1re et la xviiie siècle 3e
LETTRE VIII.
Philippe d’Oransai à Maxime de Verseuil.
Mr Baffo
j’aveignis
cf. aveindre
Et vous, petit minois guilloché, qu’allez-vous m’apprendre ?
Dans l’affreux siècle où nous sommes ;
Oui, ne point foutre est un bonheur,
C’est le con qui perd tous les hommes (bis)
Pour l’éviter,
Pour l’éviter,
Soyez certain
Qu’il vaut mieux vous branler l’engin (bis) !
PREMIÈRE CONFESSION
THÉATRE-FRANÇAIS ET LYRIQUE
Excellente conduite ! Et après ?
Je revins à Paris, où j’entendis dire qu’il manquait un premier rôle dans la troupe de la Naudet, place vacante par la retraite de Dubois, qui se disposait à venir faire une cascade ou chute des plus complètes sur le théâtre de la Nation (1), et je rejoignis le tripot à Saint-Quentin, en Picardie.
no 32
4o
à
et par le libertinage volontaire dont il devenait, Zéphire, dis-je,
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ter
Nicolas Ier
***
Brouillons pour Tables des Matières
modifierBrouillon pour Tables des Matières
Boîte à outils
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Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Je m’endors. » Et, une demi-heure après, la pensée qu’il était temps de chercher le sommeil m’éveillait ; Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Je m’endors. » Et, une demi-heure après, la pensée qu’il était temps de chercher le sommeil m’éveillait ; je voulais poser le volume que je croyais avoir encore dans les mains et souffler ma lumière ; je n’avais pas cessé en dormant de faire des réflexions sur ce que je venais de lire, mais ces réflexions avaient pris un tour un peu particulier ; il me semblait que j’étais moi-même ce dont parlait l’ouvrage : une église, un quatuor, la rivalité de François Ier et de Charles-Quint. Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Je m’endors. » Et, une demi-heure après, la pensée qu’il était temps de chercher le sommeil m’éveillait ; je voulais poser le volume que je croyais avoir encore dans les mains et souffler ma lumière ; je n’avais pas cessé en dormant de faire des réflexions sur ce que je venais de lire, mais ces réflexions avaient pris un tour un peu particulier ; il me semblait que j’étais moi-même ce dont parlait l’ouvrage : une église, un quatuor, la rivalité de François Ier et de Charles-Quint. Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Je m’endors. » Et, une demi-heure après, la pensée qu’il était temps de chercher le sommeil m’éveillait ; je voulais poser le volume que je croyais avoir encore dans les mains et souffler ma lumière ; je n’avais pas cessé en dormant de faire des réflexions sur ce que je venais de lire, mais ces réflexions avaient pris un tour un peu particulier ; il me semblait que j’étais moi-même ce dont parlait l’ouvrage : une église, un quatuor, la rivalité de François Ier et de Charles-Quint.
Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Je m’endors. » Et, une demi-heure après, la pensée qu’il était temps de chercher le sommeil m’éveillait ;
Type étrusco-pélagique
(Grecque de Mitylène).
Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Je m’endors. » Et, une demi-heure après, la pensée qu’il était temps de chercher le sommeil m’éveillait ; je voulais poser le volume que je croyais avoir encore dans les mains et souffler ma lumière ; je n’avais pas cessé en dormant de faire des réflexions sur ce que je venais de lire, mais ces réflexions avaient pris un tour un peu particulier ; il me semblait que j’étais moi-même ce dont parlait l’ouvrage : une église, un quatuor, la rivalité de François Ier et de Charles-Quint.
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Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Je m’endors. » Et, une demi-heure après, la pensée qu’il était temps de chercher le sommeil m’éveillait ; je voulais poser le volume que je croyais avoir encore dans les mains et souffler ma lumière ; je n’avais pas cessé en dormant de faire des réflexions sur ce que je venais de lire, mais ces réflexions avaient pris un tour un peu particulier ; il me semblait que j’étais moi-même ce dont parlait l’ouvrage : une église, un quatuor, la rivalité de François Ier et de Charles-Quint.
14 000
Signés | De Noailles, président. L’Abbé Aubert, vice-président. Duviquet, secrétaire. no 64 |
De Noailles, président.
Signés
3 |
Duviquet, secrétaire .
Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Je m’endors. » Et, une demi-heure après, la pensée qu’il était temps de chercher le sommeil m’éveillait ; je voulais poser le volume que je croyais avoir encore dans les mains et souffler ma lumière ; je n’avais pas cessé en dormant de faire des réflexions sur ce que je venais de lire, mais ces réflexions avaient pris un tour un peu particulier ; il me semblait que j’étais moi-même ce dont parlait l’ouvrage : une église, un quatuor, la rivalité de François Ier et de Charles-Quint.
Article V
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|NOUVELLES TRADUITES DE L’ALLEMAND|AVEC L’AUTORISATION DE L’AUTEUR|PAR|Mlle STREBINGER|PARIS|LIBRAIRIE HACHETTE et Cie|79, BOULEVARD SAINT-GERMAIN, 79}}
Titre | Date 1re publication | Date d’édition | recueil ou revue | Observation |
---|---|---|---|---|
L’Errant | 1874 | Le Legs de Caïn, contes Galiciens | ||
Don Juan de Kolomea | ||||
Frinko Balaban | ||||
Clair de lune | ||||
Marcella (conte bleu du bonheur) | ||||
La Justice des Paysans | 1876 | Le Legs de Caïn, nouveaux récits Galiciens | ||
Le Haydamak | ||||
La Hasara-Raba | ||||
Le Mariage de Valérien Kochanski | ||||
Un testament | 1878 | Un testament ; Basile Hymen ; Le paradis sur le Dniester | ||
Basile Hymen | ||||
Le paradis sur le Dniester | ||||
Pintschew et Mintschew | 1879 | À Koloméa, contes juifs et petits russiens | Hathi Trust | |
Un jour et une nuit dans la steppe | ||||
Récits Galiciens | ||||
Les amours de d’Adam Kisabrodzki | ||||
Magasse le Watacheko | ||||
La fête des moissonneurs | ||||
Scènes du ghetto | ||||
Notre député | ||||
Aldona | ||||
Le roi de Pologne | ||||
Il reviendra ! | ||||
L’ours amoureux | ||||
Le Nouveau Job | 1879 | Le Nouveau Job | Gallica | |
Le Laid | ||||
Le cabinet noir de Lemberg | 1880 | Le cabinet noir de Lemberg | Gallica | |
L’Ilau | ||||
Sascