâ.
+son im- lesanimauextquisurpassodnebeaucoulapsagacitédushommesn, idecesactiondsessomnambulqeus’ilsn’useraienrétpéterdansla veille.Tvod. fr. 1 Intellectus sibi facil instrumenta vi nath’S.
-LC1ll mutabilitéï. Des infinités (Ïinfinis, nous ditäl, Lié-coulent delanature de lu substameo comme
+mutabilité. Des infinités d’infinis, nous dit-il, découlent de la nature de la substance comme
-et Finépuisable richesse
+et l’inépuisable richesse
-est telle. qu’elle
+est telle, qu’elle
-toutes suces» hivernons. Il y a
+toutes successivement. Ily a
-fond nmtériel qui 5L1flit à
+fond matériel qui suffit à
-comme Perdre de la maure ne
+comme l’ordre de la naure ne
-des gäwnérations, " tout s’y engondre {suivant lu loi (lu progrès à Piufini. fixinsi se
+des générations, tout s’y engendre suivant la loi du progrès à l’infini. Ainsi se
-grande lace (le l’univers, à laquelle est jointe. une
+grande face de l’univers, n laquelle est jointe une
-d’âme cluïuoutle égaleuieul infi uir. Je ne relcrverai pas
+d’âme du monde également in finie. Je ne releverai pas
-image Contient depérilrïet dïlrreur. Bleus, e11 vérité,
+image contient de périls et d’erreur. Mais, en vérité,
-et lu vie
+et la vie
-la natnrra, il snfiit «le revenir il. Fume du monde des’sloiciens, et (le déclarer lo progrès và l’infini. L’înnie du
+la nature, il suffit do revenir à l’âme duti monde des stoïciens, et de déclarer le progrès à l’infini. L’âme du
-le {Jmgrès à linfiui ! Deux
+le progrès à l’infini Deux
-dont Leil)nizn’esl.pas la
+dont Leibniz n’est pas la
-effet, qubst-ce que
+effet, qu’est-ce que
-âme (lu monde
+âme du monde
-système (le Spinoza ? «nm vienbelle ?comment en pourra21th, p. :2, Prop, XIII. Lum na 7,561101. läp. 61S, p. 593.
+système de Spinoza ? d’où vient-elle ? comment en pourra- Kih., p. 2, Trop.XIII, Lenmo7, Scliol. ! ;>.63. p.593.
-LCIV t-il
+t-il
-Si dest une
+Si c’est une
-la source de
+la souree de
-nature saturante, quel
+nature naturante, quel
-l’infini ! En
+l’infini En
-dit : c’est
+dit c’est
-infinie d’éternelle matière.
+infinie de l’éternelle matière.
-dire : qu’il
+dire qu’il
-revêt successive ment toutes
+revêt successivement toutes
-c’est un Cartésien, un
+c’est unCartésien, un
-nature saturante et
+nature naturante et
-de llaniwzisizae dont son
+de Vanimismedont son
-Lev permettent de s’arrêter‘ nulle part. (Yest un
+permettent de s’arrêter nulle part. C’est un
-faire éyanouir la
+faire évanouir la
-de l’individufllitë qui s’é— 00111€ et
+de l’individualité qui s’écoule et
-plus (prune certaine
+plus qu’une certaine
-ordres (l’infinie que
+ordres d’infinis que
-nature. L’â n1e du monde et
+nature. L’âme du mpnde et
-n’est cpfen passant
+n’est qu’en passant
-ses (lécheances que Flnfini traverse
+ses déchéances que l’Infini traverse
-donc met plnsjuste que celui de Leibniz
+donc mot plus juste que celuide Leibniz
-Spinoza : « Il
+Spinoza Il
-ajoute z rx Dans
+ajoute « Dans
-où alini Descartes. » Etil tant montrer
+où a fini Descartes. » Et il faut montrer
-comment cettesecoude partie
+comment cette.seconde partie
-pour Panatomie et
+pour l’anatomie et
-il obéit à
+il obôit à
-directions en tous sens.
+directions eiitous sens.
-que ries ; précisément
+que c’est précisément
-LCVl qui égare SpÏHOZfi. Et
+qui égare Spinoza. Et
-du Inouvement que,
+du mouvement que,
-Si Ton se demande (prelle est Fidée fondamentale
+Si l’on se demande qu’elle est l’idée fondamentale
-c’est (le tout
+c’est de tout
-ne fut. plus
+ne fut plus
-monde. Deseartes chasse
+monde. Descartes chasse
-physique : et
+physique et
-nous ruontre (les lois
+nous montre des lois
-voyions (les p han tomes. Presse d’en finir
+voyions des phantômes. Pressé d’eu finir
-trop vlte aux niàues (le la
+trop vite aux mânes de la
-races dïuiimaux que
+races d’animaux que
-à Deseartes cette idée (Fume Inatière homogène,
+à Descartes cette idée d’une matière homogène,
-réduit LouL à l’état Inoléenlaire et
+réduit tout à l’état moléculaire et
-la 1lassivite pure. [l pousse cette (élimination de Faetivite à
+la passivité pure. Il pousse cette élimination de l’activité à
-Lcvu nommera,
+nommera,
-lettre à. Oldenburg,
+lettre à Oldenburg,
-Newton : les
+Newton les
-philosophie, a Principm philosophie onechemica. s Je
+philosophie, Principia philosophiae mechanica. » Je
-dire que PÉthique de
+dire quel’Éthique de
-de Dessertes pourrait
+de Descartes pourrait
-de Dessertes lui-même
+de Descartes lui-même
-de l’Étliique. x Ces
+de l’Éthique. « Ces
-physique, écrin-il, sont
+physique, écrit-il, sont
-supérieure. ï »
+supérieure. »
-loin : PÉtliique de
+loin l’Éthique de
-de de« venir historique.
+de devenir historique.
-Spinoza, Ep. I, 3B, p. 86, Physicæ hæ variantes famdamenlum, allissimæ et perfectissimæ Ethica}. 7
+Spinoza, 1Ep.T, 38, p. 86, Physicae h» verildfesfundamenlum, allissinietetperfectissimEtîheicas.
-xcvxu ce
+ce
-« Delapsa est
+« ’’Delapsa est
-manibus wwchanieoretnz inter quos pwimzos Roger-us. sa Elle
+manibus mechamieornni inler quos primus Rogerus. Elle
-est Spinozn. Lc Spinozisme
+est Spinoza. Le Spinozisme
-La llrlonadologie, au
+La Monadologie, au
-est la. réaction
+est la réaction
-la physiw que et
+la physique et
-par ’ Spinozn. C’est
+par Spinoza. C’est
-qu’on opprimé et
+qu’on opprime et
-ordres, suivant. qu’ellesee rapportent
+ordres, suivant qu’ellesse rapportent
-à Leihniz. 4° Dans la
+à Leibniz. 1Dans la
-de FÉthique, Spinoza
+de l’Éthique, Spinoza
-suit Fimpossibilité de
+suit l’impossibilité de
-attributs : la pensée etl’étenduc. Mais,
+attributs la pensée et l’étendue. Mais,
-bien quhétérogénes.
+bien qu’hétérogènes.
-XGIX Son
+Son
-de Findéterminetion de
+de l’indétermination de
-de Perdre et
+de l’ordre et
-de PÉthique et sui» vantes :
+de l’Éthique et suivantes :
-l’humanité : voilà Funitè de
+l’humanité voilà l’unité de
-base {le la
+base de la
-unique (les corps
+unique des corps
-états différens : voilà
+états diftërens voilà
-et Fetvenduo.
+et l’étendue.
-O Il
+Il
-monde. À ces erreurs
+monde. Aces erreurs
-en moraie. Spinoza
+en morale. Spinoza
-idées d’ord.re, d’harmonie,
+idées d’ordre, d’harmonie,
-du mouvement. régulatrices
+du mouvement, régulatrices
-à rfôtre que
+à n’être que
-Cl rapports
+rapports
-toutes les passions aune seule idée,
+toutes lespassions à uneseule idée,
-tous les métaux à
+tous lesmétaux à
-corps. Lc résultat
+corps. Le résultat
-à Leihniz : 4° En
+à Leibniz V En
-de ifavoir pas
+de n’avoir pas
-de Ifavoir fait
+de n’avoir fait
-par (le savantes
+par de savantes
-on uc doit
+on ne doit
-chercher 1‘ origine des
+chercher l’origine des
-en volonté
+volonté
-Dieu ; il
+Dieu il
-du inonde, nié
+du monde, nié
-création t Il
+création Il
-l’idée (ontologique de
+l’idée ontologique de
-douée (Paetivité propre.
+douée d’activité propre.
-accidens, ’et le
+accidens, et le
-montrer Futilité des
+montrer l’utilité des
-Il ifadtnet qu’un
+Il n’admet qu’un
-ordres dînfinîs re—
+ordres d’infinis re-
-cm latifs
+latifs
-à Fidée ontologique
+à l’idée ontologique
-la manade l’indépendance
+la monade l’indépendance
-à Findivisibilité, et à, Vindestructibilité des
+à l’indivisibilité, et à.l’indcstructibilitô des
-Spinoza. Niforielätation des
+Spinoza. Ni l’orientation des
-n’est 1‘ équivalent de la liberté
+n’est l’ équivalentdela liberté
-Ni Yautomate de
+Ni l’automate de
-GlV et
+et
-de Spinoza‘. L’harmonie
+de Spinoza’.1. L’harmonie
-nous l’a-Vous vu, bien d’inadmissible, sbfforce de
+nous l’avons vu, bien qu’inadmissible, s’efforce de
-tout Pàbime qui
+tout l’abime qui
-nécessaire. Les deux
+nécessaire. Lés deux
-mots dïuuolnute spirituel
+mots d’automate spirituel
-de Descurles. (De
+de Dcscarles. (De
-art. 1G.) Un aurait
+art. 16.) dn aurait
-avant IÏïJjOIÎ-Ïël.‘ un
+avant d’ajouter un
-aux elonnans rapports
+aux élonnans rapports
-Spinoza. Leihniz et
+Spinoza. Leibniz et
-à Dessertes son
+à Descartes son
-de l’homme-machine, de l’homme-ttutomnte ; seulement Spinoia ne la
+de rhorame-niachine, dei’horame-aulomate ; seulement Spinoza ho la
-et parla filière des Car» lesiens de
+et par la filière des Cartésiens de
-emploie 1o niot de
+emploie lo mot de
-lui denmnder d’où
+lui demander d’où
-MM. Puulus, Gfrœrer et Suisset ont
+MM. Paulus, Gfraercr et Saisset ont
-de Ifmcndat. intellect us, où
+de limenilal. inlcllcctus, où
-se lrouvo, portait automates àpirîtuale. Leihniz, plus
+se trouve, portait automalum sphiluah. Leibniz, plus
-mêmes, resiitue la
+mêmes, restitue la
-de Fédilion princeps
+de l’édition princeps
-1677, fuite dïiprès les
+1677, faite d’après les
-de Spinozi qui
+de Spinoza qui
-en oules lettres, p. 3S4, le
+en ouïes lettres, p. 384, le
-étrange ï autama pour dummutum. Il
+étrange aûloinâ pour automatum. Il
-dire : automate,
+dire automate,
-en aide.’ Toujours
+en aide ! Toujours
-écrit : automa.
+écrit automa.
-et Pexpressien de D. scurtes, le
+et l’expression de D, scatlos, le
-la ferme, pouvaient sïillérel’en passant parle canal
+la forme, pouvaient s’altérer en passant par le canal
-cv hommes
+hommes
-deux irliroirs, l’expression
+deux miroirs, l’expression
-et ä montrer
+et à montrer
-de lotir philosophie
+de leur philosophie
-que 1’o11 enterre‘. Leibniz,
+que l’on enterre1. Leibniz,
-contraire, relovant avec
+contraire, relevant avec
-termes : oc La
+termes « La
-s’accordent : le
+s’accordent le
-le 1 Entre [a Théomgie 3L [a Philosophie,
+le Entre la Théologie et la Philosophie,
-commerce, aucune affinité. Trucl. Théoly, p01. prŒÎ-i P- 150 : Paul. 14, p. 165.
+commerce, ticunaeffinitéT.ractT. héol.p, ol.proef.p, .150P, aul.14, p.165.
-cvn contraire.
+contraire.
-raison. n Voyez
+raison. » « Voyez
-du XVl"’ siècle,
+du XVIe siècle,
-prétendaient qu’11 y
+prétendaient qu’il y
-a long-temps, Ils
+a long-temps. Ils
-montrer Paccord de
+montrer l’accord de
-théologie. a : / a. ‘:3 :. xxgf/ gzflÏÈ-lÿîï ?‘ ’/ \. . I 1 rflw/ \—. ‘\.‘ ;\ —/
+théologie. » {{—}}
-NOTICE D E RE C 0 N D I TA HEBRÆORUM PHILOSOPHIE DE WACHTER.
+NOTICE SUR LE DE RECONDITA HEBRÆORUM PHILOSOPHIA De WACHTER.
-: Anianarlversioncs ad
+: Animadversiones ad
-Georg. lfltchteri librum de rccond-ita Ilebrœoruæn philosophie. Cette
+Georg. Wachteri librum de recondita Hebræorum philosophia. Cette
-pourrait s/étonner de
+pourrait s’étonner de
-de Waehter, si
+de Wachter, si
-ne savajtque celui-ci,
+ne savait que celui-ci,
-De ‘Becondita, Hcbrœorunz gihilosoplzm ou Eluciderim Kabbaw liszzîcus.
+De Recondita Hebræorum philosophia ou Elucidarius Kabbalisticus.
-de Waehter a
+de Wachter a
-adeptes, Benodict de
+adeptes, Benedict de
-ressortir Pinvraisemblance de
+ressortir l’invraisemblance de
-et däprès lequel
+et d’après lequel
-de l’a tradition
+de la tradition
-Frank, l’influenoe prépondérante
+Frank, l’influence prépondérante
-kabbalistiques, ‘et sufiît à
+kabbalistiques, et suffit à
-opinions ‘si nettement
+opinions si nettement
-de ‘Cartésianisme cultivées
+de Cartésianisme cultivées
-ne peu ! s’empêcher
+ne peut s’empêcher
-Spinoza «étai ! versé
+Spinoza était versé
-tradition boute kabbalistique
+tradition toute kabbalistique
-de Leibnâx.
+de Leibniz.
-dégager complètement. Et 1’on conçoit
+dégager complétement. Et l’on conçoit
-mais difforme. ait produit PÉthique. Qu’il
+mais difforme, ait produit l’Éthique. Qu’il
-LEIBNIZ D’APBÈS LE
+LEIBNIZ D’APRÈS LE
-DE HANÜVRE.
+DE HANOVRE.
-’.1122 P \—.. QEMAIIQUES CRITIQUES
+REMARQUES CRITIQUES
-LEIBNIZ NAPEÈS Le MANUSCRIT ORIGENAL DE
+LEIBNIZ D’APRÈS LE MANUSCRIT ORIGINAL DE
-BIBLIOTHÈQUE ROYALE DE HANOVRE, IJaiiÿte/iiÎ/dit dans
+BIBLIOTHÈQUE ROAYLE DE HANOVRE. {{—}} L’auteur dit dans
-premiers Chréliens ont
+premiers Chrétiens ont
-des Hrêbreux, mais
+des Hébreux, mais
-des Plaloniciens, dont
+des Platoniciens, dont
-auteur, dest l’antique philosophÎB des
+auteur, c’est l’antique philosophie des
-Benedict de. Spinosa,
+Benedict de Spinosa,
-croyons, Spinpsa a
+croyons, Spinosa a
-de in religion
+de la religion
-Christ toute entière ; rinais je Inïêtonne que
+Christ tout entière ; mais je m’étonne que
-dire celn après ‘avoir confesse que
+dire cela après avoir confessé que
-nié I a résurrection d u Christ.
+nié la résurrection du Christ.
-certain Auguslin {L-P. Speclh, voy.
+certain Augustin (J.-P. Speeth, voy.
-Knorr ’, mais
+Knorr , mais
-se dégoûte de
+se dégoûta de
-sort, “ se fit juif et
+sort, se fit Juif et
-Germanus ï L’auteur,
+Germanus . L’auteur,
-monde cléifié :
+monde déifié :
-attaque Spiilosa et
+attaque Spinosa et
-Dieu et-le monde
+Dieu et le monde
-Buddeus [dans PObserV. spécial
+Buddeus (dans l’Observ. spécial
-des Ilébreux contre quelques 1 Christian
+des Hébreux contre quelques Christian
-de Rnscnrotlx, auteur
+de Rosenroth, auteur
-intitulé : La
+intitulé La
-Doctrine transcendenmle des
+Doctrine transcendentale des
-; SulzlL, 1677, 1114". Leibniz le connaissant, il
+; {{abréviation|Sulzb.|Sulzbach}}, 1677, in-4o. » Leibniz le connaissait, il
-de sùn passage à. Sulzbach, et sflantretint ; avec
+de son passage à Sulzbach, et s’entretint avec
-Christ, et. surtout clfim livre
+Christ, et surtout d’un livre
-Enfant. (V. Lett. de Leib. à. Jeh Ludelf.) r1 Jean-Pierre
+Enfant. ({{abréviation|V.|voir}} {{abréviation|Lett.|Lettre}} de {{abréviation|Leib.|Leibniz}} à Job Ludolf.) Jean-Pierre
-membre (le la confession cPAugsbourg, embrassa
+membre de la confession d’Augsbourg, embrassa
-de Muses Germanus,
+de Moses Germanus,
-avec Wuchter un
+avec Wachter un
-pour objet».
+pour objet.
-; 7 auteurs ñiodernes. n a traite le‘ ñiêrïie ‘sujet dans
+auteurs modernes. Il a traité le même sujet dans
-des Hébreux-, où
+des Hébreux, où
-de l’auteur} L’auteur
+de l’auteur. L’auteur
-maintenant lui-nième et
+maintenant lui-même et
-à M. Buddeus.
+à {{M.}} Buddeus.
-défend Yaccord de la Kabà bale avec
+défend l’accord de la Kabbale avec
-attaquait alors La
+attaquait alors. La
-nomme Gematria (elle transpose
+nomme Gematria, elle transpose
-et faitd’un mot
+et fait d’un mot
-autre mot) ;
+autre mot ) ;
-La Thernure est
+La Themure est
-l’alphabet. p Bien
+l’alphabet. Bien
-tradition ‘ :
+tradition :
-fut 1G Voir Théodicêe, p.
+fut le Voir Théodicée, p.
-\ — Q — retranchement de lilalcuth des autres plantes, Walcuth ou
+retranchement de Malcuth des autres plantes. Malcuth ou
-des Siâpliires, signifie
+des Séphires, signifie
-que PhËJnIme croit suivre, sa‘ volonté, pendent qu’il exeente celle
+que l’homme croit suivre sa volonté, pendant qu’il exécute celle
-disent qu’Adan1 s’était
+disent qu’Adam s’était
-la eime de
+la cime de
-Kebel, c’est-aldire un
+Kebel, c’est-à-dire un
-Circulus Pisanus. XX, p. 13043 :1, Origène
+Circulus Pisanus, {{rom-maj|XX}}, p. 130-131, Origène
-Gnostiques, J érôxne lui« même, ont
+Gnostiques, Jérôme lui-même, ont
-aux légis» Iateurs queux médecins.
+aux législateurs qu’aux médecins.
-par lui-‘mëme combien
+par lui-même combien
-la (discipline du
+la discipline du
-Polycrates, eut
+Polycrates, il eut
-Thèbes. Lui—1nôme ne
+Thèbes. Lui-même ne
-; 112 au ‘siieñèë, inoiiis rigouiéui. iiiaion a
+du silence, moins rigoureux. Platon a
-que èùäiaii iafofianei‘ liäutéuf de iiunivors que dé le prêcher ; e11public. Et (Ïäns un autre èniiroit : qu’il faim : paiiei‘ de
+que c’était profaner l’auteur de l’univers que de le prêcher en public. Et dans un autre endroit : qu’il fallait parler de
-par énigmes. àifiii ‘que les ëäiàotères qui sè pourraient
+par énigmes, afin que les caractères qui se pourraient
-par CÜHUÎPES, mais sansen être ñbfiipris. (V. Gassèudi, contre les àristotolisiens. ) Au
+par d’autres, mais sans en être compris. ({{abréviation|V.|voir}} Gassendi, contre les aristotéliciens.) Au
-dit (livi. ä, oontré Ïes Académiciens): quïîs ne découÿfaièni leurs
+dit (liv. 3, contre les Académiciens) : qu’ils ne découvraient leurs
-ceux (le leurs
+ceux de leurs
-qui élaientfèstés auprès (Üeuk jusqujà la vieillesse. Sui-Vant Cléinentdflïiex, Stromate ; 5 ; lefiuicuiienseuiämêinés disaient qu’ilÿ avait Chez èux "certaines èhoses que tous nèpouvaientpasliie. ÉtDescarles (Leltie 89, ä Régis, ñart. t) : «Tu ‘fais tortànotrephilosophiè, si
+qui étaient restés auprès d’eux jusqu’à la vieillesse. Suivant Clément d’Alex, Stromate, 5, les Épicuriens eux-mêmes disaient qu’il y avait chez eux certaines choses que tous ne pouvaient pas lire. Et Descartes (Lettre 89, à Régis, part. 1) : « Tu fais tort à notre philosophie, si
-fais oounaîlÿe à
+fais connaître à
-ne s’éi1 soucient pas, ou‘ inêiñè si
+ne s’en soucient pas, ou même si
-la Coinuiuiiiquesù dnutrès que ceux tiiii 1a demandent àvéé iiistànce. »
+la communiques à d’autres que ceux qui la demandent avec instance. »
-en luimêmé, qu’il
+en lui-même, qu’il
-dans Iïnivors- la
+dans l’univers la
-quantité (Vôtre, que
+quantité d’être, que
-est uiie ëiñàïriâtion tile 1
+est une émanation de
-15 .. Dieu.
+Dieu.
-cela qu’il) ! est
+cela qu’il y est
-à traverälesquels circulent
+à travers lesquels circulent
-Quelques-uns peuseut que
+Quelques-uns pensent que
-Irira ’. Tatien
+Irira . Tatien
-Thèses Kabhalistiques dTIenri Pvïorus : à On 11e tire
+Thèses Kabbalistiques d’Henri Morus : « On ne tire
-dans Pansemhle des
+dans l’ensemble des
-propre au Kabhalistes. La
+propre aux Kabbalistes. La
-les Kahhalistes, le
+les Kabbalistes, le
-donne Il. Morus
+donne {{abréviation|H.|Henri}} Morus
-un elTet néeessairewet immanent
+un effet nécessaire et immanent
-fois immanente d’ émanation,
+fois immanence et émanation,
-mode Isaac Loriu, inventeur du la noumllô Kabbale. ÏVËIH» W5171“ ÛSF" gnolglisciple du
+mode Jsaac Loria, inventeur de la nouvelle Kabbale. Irira, rabbin espagnol, disciple du
-51e la «ähose aparte 2re !» que. tout le 910ml ? âeil niétre pas distincts. Je
+de la chose, a parte rei, que tout le monde sait n’être pas distincts. « Je
-Kabbale, ou peutdire que
+Kabbale, on peut dire que
-opinions philosophiques’deïa Kabbalé, sur
+opinions philosophiques de la Kabbale, sur
-par enianatigu la
+par émanation, la
-t. n, ob. 5-46, n" 3),
+t. {{rom|ii}} ob. 5-16, no 3),
-de Pavis de
+de l’avis de
-de le ilirendole s’est
+de la Mirandole s’est
-a place la
+a placé la
-de ÿarbre içabhalistique ; et pariui ceux qui l’o11t suivi,
+de l’arbre kabbalistique ; et parmi ceux qui l’ont suivi,
-fait ; avec
+fait avec
-dont parlé. Car (torn. i, ebsclieisie, ‘I, 11°M], il seutient que
+dont j’ai parlé. Car (tom. {{rom|i}}, obs. choisie, 1, no 11), il soutient que
-explications inêmes des Kebhaf listes, par
+explications mêmes des Kabbalistes, par
-de Kother, Binah, Chochniah, c’est-à—dire la
+de Kether, Binah, Chochmah, c’est-à-dire la
-— 17 — sont
+sont
-à FEnsoph, qui
+à l’Ensoph, qui
-Cadmon, fest-à-dire tout
+Cadmon, c’est-à-dire tout
-pas Panique, mais
+pas l’unique, mais
-engendré. Tatien. dans
+engendré. Tatien, dans
-Discours mm : Grecs,
+Discours aux Grecs,
-des Barbares. erst-àdire des
+des Barbares, c’est-à-dire des
-de l’univers. dit-il,
+de l’univers, dit-il,
-lui [le Verbe intérieur) a
+lui (le Verbe inférieur) a
-esprit 61.111 Verbe extérieur]. Ce
+esprit (un Verbe extérieur). Ce
-et ‘non par
+et non par
-le précur2.
+le précur-
-seur dïtrrius. Arrius
+seur d’Arrius. Arrius
-en niant le premier
+en niant. Le premier
-ou eu le
+ou en le
-Bullus, (lans la Lléfense du
+Bullus, dans la défense du
-voir (scat. m, chap. v) que
+voir (sect. {{rom|iii}}, chap. {{rom|v}}) que
-de nutivité qui u eu
+de nativité qui a eu
-commencement et. a
+commencement et a
-cite Athenagorc, Tatien,
+cite Athenagore, Tatien,
-et Novation, dont
+et Novatien, dont
-Puis enfin (chap. 1x), il
+Puis Enfin (chap. {{rom|ix}}), il
-à Zénon (de
+à Zenon (de
-après 1o Concile de Nicéc, la lettre dflllexandre {dlälexandrie} à
+après le Concile de Nicée, la lettre d’Alexandre (d’Alexandrie) à
-aux Nicomédieus ;
+aux Nicomédiens ;
-par Eusèhe Pamphili ; ei enfin,
+par Eusèbe Pamphili ; et enfin,
-(p. 394. et suiv.) :
+(p. 394 et suiv. ;) :
-ce 1nystère, biei1 que
+ce mystère, bien que
-manqueraient pus (le force.
+manqueraient pas de force.
-... 31 .. une
+une
-toute éternité. le
+toute éternité, le
-Père, ety demeure.
+Père, et y demeure.
-cette nalivité que, suivant Athannse, il
+cette nativité que, suivant Athanase, il
-le Jllonogène [Voir Athan, Discoursnl contre
+le Monogène (Voir Athan., Discours {{rom|iii}} contre
-seconde nativiléconsiste dans
+seconde nativité consiste dans
-le Verlre est
+le Verbe est
-sentiment dïäthanflse, il
+sentiment d’Athanase, il
-le premierEngendré de
+le premier Engendré de
-créature. [a troisienle et
+créature. La troisième et
-la n1ên1e Personne
+la même Personne
-de le gloire
+de la gloire
-Père, etvint habiter
+Père, et vint habiter
-très Sainte-Vierge. Et
+très Sainte Vierge. Et
-chair. Gardonsmous bien de Inépriser cette
+chair. Gardons-nous bien de mépriser cette
-des sentimens et
+des sentiments et
-la defense de
+la défense de
-accusés d’.»\rria« nisme, » — Voilà ce que, dit
+accusés d’Arrianisme. » Voilà ce que dit
-(chap. m) : «
+(chap. {{rom|iii}}) «
-.. 23.. que
+que
-est ne de
+est né de
-Les Kabhalistes l’appellrnit encore
+Les Kabbalistes l’appellent encore
-monde, ‘parce que o’est son
+monde, parce que c’est son
-forcés (raccorder que
+forcés d’accorder que
-des diver» ses Sephires
+des diverses Sephires
-leur pan rure. » Douleur passe (ch. 11-) à
+leur parure. » L’auteur passe (ch. 4) à
-dit (sur, p. 2, schot. prop. 40) :
+dit (Eth., p. 2, schol. prop. 10) :
-Dieu estla cause unir que de toutes Choses, tant deleur essence
+Dieu est la cause unique de toutes choses, tant de leur essence
-en (Feutres termes,
+en d’autres termes,
-de Spinosu. À qui
+de Spinosa, à qui
-est très«
+est très-
-—25— vrai
+vrai
-qu’elles if existent que parla permission
+qu’elles n’existent que par la permission
-parler. Maisje ne
+parler. Mais je ne
-existences enveloppant Dieu,
+existences enveloppent Dieu,
-sont coéternellesà Dieu,
+sont coéternelles à Dieu,
-choses. (let axiome,
+choses. Cet axiome,
-nécessaires ’ ou
+nécessaires ou
-... 25... habent, sed liberë suntproducta.
+habent, sed libere suntproducta.
-Deus detern1inata l’E l[ ÎVOI 16, sed
+Deus determinata ralione, sed
-necessitatus. nihilo aÿliquidfieri ad fiction es refeft Spinosa,
+necessitatus. Ex nihilo aliyuid’fleri ad fictiones refer’t Spinosa,
-p. 37L Sed
+p. 374. Sed
-nihilo fiunt. Cum
+nihilo fluut. Cum
-modorum matéria carte nec
+modorum materia certe nec
-pars præextitit, sed
+pars proeextitit sed
-hic successif. Cabalislæ videntur dicere matériam nec, creari
+hic successit. Cabalistoe videntur dicere materiam nec creari
-vilitatem cssentiæ nec existera passe, pminde ne] nullam esse ïn universo matériam, vel
+vilitatem esseritisenec existere posse proinde vel nullam esse in universo materiani vel
-et ‘ \. matériam unum
+et materiam unum
-habet Henricus Morus
+habet Henrious Morus
-massam corporcïnn et 1naterialem quæ si ! subjectum
+massam corpoream et materialem quoe sit subjectum
-mundi à Deo creari potuisso, quia
+mundi aDeo creari potuisse, quia
-creari potuerît disselr tientes ignorant.
+creari potuerit dissentientes ignorant.
-his Veri, sed
+his veri, sed
-satis intellectuel. Iÿlateria revera
+satis intelleettim. Materia revera
-non subs—« tantja, cum
+non substantia, cum
-aggregatum sen résultans ex substantifs : de matéria in
+aggregatum seu resultans ex subs- tantiis de materia in
-secunda sen massa aloquor extensa quæ minimè homogeneum
+secunda seu massa loquor extensa quoe minime homogeneum
-\ r . 27 vers eux par
+vers eux : par
-des fietions la proposition Quelque
+des fictions la proposition « Quelque
-a pointde matière
+a point de matière
-ni ‘existence possible
+ni existence possible
-; clone, qu’il d’) ; a
+; donc, qu’il n’y a
-matière ou- que.l’esprit et
+matière ou que l’esprit et
-seule etmeme chose,
+seule et même chose,
-H. Moi-us dans
+H. Morus dans
-ceux quisont d’un
+ceux qui sont d’un
-a la quelque ‘chose de
+a là quelque chose de
-en effet. mais
+en effet, mais
-point suh»
+point sub-
-.. r -, >9. ’ . stance
+stance
-un aggrégat ou
+un agrégat ou
-qui :1’est point
+qui n’est point
-a eru quelavmntiùre du vulgairé n’existait
+a cru que la matière du vulgaire n’existait
-que Descarles la définit. mal
+que Descartes la définit mal
-(Lett. 73], et
+(Lett. 73), et
-qui doil être
+qui doit être
-la un’. de
+la Réf. de
-exprimant nue essence
+exprimant une essence
-et infinie.»le réponds
+et infinie. » Je réponds
-si Ponvveut la
+si l’on veut la
-certaine ré« pétition indéfinie
+certaine répétition indéfinie
-elles on indiscernables. Mais de même
+elles ou indiscernables. Mais même
-choses nombrëes. de
+choses nombrées, de
-31.. tentet qui,
+tent et qui,
-Ces accidens. qui
+Ces accidents, qui
-qu’elles élaient d’abord,
+qu’elles étaient d’abord,
-Spinosa [Eth., p. l, eorolL, prop. 13‘, et sehol, prop. 15) ‘. «
+Spinosa (Eth., p. 1, coroll., prop. 13, et schol., prop., 15) . «
-substance corporelle. n est divisible.
+substance corporelle, n’est divisible.
-système, parole qu’il“ iÿadmet qu’une
+système, parce qu’il n’admet qu’une
-Mais eela est
+Mais cela est
-le miembienque jndmette une
+le mien, bien que j’admette une
-ou monacales. 1 Spinosa dit-(Etlr, p. 3, schoL, prop. Q) que l’es— I Échelle très-important,
+ou monades. Spinosa dit (Eth., p. 3, schol. Prop. 2) que l’es- Scholie très-important,
-le doua ne : ici
+le donner ici
-entier. Nuus nous horuous il. ce
+entier. Nous nous bornons à ce
-y :1 de principal u Il n’est ; pas
+y a de principal ≪ Il n’est pas
-absurde (le supposer la stibstauee corporelle formée (le corps
+absurde de supposer la substance corporelle formée de corps
-que (le composer
+que de composer
-corps (le surfaces,
+corps de surfaces,
-surfaces «le lignes,
+surfaces de lignes,
-qui suit qu’une
+qui sait qu’une
-si un se range à l’opinion
+si on se range a l’opinion
-vide, eux ? n Trnxl. f1‘. de M- Saisi“-
+vide, etc. ? ≫ Trad. fr. de M. Saisset.
-....33. prit
+prit
-2 scholvä, prop.
+2 schol. 5, prop.
-de l’étendre. Il
+de l’étendue. Il
-ce quilparaît avoir
+ce qui parait avoir
-font qu’un.» J e blâme
+font qu’un. » Je blâme
-organique, c’estt’a-dire une
+organique, c’est-à-dire une
-est jointe. mais
+est jointe, mais
-peut très-bien lui ôter tout cela
+peut très bien lui ôter fout cela
-en soit. altérée.
+en soit altérée.
-ne Pense 1335- La Pensée» 37-1 contraire,
+ne pense pas. La pensée, au contraire,
-à D105 ÎÔTÏB raison,
+à plus forte raison,
-perception ; mais Fétenduÿefiappartient
+perception : mais l’étendue appartient
-. 35 . aux eonlposés. On
+aux composés. On
-donc pas’dire que
+donc pas dire que
-même chose. pas
+même chose, pas
-que Spinosaa entendu
+que Spinosa a entendu
-esprit. Blais il
+esprit. Mais il
-pas détendue des
+pas d’étendue des
-qu’on ‘ne les
+qu’on ne les
-l’esprit Phut-il être
+l’esprit peut-il être
-? (le serait
+? Ce serait
-peut sïätonner aussi q11e Spinosa,
+peut s’étonner aussi que Spinosa,
-plus liant (de
+plus haut (de
-le tembssont les
+le temps sont les
-toutes choses.‘ Cela
+toutes choses. Cela
-lu au trefois : Que
+lu autrefois : « Que
-je Palfinne, des
+je l’affirme, des
-ou activitésmuEntelechies. Galant à
+ou activités, ou Entelechies. Quant à
-que dit. Spinosa
+que dit Spinosa
-p. 1., prop. 3/1.) que
+p. 1, prop. 34) que
-de soi’et cause
+de soi et cause
-choses ’, et
+choses , et
-2, n° 2.)
+2, no 2.)
-des Choses est
+des choses est
-ne l’admcts pas.
+ne l’admets pas.
-il pro— duit lilnenlent les
+il produit librement les
-la puis— ’sauce des
+la puissance des
-bien qu’clles aient
+bien qu’elles aient
-dit (Leu. 211) :
+dit (Lett. 24) :
-Par la. prop. Il. 2 Par
+Par la prop. {{rom-maj|II}}. Par
-son coron.
+son coroll.
-—- 39 -. doute
+doute
-manière ‘ ;
+manière ;
-que (je été
+que ç’a été
-le peutooni eoturer de
+le peut conjecturer de
-défigurées quelles soient
+défigurées qu’elles soient
-moi, ‘ je
+moi, je
-en Dieu. non
+en Dieu, non
-été la où
+été là où
-sont d’aoeord sur
+sont d’accord sur
-de Spinoza, qui déclare n’adhèrent à
+de Spinosa, qui déclare n’adhérer à
-sauf à en
+sauf a en
-traduit : u Je
+traduit ≪ Je
-nous montons on Dieu.
+nous mouvons en Dieu.
-façon. n Spinoza déclare à. mon
+façon. ≫ Spinosa déclare à mon
-que tont en
+que tout en
-l’affirmation rlc Saint
+l’affirmation de Saint
-philosophes, i.l entend l’expliquer àsa manière.
+philosophes, il entend l’expliquer à sa manière.
-un aven, manque dans le traduction
+un aveu, manque dans la traduction
-. 40. produxerit Cabalistanlm concors sent enlia est. Hmc suhinde eloquitrxr deprinoipiato quodam
+produxerit Cabalistarum concors sententia est. Hinc subinde eloquitur deprincipiato quodam
-Deus immédiate ex se efiluere fiacerit, et quo mediante caetera in seriem
+Deus immediate ex se effluere i’ecerit,et quo mediante cæterain seriem
-sunt producla idque variis uominibus salutare solent gratia ex‘. Adam
+sunt producta idque variis nominibus salutare soient gratia ex Adam
-Messias, Christus, Aäyoç, verhum, primogenitus,
+Messias, Chrislus, Aiyoç, verbum, primogenitus,
-homo cælestis, dux,
+homo coelestis, dux,
-Rationem asserli alias
+Rationem asserti alias
-ut præter nomen nil desidemre possis. Seqtülurinquit, Eth. p. Il. schol.
+ut proeter nomen nil desiderare possis. Sequitur inquit, Eth. p. 1 schol.
-28. Seetzndo quod
+28. Secundo quod
-non potes ! proprie
+non potest proprie
-quas immédiate produxil vel potins quæ ex
+quas immediate produxit vel potius quoe ex
-ejus naturel sequuntur, distingua mus. Quaîia autem
+ejus natura sequuntur, distinguamus. Qualia autem
-illa qnæ ex abso-Iuta Dei
+illa qme ex absoJuta Dei
-sequi dieuntur sic explicatif : prop. 211. Omnia quæ ex absoluta natura alioujus attribuai Dei
+sequi dicuntur sic explicavit prop. 21 Omnia quaoex absoluta natura alicujus attributi Dei
-attributum æterna et infinita saut.-Hæe autor
+attributum seteroa et infinita sunt.Hoec autor
-fundamento caront. Deùs nullam creaturam infinités producit
+fundamento carent. Deus nullam creaturam infinitam producit
-nec assigna ri
+nec assignari
-—M. ce
+ce
-Dieu aproduitde certaines choses mén platement et
+Dieu a produit de certaines choses médiatement et
-cela 1’amène à
+cela l’amène à
-de lui-mémo. Par
+de lui-même. Par
-divers z Adam
+divers : Adam
-Spinosa. Saufle nom,
+Spinosa. Sauf le nom,
-p. Il. schol. prop. 28 {destle second
+p. 1, schol. prop 28 (c’est le second
-(proposition 2l). queues 30m les
+(proposition 21), quelles sont les
-absolue dïm attribut
+absolue d’un attribut
-—.: 142 — V potestjn quo ea dijferat ah ipso. . Nggn guod ‘sihi imqginglur Spinosa ex quovis aityibuto pecnliarem prodire infinilam rem, ex extensions infinilum quoddam extensions ; excogitatione
+pptest in quo ea differat ab ipso. Nam quod sibi iniaginatup Spinosa ex quoyis attributs peculiarem prodire inûnitam rem, ex extensione infinitum quoddam estensione, excogitatione
-quemdam intelleotum, oritur ex varia imaginations de divinis qui bus dam atlribntis heterogeneis velutcogitatione et extensions, et inhumeras aliis ibrtasse. Nam
+quemdam intclleclum orifur e* varia imaginatione de divinis quibusdam attributis heterogeneis velut cogitatione et extensione, et innumeris aliis fortasse. Nam
-est gllribntum pexf se oum non si ; nisi ropetitio porcipientium. Exçensum infinités non
+est attributum perse cum non sit nisi repetitio peroipientium. Extensum infinitura non
-Cogitans iqfinitum est
+Cogitans infinitum est
-Deus. Neoessgria et quæ, en ; infinita Doi natura sequunlur, suntæternap véritables. Ççeatqra particularisas alia producitui‘, al liæo rursus abalia.
+Deus. Necessaria et qua- ex infinita Dei natura sequuntur, suntseternoe veritates, Creature partioularis ab alia producitur aliisecrursus abalia.
-conçipiendo veniretnr ad Doum si progressusininfinitum fingçggelur, et
+conçipiendo veniretur ad Deum si progressusininflnitom fingejetur, et
-non ultime ! minus
+non ultima minus
-alia aimeriez ; à Deo
+alia anterior a Deo
-= ‘të = et
+et
-attribut, PËternité et Plnfinité. » -Ces propositions
+attribut, l’Éternité et l’Infinité. » — Ces propositions
-créatures infinies. et ‘on ne
+créatures infinies, et on ne
-aucun ergument, prouver
+aucun argument, prouver
-différence Q1181‘ ? conque de
+différence quelconque de
-de Spinqsa, à
+de Spinosa, à
-attribut en peut
+attribut on peut
-il sïmaginc certains
+il s’imagine certains
-et peut» , être aussi
+et peut-être aussi
-n’est quïmaginaire :
+n’est qu’imaginaire :
-les ventes éternelles.
+les vérités éternelles.
-une autre. et
+une autre, et
-une ‘autre également. Ainsi. donc, 01,1 sursis ses ; cvecevain on eïättneräeit pas ?‘ Dieu : si
+une autre également. Ainsi donc, on aurait beau concevoir, on n’arriverait pas à Dieu, si
-ad Græcos spiritus inesse
+ad Grsecosspiritus inesse
-aquis homjnibus et
+aquis hominibus et
-sit, diiferenlias in
+sit, diflerentias in
-habet. — Sed hanc ego doctrinal minus probe. Est
+habet. -Sed hanc ego doctrinam minus probo. Est
-idem difïusa et qnæ instar aeris in organis pueumaticis pro diversis fistulis diverses sonos fecit : ita fraeta fistula cessabit illie anima
+idem diffusa et quoe instar æris in organis pneumaticis pro diversis flstulis diversos sonos facit ita fraota fistula cessabit illic anima
-in aniniam mundi. Sed scieudum est
+in animam mundi. Sed sciendum est
-esse substantifs incorpore as. Vel si mavis animes, quot
+esse substantias incorporeas, vel si mavis animas, quot
-machinæ organieœ natureles. Sed quod ail. Spinosa. Eth.
+machinæ organicoe naturales. Sed quod ait Spinosa, Eth.
-2, sahel. prop. 43. Omnia quzunvis diversis
+2, schol. prop. 13. Omnia quamvis diversis
-animata [amen sunt, alia mirahili sententia
+animata tamen sunt, alia mirabili sententia
-rei dae tur neeessnrio idea
+rei datur necessario idea
-Deo eujus Dens est
+Deo cujus Deus est
-eodem mode ac
+eodem modo ac
-plane ah omni
+plane ab omni
-ideam. Idœe sunt aliquid mère abstracteur ut
+ideam. Ideoe sunt aliquid mere abstractum ut
-et figurœ nec
+et figuroe nec
-Ideæ sunl abstraclæ et
+Ideæ sunt abstractæ et
-.. 45 l’on
+l’on
-à Finfiui, et
+à l’infini, et
-ces oreaî tures nlest pas
+ces créatures n’est pas
-précède. n l Tatien
+précède. Tatien
-en lui-même- (Test là
+en lui-même. — C’est là
-c’est lÏerreur de Palme du
+c’est l’erreur de l’âme du
-comme l’a’ir dans
+comme l’air dans
-des so ns divers.
+des sons divers.
-briser, Fâme cessera
+briser, l’âme cessera
-à Parue du
+à l’âme du
-incorporelles, dïîmes si l’on veut‘, que
+incorporelles, d’âmes si l’on veut, que
-2, schoLi prop. 4 3) zToutes choses, bien qu’a des
+2, schol. prop. 13) : Toutes choses, bien qu’à des
-a né« cessairement en
+a nécessairement en
-‘ — lzè — ùniversales :
+universales :
-animalis eujnsüne est ÿibssibilitas} etillusid est änimas immortàles dicere, quîa ideæ snnt æternaè ; quasi
+animalis eujusçjue est pbssibilitas, et illusio est animas immortales dicere, quia ideee siint oeternoej quasi
-anima æterna diceretuf quia idea sphærici corporis interna est. Anima non estidea ;
+anima oeterna diceretur quia idea sphoerici corporis oeterna est. Animanon est idea ;
-fons innnmerahilinlm îdearum, Habet ènim præter ideam præàèntem activnîn’aliquid seu pioductionem nôvamm ideai-nm. At sëcundrfifi Spi—. nosnm quovis momènw alia erit
+fons innumnraWliuni idearum. Habet eniiri pfsetef ideani proesentem activulil aliquid seu productionem ridvaram idearum. At sccundiiin Spinosam quovis momentoalia erit
-quia innlalo col-pore‘ älia est coîpdfis idea.
+quia mutatd corpore alia est corporis idea.
-non mirum si créatures pro modificationilius evanidis habet.-Anima ei-go est ziliquid vitale seu continuas vim actiÿamz l Ait
+non mirurn si creaturas pro modificationibus evanidis habet.– Anima ergo est iliquid vitale seu continens vim activam : Ait
-Eth., j). i, prop.
+Eth., p. prop.
-Ex necessîîate diÿinàè natnræ infinitainfinitis modis (hoc estoinniaqnæ sub intellèèiiim infinitude‘ dadërc passant) seqüi
+Ex necessitate divin* naturee inflnitainliriitis modis (hoc estomnia queesub ititelleetuih inlinitunt cadere possunt) sequi
-— 47... la
+la
-aussi de l’idée
+aussi l’idée
-de raisonàdire que Pâme est
+de raison à dire que l’âme est
-idée ; les
+idée : les
-les figures. et
+les figures, et
-universelles. Lïdée d’u11 animal
+universelles. L’idée d’un animal
-sont éternelles. comme
+sont éternelles, comme
-que Fidée du corps sphériquePest en effet. Uâme n’est
+que l’idée du corps sphérique l’est en effet. L’âme n’est
-d’actif, oula production
+d’actif, ou la production
-idées. “ais, suivant Spiuosa, Palme change à chaque
+idées. Mais, suivant Spinosa, l’âme change chaque
-qu’aux changemens du
+qu’aux changements du
-L’âme estdouc quelque — ehose de
+L’âme est donc quelque chose de
-(Eth. p.4, p1’op. 16) ;« De la nécessité de
+(Eth. p. 1, prop. 16) : « De la nécessite de
-infinis, c’est-à—di1-e tout
+infinis, c’est-à-dire tout
-qui peul tomber
+qui peut tomber
-5,3... dohent. Sentenlia falsissima et idem est
+debent. Sententiafalsissima etidem est
-Cartesius insinua vit, matériam successive omnes formas suscipere. Spinosa incipit ubiCartesius
+Cartesius insinuavit, materiam successive omnesformas suscipere. Spiuosaincipit ubiCartesius
-in naturalisme. Idem maie, Ep.
+in naturalimo. Idem male, Ep.
-mundum divinæ naturæ effeclum esse, etsi pene addat
+mundum divinse nafuroe effectum esse, etsi pêne addat
-esse fuctum fortuita.
+esse factum fortuita.
-medium inter necæsaria et fortuite, rempe liberum. Mundns est effectus Dei voluntarius sed oh rationes inclinant es sou prœvaleutes. Et licel fingeretur
+medium iuter necessaria et fortuita, nempe liberum. Mundus est eft’ectusDei voluntarius sed ob rationes inclinantes scu proevaleutes. Et licet fingeretur
-tamen necessarius non forêt. Potuisset
+tamen neccssarius non foret. Potuisset
-non eut aliter
+non aut aliter
-erat -facturus.-Pulat, Ep. 49. Doum ea nécessitante mundum
+erat facturus. Putat, Ep. 49. Deum ea necessitate mundum
-Sed Iespondeildum est
+Sed respondendum est
-esse possibles, at
+esse possibiles, at
-non inlelligeret, impossible erat. — Spinosa
+non intelligeret, impossibile erat. Spinosa
-p. 1, schoLprop. 47. Scio
+p. 1 schol.prop. 17. Scio
-qui putanl se
+qui putant se
-Dei natnram summum intellectuel et
+Dei naturam summum intellectum et
-voluntatem pertinente nihil enim perfectifs agnoscere
+voluntatem pertinere nihil enim perfectius agnoscere
-quod Deo tribuere possunt
+quod Deotribuere possunt
-summa perfectif est ‘... ideo mnluerunt Deum
+summa perfectio est ideo maluerunt Deum
-omnia indifïerentem IPuri-o tmzietsi Denm acrn snmme intelligences conciliant, non
+omnia indifferentem Purrotiimet&iDeumsctu «ummifnl tolligcntocionnciliantnon
-. 1,9 . sous
+sous
-opinion très-fausse ;
+opinion très fausse ;
-que Dessertes a insinuée I à
+que Descartes a insinuée : à
-commence ’ où
+commence où
-: Dan-s le Natural-isæne. Il
+: Dans le Naturalisme. Il
-de diretLettre 58)
+de dire (Lettre 58)
-est l’effetdn. la nature divine. bien
+est l’effet de la nature divine, bien
-ne l’es’t pas
+ne l’est pas
-libre. Ëdé monde
+libre. Le monde
-raisons inclinâtes ou prévalences. Quand ‘ i bien
+raisons inclinantes ou prévalentes. Quand bien
-pas préer, ou créer. autrement
+pas créer, ou créer autrement
-devait poiutle faire.
+devait point le faire.
-le niontle de
+le monde de
-de soimême. Mais
+de soi-même. Mais
-pas Pintelligence de
+pas l’intelligence de
-Spinosa dit. douctEth. p. t, prOP- 473 5 Je
+Spinosa dit donc (Eth. p. 1, prop. 17) : « Je
-philosophes croient. pouvoir
+philosophes croient pouvoir
-intelligence 1E1 lîhrf‘ N , ...
+intelligence et la libre
-statuera nee aliud creantem præter id quod absoluta
+statuere nec aliud creantem pfæter id qiiod absoluta
-ego me satis clare os tendisse puto ‘ a sumïnn Dei potentia ’ onxnia cadem necessitatc sequi, eodnm modo ut’et natura trianguli‘ sequitur
+ego Bie satis clare ostendisse puto a sutniha Dei potehtia J omnia eadem necessitatc sequi, eodem modo ut3 ex natura tri anguli4 sequitur
-tres angulüs mqüafî duobus rectis.—Ex initio horum ‘verborum patetSpinosam Deo non (Æibuere intellectuel et voluntatem. Rente negat
+tres angiilds eequafi duobus rectis.-Ex initio horumverboruni patet Spinosam Deo non tribuere intellectum et volutifatem. Recte negat
-esse indifférentes et absolutaIohinta te aliquid statuettes : statuit
+esse indifierentem et absoluta voliintate aliquid statuentem statuit
-Res ox Deo sequi, ‘ut proprïetates ex
+Res ex Deo sequi, ut proprietates ex
-nullo argumente comprobatur neque
+nullo argumento comprobatuf neque
-et tes existantes. rumen credunt, cmn passe omnîn, quse actu intelligit, efiîcere ut existant ; nam se en morio Deî potentiel destnlere pumnt. Si omnia, inquîunt, quæ in Qjus Intellect‘: sunt, crenvisset, nilfiï ‘çum nmÿliüs drenro wñuîsset, quo ?! creduut Dei vmnîpotentiæ repugnaxe. Omîsm (vide pmp. 16). 3 Sive înfinim natura, înfiuîtn infinitis modis, 110c est, omnîn necoæ suria ofliuxisse vel semper cadem neoessitatc séquî fut snprà) 3
+et res existeiites. tamencredunet,umposeeomniaq,UKactuiatelligiet,fficeruetexistant namseeomodDo eipotentiamdestruepreutant.Siomniau,Kimuuqtu, se inejusintellectauuntc,reavissenti,hiltumampliUcsi’earcpotuisseqtu, oa’3 credunDteiomnipotenrtiespeognare. Omisso (vide prop. 16). 2 Sive infinita natura, infinita infûiitis modis, hoc est, omnia uqgossario cfnusisæ vel semper eadem neuessitaie eeiiui (ut supira) 3
-pro ut, 4 Ab æternu et in aètemum.
+pro ut. 4 Ab isterao et in «tênwtn.
-‘,1.. volonté
+volonté
-à attribuera Dieu
+à attribuer à Dieu
-haute perfection... et n’est pourquoi
+haute perfection ... et c’est pourquoi
-montré ’ que
+montré que
-il résulte‘ que
+il résulte que
-angles égalent. deux
+angles égalent deux
-mots ou voit
+mots on voit
-Dieu Fintelligence et
+Dieu l’intelligence et
-ne ’ I :1 Or,
+ne « Or,
-conçoivent ln souveraine
+conçoivent la souveraine
-acte Lluus 5o intelll : gencu, autrement ils rruiruient nvoir détruit la, puissance Ll-u Dieu. S1 Dieu uvuit créé, dîseiwils, tout. ce
+acte dans son in telligence, autrement ils croiraient avoir détruit la puissance de Dieu. Si Dieu avait créé, diesnt-ils, tout ce
-est ou son intelligence, Il ïflîllîl 5€x-ajt Plus rien
+est en son intelligence, il ne lui serait plus rien
-leur parait cuntmzre n l’omnipotence divine. u Trud. fr. ’1’. n, p. 22. 2 Le
+leur paraît contraire à l’omnipotence divine. » Trad. fr. T. {{rom|ii}}, p. 22. Le
-renvoie à. la Pmp- 16’ 3 ou de m nature infinis, (les infinis
+renvoie à la prop. 16. Ou de sa nature infinie, des infinis
-infinis, c’est à- dire toutes chasse ont découlé uécessairemelït ou
+infinis, c’est-a-dira toutes choses ont découlé nécessairement ou
-sans cessa. a De
+sans cesse. De
-Idem sch ol. ad prop. 47‘ vult intellectuel et volun-Omnis locus ex integro mîhi restituendus videtur qui ita se haæbet : u nam intellects et ‘voluntas qui Dei essentiel constituerent, a. nostro intellects et volnntate toto cœlo clifibrre (Iebemnt, nec in villa re, præterqnnm in 1iomine, convenir possent ; non nliter scilicet, qunm inter sa came-admit cauis, signnm caæleste, et cnuis, animal latrans. Quor] sic demonstrnbo. Si intellect us m1 flivinnm naturnm pertinet, nün poterit. uti “ester intellects, pot-‘terior fut pleïisque p1 Met) vol sirmil 113mm esse
+Idem schol. ad prop. 171 vultintellectum et volun- Omnis locus ex iutegro miki restitnendus videtur qiii ita se habet « nam intellectus et voluntas qui Dei essentiam constituerent, a nostro intelleclu et voluntate ioto ccflo differre deber«nt, nec in ulla re, proeterqnam in nonihie convenir^ -possent uon aliter scilicet, quam inter se conveiiiimt fiauj ?, signum cn ;leste, et crtiiia, animal latians. Qûoû sio demonstraTjo. Si intellectus ad divinam naturam pertanel, non poterit, uti uoster intellectus, po^tevior (ut pleiisque plapefcj vftl simnl nattira esse
-rubus intellects, quzuxdo quidam Deus omnibus rebus prior est causalisme (per corall. l, prop. 16) 59 :1 contra véritas et formaljs rerum essentia itleo taîis cs1, quia ialis in Dci intellects existit objective. Quart‘. Dei intellect us, quntemls Dui cssemium constituera concipitur, est revers» causa, œrum, mm Bnrum esseniiæ qunm esrum existenhiæ ; quocl ah iis videtur etiam fuissc nnimadrersum, qui Dei intellectuel, Voltmtntcln et potentiel 11mm) ct idem esüe assemerxmt. Cum inique Dei intellect us sic uuica rerum causa, vidnlinet (un ostcudimtis) tnm ans-nm essentim, qunm csmlm existentiel, (ïehet ipse necessurîo xLI) iisrlem diiferre, mm rntione essentiæ quam ratiune existcuîiæ, 1mm causahun (Effort a sua caum præcisè in B0, quod a causa hnbet. Ex grnt. homo
+rubus intellectis, q-aaudo quitlem l>eus omnibus i-ebus prior est causalitate (per coroll. 1, prop. 16) sed contra vevitas et formalis rerum essentiaideo talis est, qnia talis in Del iutellcctu csistit objecti"vc, Quaro Dei Lntcllcetus, quatemis Dui osseuûum coustituere est rêvera emisa, rerum, tam eariiiii essentife quam eavum cxistentifle qnod ab iig -videtiir etiam i’nissG animadveraum, qui Dei intellcctum, voliuitatem et potcntiam tumm et idem esse asseruemnt. Cnm Dei intellectus sit unica rerum causa, virlelicet (tit OÊtciidiinua) tnm earnm essentia" quam carum esistentiic, cleliet ipse neoessario ab iisdem differre, tam ratione essentiic tjuamratLone existentioe, nam eausatum differt a sua causa prascise in eo, quod a Ofui-m, habet. Kx. grat. homo
-causa exismexitîæ, non vers cssemîæ altcvrius homiuis : est enim hæc interna véritas : et ixieo seunndum essentiiun prorsus souvenirs possum ; in exisfendo anbem rlilïcrrc fichent, et. PTÛPÎGFGH, si unîus nxîstentia pereat, non ides alterne peribit
+causa existeutiie, non vero essontioe alteriua lioininis est enim hsce oeterna veritas et iueo secundum essantasun prorsus couvenire possunt in existendo antem diffciTC debent, et propterea, si unuis cxipie-ntia. an. ideo altevius peribit
-si unius esseutia
+si tinius essentia
-53 . pas VOIIÏOÎI‘ d’un Dieu iniliilërignt et Llécréiant toutes
+pas vouloir d’un Dieu indifférent et décrétant toutes
-une Volonté absolue
+une volonté absolue
-qui suppnie sur
+qui s’appuie sur
-raisons. Spinosn ne
+raisons. Spinosa ne
-point (l’analogie quilleurs entre les. essencesfet les
+point d’analogie d’ailleurs entre les essences et les
-le seholie de
+le scholie de
-proposition 47 ‘ il veut 1 Il nous yumît nécessaire (le donner
+proposition 17 il veut Il nous parait nécessaire de donner
-passage z a : L’intelligence et in volonté ; qui,
+passage : ≪ L’intelligence et la volonté qui,
-Dieu, iäevraîexit différer 11e tout mini ; de
+Dieu, devraient différer de tout point de
-et (le notre \ olonté, et
+et de notre volonté, et
-toute nouniuule, âLiJSDlumCut comme se
+toute nominale, absolument tomme se
-chien nuimnl uboynnt. (“est ce
+chien animal aboyant. C’est ce
-y n en
+y a en
-une iu telligence, elle
+une intelligence, elle
-même rappel-t que 1st nôtre zivec les
+même rapport que la nôtre avec les
-embrasse. Notro intelligence,
+embrasse. Notre intelligence,
-est pur su nnture poste ? ricure à. ces objets (dest le sentiment eoninrun] ou
+est par sa nature postérieure à ces objets (c’est le sentiment commun) ou
-simultanée, lundis qu’nu contraire
+simultanée, tandis qu’au contraire
-le coroli. ‘i de la. prOpu-I. XVI}, et
+le coroll. {{?}} de la, propos. {{rom-maj|XVI}}), et
-l’essence loi-ruelle (les choses n’est ne qu’iulle est que pal-cc qu’elle existe OQÎOËÜVEUIÜHÈ telle dans l’intelligence de
+l’essence des choses n’est ce qu’elle est que parce qu’elle existe objectivement telle dans de
-conséquent, Pinielligence de
+conséquent, l’intelligence de
-véritablement le cause des choses, tant fle leur cssence que
+véritablement la cause des choses ; tant de leur essence que
-et lu yuissunee de
+et la puissance de
-l’intelligence [le Dieu est 12L cause unique (les choses
+l’intelligence de Dieu est la cause unique des choses
-différer (le ces
+différer de ces
-rapport (le Pessenue aussi
+rapport de l’essence aussi
-que sonsle rapport (le l’existence.
+que sous le rapport de l’existence.
-diffère (le
+diffère de
-cum nos tro solum nomine convenir, nam nosîrum esse posteriorem rehus, Dei priormn, sed 11inc non sequitur solo nomine con venireAlibi tamen dicit cogitationem esse
+cum nostro solum nomineconvemre, nain nostrum esse posteriorem rebus, Dei prjoreii}, sed hinc nonsequitur solo nomine convenue. Alibi tamen dicit eogitationem esse
-illam references particulares cogitant modos. Eth. p. L2, prop. Il. Scd tune
+illam referendos particulares cogitandi modos. Elb- p, 2, prop. Sed tune
-eum loquî de verbe Dei
+eum loqui de verbo Dei
-5, mens nqstra Darsinlel’ lectus infiniti.
+5, mensnostraparsmtellectus infiniti.
-p. ä, prop. destruî pnsset et fieri fnlsa, desîrunretur etiam nlterius esrsenüa. Quapropfer tes, quæ et essentîæ et existentîæ nlicnjus efïcutus est
+p. 5, prop. destrui po&sct etfieri tai=a, desti’unratur etiam alterins .essentia. Quapropter res, qnoe et essentioe et existentite nlicnjus effeutus est
-a talî efiectu difïerre debet, mm rntîone essantiæ (luam ratîonc cxîstemiæ. Atquî Doî intellect us est et ossentîae et existenfiæ nostri intellect us causa : erg !) Dei intellects, quateuus tlîvînam esseutizun constîmere coneipîtur, n nostm intellects mm rations essentiæ (luam mtione exintentîæ dîflert, nec
+a tali effectu differre debet, tain rntione esseatioe quam i-iitionc cxisteiitise. Atqui Dei 3ntelIeGtU3 est et ^Esentite et existentue nostri intellectus caijsa ergo Dei mtcllccttis, quateims divinsm essentiam çonstitueve coneipittir, u nostro intellectu tam ratione esscutifc qustm ratione existent.ioe diflfert, nec
-ulla 1-5, præterquan] in nomîne cLuu et) convenir protest, “t volebamus’Cîrca volunuttem eodem morio prncefiitul’, nl’. facile unusqnisquanl videre pobesp. n
+ulla re, pricterquam in nomine club eo conveaire pfotest, ut volctaniTis. Circa voluiitutem eodera modo procediturf ut facile nnus^aisquaDi videre potest. »
-*.55=’ que PÎHÏGÏÏÎSBIIGG et
+que l’intelligence et
-Dieu iraient avec
+Dieu n’aient avec
-ne Suit pas
+ne suit pas
-p. 2, pl’op. t). llIais l’auteur
+p. 2., prop. 1). Mais l’auteur
-5) z que
+5) : que
-infinie. L’âme
+infinie. « L’âme
-Spinosa (Eth., p. 5, Désa cause
+Spinosa (Eth. p.5, Dé- sa cause
-ils doiœnt différer
+ils doivent différer
-de lit vient
+de là vient
-de l’autré ne cessern pus nécessairement.
+de l’autre ne cessera pas nécessairement.
-de ‘ l’autre périr-ait en. même
+de l’autre périrait en même
-est In cause
+est la cause
-tout à la. fois
+tout a la fois
-rapport [le l’essence que
+rapport de que
-le mpport de
+le rapport de
-Or, l’intelligence de
+Or, l’Intelligence de
-est la. cause
+est la cause
-l’intelligence de. Dieu,
+l’intelligence de Dieu,
-le rapport. de
+le rapport de
-s’agissait (le lr. ilémontier. Or,
+s’agissait de démontrer. Or,
-qu’on iernit la
+qu’on ferait la
-Dieu. n Trud. frauç. T. n, p.
+Dieu. » Trad. franç. T. {{rom|ii}}, p.
-....5fi.... 23, demonsl.), non passe cum corpore absolute des» trui, sed
+23, demonst.),non possecumcorpore absolu te destrui, sed
-est : id aulem ad Lempus non
+est id autem ad tempus non
-durationem inquil menti nisi duraùte corjJore non lribuimus. Et
+durationem inquit menti nisi duraiite corpore non tribuimus. Et
-schol. subseql ail, Est hæc idea, quæ corporis essenlianl sub specic ælcrnitatis exprimit, cerluà cogitant modus
+schol. subseq. ait, Est heec idea, quse corporis essentiam sub specie oeternitatis exprimit, certus cogitandi modus
-mentis essentiaru pnrtinet quique necessario æterilus est, etc. HŒC iliusoria esse oportel. Hæc idea est
+mentis essentiam pertinet quique necessario seternus est, etc. Hoecillusoria esse oportet. Hoecidea est
-figura sphæræ cuj us asternilas nihil præjudicat existentiel, cum silipsa possihililas idéalis sphæræ. [laque nihil
+figura sphoeræcuj us oetcrnitas nihil proejudicat existentiam, cum sit ipsa possibilitas idealis sphoeroe. Itaque nihil
-sub æternilatis specie involvit {elernam esse, parilerque ælerna erit quia æternas véritables de triangulo inleiligil. Mens
+sub eeternilatis specie involvit oeternam esse, pariterque æterna erit quia oetemas veritates de triangulo intelligit. Mens
-durat ncc tempus
+durat nec tempus
-ultra actunlem corporis existentiel. Ita
+ultra actualeni corporis existentiam. Ita
-d. L qui eam cum corpore
+d. 1. qui eam eum corpore
-unicum sempm‘ manere elsi transformerai.
+unicum semper manere etsi transformetur.
-... 57 . monst.
+monst.
-quelque chose qui
+quelque chose, qui
-cela in’a point
+cela n’a point
-nous if attribuons à lïime de diurétique pendant
+nous n’attribuons à l’âme de durée que pendant
-qui exprimePessence du ‘corps sous
+qui exprime l’essence du corps sous
-sera tuutaussi bien
+sera tout aussi bien
-triangle. Notre
+triangle. « Notre
-dépasse Pexistetice actuelle
+dépasse l’existence actuelle
-que Pâme périt
+que l’âme périt
-2’ 555 Addjt nabot : quod nuçntes in
+Addit autor quod nientes in
-alia carpora migrent varias que dpmos et habita cula œternitalis nusquaux à Spinosa disette proditum
+alia cqrpora migrent yariasque dpmos et habitacula oeternitatis nusquam a Spinosa diserte proditum
-Sed carra ! nosler. Eadem anima Spinosæ non
+Sed errat noster. Eadem anima Spinosoe non
-corporis alterius u ! figura sphæræ non
+corporis allerius ut figura sphoeroe non
-figura cylindri. Spinosæ anima
+figura cylindri Spinosee anima
-nec ad momentum existat,
+nec admotæntum existat,
-et corpus idea manel. Spinosa, Eth. p. 5. prop. 21, aitmemorialn etimaginationem cum corpore evanescere. Sed
+et norpus idea manet. Spinosa, Eth, p. 5, prop. 2’1 aitmemoriam etimaginationem cum eorpore evsiwseevs. Sed
-aliquam imaginationem et memoriam manere
+aliquam imagiaationem et jnemoriam manere
-sine illîs animam nullnm fore. N eque putandum es ; mentem existera sine sensu sen anima.
+sine illis animam nullam fore. Neque putandum est mentem existere sine sensu seu anima.
-sine imaginations et nwmofla est conséquentia sine præmñssîs. Aristoteles ctiam putavit durare uouv, mentem, seu incelleotum agentem,
+sine imaginatione et mcmoria est consequentia sine prsemissis. Arisioteles etiam putavit durare vow, mentem, seu jntelleetum agentem,
-anima agi ; et nœns patitur.
+anima agit et mens patitur.
-— 59.. L’auteur
+L’auteur
-: Je
+: « Je
-que Spiuosa ait
+que Spinosa ait
-habitent diiTérentes demeures
+habitent différentes demeures
-sa pensée.» 3- (‘fiest une crreur (Le l’auteur.
+sa pensée. » — C’est une erreur de l’auteur.
-même âme, pour
+même âme pour
-l’idée dÏun autre
+l’idée d’un autre
-figure 41m1 cylindre. Ifâme, pour Spiuosa, est tellement fugitive, quelle nbxiste même
+figure d’un cylindre. L’âme, pour Spinosa, est tellement fugitive qu’elle n’existe même
-le corps, lui
+le corps lui
-qu’en idée, Spinosa (Eth.p. 5, prop. 24) dit
+qu’en idée. Spinosa (Eth. p. 5, prop. 21) dit
-quelque imngi— nation et
+quelque imagination et
-et que, sans elles, Pâme serait
+et que sans elles, l’âme serait
-ne fautpas croire
+ne faut pas croire
-raison ou Pintellect agent
+raison où l’intellect agent
-non Pâme. Mais souvent Pâme agit
+non l’âme. Mais souvent l’âme agit
-la raison. ÇSÈ passive.
+la raison est passive.
-Spinosa (Tr. de Emendat.
+Spinosa (Tr,de Emendat.
-p. 384), veleres nunquam qnbd sciam
+p. 381) veteres nunquam quod sciam
-auloma (vnlnit dicere auto maton) spirituals. 1100 antoi‘ de
+auloma [voluit dicere automaton) spirituale. Hoc autor de
-de menteinterprétatur, et animam agere
+de menteinterpretatur, et auimam agere
-externas. Deerrarnnt ambo, anirnam dico
+externas. Deerrarunt ambo, animam dico
-tamen n ! anlomaton spirituals, idque
+tamen ut automaton spirituale, idque
-quam mentein ah exteriorumimpnlsibns immunem esse
+quam mentem ab exteriorumimpulsibusimmunem esse
-mentem déterminante agere, nt in corporibns omnia finnt per
+mentem determinate agere, ut in corporibus omnia fiunt per
-leges potcxitiæ, ita
+leges potontisn, ita
-fiunt par conalus, sen desiderata secundnm leges
+fiunt per conatus, seu desideria secundum leges
-duo régna. Interim vernm est qnædam in
+duo regna. Interim verum est quadam in
-esse ni nonnisi par exlerna arlæquate explicatif possint et eatenns anima nbnoxia eslexlernis, non influxu physico
+esse ut nonnisi per externa adequate explicari possint et eatenus anima obnoxia est externis, non intluxu physico
-morali, quatenns rempe Deus
+morali, quatenus nempe Deus
-in nnoquoque condendo
+in unoquoque condendo
-conservando respîcit ad alia Omnia.
+conservando respicit ad alia omnia.
-u- 51 . Spinosa
+Spinosa
-ref. de l’Ent., p, 334} « ;Les anciens
+ref. l’Ent., p. 384) : « Les anciens
-automate) spirituel.» L’auteur
+automate) spirituel. » L’auteur
-s’il s agissait d.e l’âme
+s’il s’agissait de l’âme
-la rai son, etdit que
+la raison, et dit que
-mouvement elles causes
+mouvement et les causes
-deux se‘ sont
+deux se sont
-impulsions (lu dehors, et Pâme n’est
+impulsions du dehors, et l’âme n’est
-agir. Demêmeque dans
+agir. De même que dans
-corps, toutse fait
+corps, tout se fait
-les mouvemens suivant
+les mouvements suivant
-les leis du
+les lois du
-dans Fâme certaines
+dans l’âme certaines
-au (le-
+au de-
-5g Voluntateùi 3mm‘ Inàle âppellat cnnatum cujusque rei persistent in esse suo.
+Voluniatem autor male appellat coftalum cujusque rei persistendi in tsse suo.
-ad speciäa‘ liora, modumque existent perfectioremtendit. G0natnnrmale ait
+ad specia* liora, moduiûftue existendi perfectiorem tendit. ConatafHmale ait
-esse essentiel, cum
+esse essentiam, cum
-sit semper cadem, conatus VBPO varient. Aflirmatiflnem esse cnnatunn mentis
+sit serapef eadem, conatus vero varient. Affirmatio- nem esse eonatuln mentis
-esse suo, id est «mnservandi ideas
+esse sua, id est conservatidi ideas
-admitto. Hahemns huno (tonatum etianl cum nil afiirmamus ; Præierea upud Spinosam mens est ideä, non hahet ideas. Male etïam putaf affiïmationem etnégationem ëSSÜ-ŸÜHÎIÏÜÏÎÜÎÜ ; cura tamen häéc pfàeterea fationem boni involvat. Spinüsa (Ep. 2 m1., Oldenh.) ‘volunzatem ait air“ ferre ah häc val ilïa Vôlitione, ut albediùeùi ah hoc vél
+admitto. Ha- bomus huno oonalum etiam cum nil affirmamus. Prffiierea apud Spinosam iflens est idee, non habet ideas. Male etiam putat afflf Jnationemetnegattoiiein esse Volitionerui ctim tamen hoec proetefea rationem boni involvat. Spinosa (Ep. 3ad.,Oldenb.) Volûntatein ait diffette ab hac tel illa Volitione,Utalbediitetii ab hoc vel
-..-. 53.3. hors
+hors
-pas par un influx physique ; mais
+pas un influx physique, mais
-dire, — en
+dire, en
-la raison’ ; a en plus (l’égard aux
+la raison, a eu plus d’égard aux
-qu’à elle4même ;- car,
+qu’à elle-même ; car,
-la eréäfion et la Conservation de
+la création et la conservation de
-choses. (Ïest à
+choses. C’est à
-dans son- être
+dans son être
-a des’fins plus
+a des fins plus
-à Fessenee, tandis queïessence est. toujours
+à l’essence, tandis que l’essence est toujours
-les efforts’ varient. Je ne‘ saurais
+les efforts varient. Je ne saurais
-que Palfirmation soit
+que l’affirmation soit
-être, dest-à-djre pour
+être, c’est-à-dire pour
-cet eITort même
+cet effort même
-Spinosa, lanraison est
+Spinosa, la raison est
-volition enveloppe. en outrella raison
+volition enveloppe, en outre, la raison
-volonté difiëre de
+volonté diffère de
-manière l
+manière
-. 54... illo albo z itaque voluntatem non esse causam volitions ut humanités non
+illoalbo itaque voluntatemnon esse causamvolitionis ut humanitas non
-egent volition es particulares. Voluntas
+egent Yolitionesparticulares. Voluntas
-rationis. Hæc Spinosa. — Sed Voluntfih tem nos
+rationis. iieec Spinosa. Sed voluntatem nos
-potentia Volendi, cujus
+potentia volendi, cujus
-est volitîo. Ergo
+est volitio. Ergo
-per voluniaienl volumus, sed verum est aliis
+per voluntatem volumus, sed verumest aliis
-determinandam voluntalem, rempe ut
+determinandam voluntatem, nempe ut
-producat volifionem. Certo
+producat volitionem. Certo
-ad volition es non
+ad volitiones non
-speciei abstracteur ad individus. Errores
+speciei abstractum ad individua. Errores
-etsi sæpe par liberas
+etsi soepe per liberas
-nostros concurrzunus. Dein Spiuosa (Tract. polit., c. 2 11° 6] « Homines in» qnit in
+nostros concurramus. Dein Spinosa (Tract. polit. c. 2 n"6) «Homines inquit in
-autor) concipiunt ‘. N am mentem hu 1 Quid ait Llzllctlth vide suprà.
+autor) concipiunt’. Nam mentem hu- QuidfcitMiilcuth videsupva.
-. 5 ;, . que
+que
-telle on telle
+telle ou telle
-telle votition que
+telle volition que
-La Volonté n’est
+La volonté n’est
-être rle raison.
+être de raison.
-parle Spiuosa. Blais nous,
+parle Spinosa. Mais nous,
-la VOlOHlÉ que
+la volonté que
-est Vrûl qu’il
+est vrai qu’il
-que (l’outres causes
+que d’autres causes
-certaine volitiou. Elle
+certaine volition. Elle
-modifiée d’nne certaine
+modifiée d’une certaine
-volitions commePespèce ou
+volitions comme l’espèce ou
-ne ‘sont pas
+ne sont pas
-la volonté. bien
+la volonté, bien
-empire [Malouth in lllalcutli, ajoute
+empire (Malcuth in Malcuth, ajoute
-Ils sïmaginentque l’esprit
+Ils s’imaginent que l’esprit
-de Dieu. dans 5.
+de Dieu, dans
-causis naturalihus stalunnt prodnci sed à Deo immédiate creari
+causis naturalibus statuunt produci sed a Deo immediate creari
-adeo independolïtcam ut absolutam potestatis haheat se determinlandi etralione reste LILHIILÎÎ. Sed
+adeo indepcndontem ut absolutam potcstatem habeat se determinandi etratione recte utendi. Sed
-satis snperque ostendit,
+satis superque ostendit,
-in noslra potes tale non
+in nostra potestate non
-sit nwntem sanam
+sit mentem sanam
-sanum hahere.» Hæo ille. m bien sentenüa quælihet substantif ostimperium in
+sanum habero. » Hæc ille. — Measententia quoelibet suhstantia estimperium in
-sed exacte rebus cæteris conspirons : nullum ah alio quocumque prætor Deum inlluxum dccipit. sed
+sed exacterebus caiteris conspirans nullum ab alio quocumque proetcr Deum inlluxum accipit, sed
-ab fllliis omnibus
+ab aliis omnibus
-per Deuln autorem) dependet : immediilte à Deo prodit. et mmen aliis
+per Deum auto rem] dependet : immediate a Deo prodit, et tamen aliis
-: cætorum non
+: cseterum non
-sunt æque 1n nostra potestatif. Nam magis huc vel illuc inclinnmunMalcuth sen regnum
+sunt acque in nostra potestate. Nam magis hue vel illuc indinamur. Malcuth seu regnum
-nec diviuam nec hu1nanan1 libertamm tollit, sud indiïferenliam æquilibrii quam
+nec divinam nec humanam libertatem tollit sed indifferentiam oequilibrii quam
-qui raliones aclionum suarum,
+qui rationes actionum suarum,
-non inlelligunt, nullas
+non intelligunt, nullas
-Spinosa pnlal mentem
+Spinosa putat mentem
-si quæ fiunt
+si quoe fiunt
-fieri inteïfigat : sed hoc- coactu patientis animmn contenlum non
+fieri iutelligat sed hoc coactu patientis animum contentum non
-. 57. une
+une
-des choses. qu’il u une
+des choses, qu’il a une
-un ben usage
+un bon usage
-en netre pouvoir devoir la
+en notre pouvoir d’avoir la
-parle Spinoser-À mon
+parle Spinosa. — À mon
-chaque sÿhÿatflnetttæstun empire
+chaque substance est un empire
-un jusœ concert
+un juste concert
-: eue ne
+: elle ne
-elle estmise par
+elle est mise par
-ou làùlnleuth ‘ou le
+ou là. Malcuth ou le
-de Dieu. ne
+de Dieu, ne
-ni le liberté
+ni la liberté
-l’indifférence dïâcjuilibre, invention
+l’indifférence d’équilibre, invention
-comprendre. Spinosa. sîmegine que
+comprendre. Spinosa s’imagine que
-où Phemine sait, que les événemens sont
+où l’homme sait que les événements sont
-la nécessite, son
+la nécessité, son
-merveilleusement aIÏe-rmi. Croit-il
+merveilleusement affermi. Croit-il
-si intelligent bonum ex malo
+si intelligat bonumex malo
-et quæ fiunt
+et quoe fiunt
-Ex hjs eliam inlelligitnr quæ Spinosa
+Ex his etiam inlelligitur quoe Spinosa
-Dei inteHeciuali-habet (Elh. p. 1-, prop. s3‘ J, nonnisi
+Dei intelleetuali habet (Eth. p. 4, prop. 28’ ), nonnisi
-in Dco omnin hona malaque indiscriminatim nccessario produccnlc nihil
+in Deo omnia bona malaque indiscriminatim nocessario produccnte nihil
-in uecessitate sed
+in necessitate sed
-Spinosa (de Emend. intulL, p. 3S8) ail rerum parlicuîarinm id est. talium quai-uni existentiel nullam habet connexionenl cum carum essentia quæque prninde æternaä veillâtes non sunl, nullam
+Spinosa (deEmend. inlell. p. 388) ait rerum particularium id est talium quarum existentia nullam habet connexionem cum earum essentia quseque proiade oetcrnai veritates non sunt nullam
-sed tanlum experieiltiain. IIæc pugnant cum iis quæ alibi
+sed tantum cxperientiam. Hoecpugnant cum iis quoe alibi
-omnia nccessaria esse,
+omnia necessaria esse,
-divina essentiel. Idem 5 Pin-s 4’ pru parte 5‘ ubi pazaim de amore intellecxuali agitur.
+divina essentia. Idem 1Pursieprupsut«5’ubipa^Bidiueamorthiltelleotuaagliitur.
-’-69. par
+par
-son mai‘ ?
+son mal ?
-Dieu [Eth. p.
+Dieu (Eth. p.
-sur 1-3. bonté.
+sur la bonté.
-de Flint. p.
+de l’Ent., p.
-dit qu’ilu’y a
+dit qu’il n’y a
-particulières, c’est-à- dire telles
+particulières, c’est-à-dire telles
-existence rÿa aucune
+existence n’a aucune
-sont poiutdes vérités éternelles- Cela
+sont point des vérités éternelles. — Cela
-l’essence divine. —
+l’essence divines. —
-prop. 40), oppügnat éos, qui naluram Dei ad essentiel rernm creatarum,
+prop. 10), oppugnat eos, qui naturam Dei ad essentiam rerum creatarum,
-alibi statucrat l’es sine
+alibi statuerat res sine
-oriri. (Part. 1L Eth.
+oriri. Part. 1= Eth.
-21.) Contendil causa en finita et [emporalia a
+21.) Contendit causa ea finita et temporalia a
-infinita immédiate non
+infinita immediate non
-sed (prop. 28] produci ah aliis
+sed prop. 28) produci ab aliis
-et finilis. sed
+et finitis. sed
-tandem à Deo oriuntur ? Nam nec mediate a1) eo orinntnr hoc
+tandem a Deooriunlur ? Karn nec mediate ab eo oriuntur hoc
-quia nnnqunln ml en pervenietnr, qnæ non similiser ah alio
+quia nunquam ad ea pervenietur, qua ; non similiter ab alio
-Non igitur dici polest Doum modiantibus causis
+Non igilur dici potest Deum mediantibus causis
-producit cansas secundas. Dicendum cargo potins Deum producere substantifs non carum actiones
+producit causas secundas. Dicendum ergo potius Deum producere substantias non earum actiones
-quas solnm eoncnrrit. Antor incommoda Cabalæ non aliter excusat Q5, quani quod
+quas solum concurrit. Autor incommoda Cabalsenon aliter excusat § 5, quam quod
-omni philosophie communia,
+omni philosophise communia,
-.— 71 — Combat ceux
+combat ceux
-établi précédemment’que les
+établi précédemment que les
-de lui.—(l’art. 4, Eth. prop. 2l] Il soutient
+de lui. — (Part. 1, Eth. prop. 21) II soutient
-infinie, niais qu’elles
+infinie, mais qu’elles
-sont (prop. 2S] par
+sont (prop 28) par
-et finies, Mais
+et finies. Mais
-plus médiate ment dans
+plus médiatement dans
-causes mômes. Il
+causes mêmes. Il
-aux inconvéniens de
+aux inconvénients de
-Kabbale (5 5) que
+Kabbale (§5) que
-p. l, prop. 15.
+p. {{rom-maj|I}}, prop.15.
-. 72 Aristotelicæ et Cartesianæ, et
+Aristotelicæ et Cartesianoe, et
-doceri passe. Allegat
+doceri posse. Allegat
-Aristoteles créationern et providentiel Ileget, unam
+Aristoteles creationem et providentiam neget, unam
-specie humana statuat,
+specie huinana statuat,
-finales tnllat. Putatautor
+finales tollat. Putatautor
-in Academiis Aristotelem doceri jussisse. Pulat autor
+in AcademiisAristotelem doceri jussisse. Putat autor
-ut philosophie in suhov Îis doceretur quæ possit à Theologîs corrigi et impugnant, ne
+ut philosophia in scholis docerotur quas possit a Theologis corrigi et impugnari, ne
-per omnilnodam Theologiœ cum philosophie conspîrationem séductions diaboli (ïdfiplicet, autor irridens Ioquitur) per omnimodam fiTïlœolagiæ cum philosophie conspirationem
+per omnimodamTheologioe cum philosophia conspirationem seductione diaboli (sijteplicet, autor irridens loquitur) per omnimodam Theologise cum philosophia conspirationem
-hanc coglitationem incidat, Religionem
+hanc cogitationem iucidat, Religionem
-rationis. Hæc noster quæ irrisoria
+rationis. Hoec noster quaj irrisoria
-videntur. Quanta magis ratio conspirât Revligioni, tanto
+videntur. Qiianto magis ratio conspirat Religioni, tanto
-habentur. Supereruut tamen .. semper quædam revelata, quæ sunt
+habentur. Supererunt tamen semper qussdam revelata, quse sunt
-et Historien et
+et Historioe et
-hoc prætextu hostem adlnitti, ne
+hoc preetextu hostem admitti, ne
-amico cousent ire videamur, insulsum f uerit.
+amico consentire videamur, insulsum fuerit.
--\. M‘ 73 communs
+communs
-même à celle
+même celle
-Les Kabhalistes peuvent
+Les Kabbalistes peuvent
-dans toutePespèce humaine.
+dans toute l’espèce humaine.
-enseigné par’ ordre
+enseigné par ordre
-académies. Ïjauteur pense
+académies. L’auteur pense
-été ëfiempécher que
+été d’empêcher que
-en Vouloir), que
+en vouloir), que
-la raison, Ainsi
+la raison. Ainsi
-le Pré‘
+le pré-
-Thëologiam n06 a philosophie openi peteié née detriinentum pati autor pulat p. 77. Mule. Philosophia
+Theologiam nec a philosophia opem petere nee detrimentiim pati autorputat p. 77. Maie. Philosophia
-sunt duæ véritables inter se consentienles nec Veruni vero
+sunt duoe veritates inter se consentientes nec verum vero
-vera philosophie pugnaret, falsa ibrel. Philosophiam ait- nili fundamento scgptico, rationé nempe respective qua homines «ras ex hypothesiè concipiunt : quasi vero philosophie Vera iiypotiiesibus niteretur. \Ait’qu0 inagis
+vera philosophioe pugnaret, falsa foret. Philosophiam ait niti fundamento sceptico, ratione nempe respectiva qua hommes -rcs ex hypothesi concipiunt : quasivero philosophiavera hypothesibus niteretur. Ait qiio inagis
-et philosophie dissentions, hoc
+et philosophia dissentiunt, hoc
-gravi suspicions ppterit conlaminari : imo
+gravi suspicione poterit coiitaniiiiari imo
-cum verum Vero consentit, SljSpEiJifi erit Thèoloigia quæ. cum
+cum veruni vero consenliat, siispecta erit Theologia quoe cum
-pugnat. Duduin explosi Averroistæ philosophi seculiquinfi et
+pugnat. Duduiii explosi Averroistss philosophi seculi quinti et
-duplicem véritaœn i statuebant.
+duplicem veritaten statuebant.
-ut conspiraliotiem philosophie et Theologiæ ostendèrent. lilale Cartesius
+ut conspiratiotlem philosophie et Theologioe ostenderent. Male Cartesius
-posse concilia ri 011m natura
+posse conciliari cum natura
-avoir Pair de
+avoir l’air de
-la philosophie, à
+la philosophie à
-croire Panteur (p. 77). 1l a tort ; La
+croire l’auteur (p. 77). Il a tort. La
-et la‘ théologie
+et la théologie
-peut — être
+peut être
-vraie philosophie... elle
+vraie philosophie, elle
-les ohosespcomnic si
+les choses ; comme si
-vraie philosophielétait basée surdes hypothèses.
+vraie philosophie était basée sur des hypothèses.
-plus ‘grand sera -le désaccord
+plus grand sera le désaccord
-les V philosophes Avorroistes du
+les philosophes Averroistes du
-siècle, qùi prétendaient
+siècle, qui prétendaient
-vérité est. double, Ils sont tonihés il
+vérité est double. Ils sont tombés il
-montrer Paocord de
+montrer l’accord de
-théologie. Doscartes
+théologie. Descartes
-autor doctrinal de Animarum Revivivalu in corporal à Christo in disciples, et à Christianis
+autor doctrinam de Animarum Revivivatu in corpora a Christo in discipulis, et a Christianis
-transitum animæ de
+transitum animac de
-in corpus. nisi
+in corpus, nisi
-ipsum insensibiliser mutatur. Metampsychosis forêt contra
+ipsum insensibiliter mutatur. Metampsychosis foret contra
-de 1000 in
+de loco in
-tamen par intermedia
+tamen per intermedia
-... 77 . s’est
+s’est
-tolérée parle Christ
+tolérée par le Christ
-à l’origine-ll faut
+à l’origine. — Il faut
-a (l’autre passage
+a d’autre passage
-le chaugnzment insensible
+le changement insensible
-passage de. Vâme d’un
+passage de l’âme d’un
-moins élrangv que
+moins étrange que
-d’un 110ml irait
+d’un bond irait
-traverser Pinterïafilîlgxîll y
+traverser l’intervalle. Il y
-dans tout. ceci
+dans tout ceci
-grande pau—. ma : — — s" i : ‘x vrai de Jälsonufil
+grande pauvreté de raison.
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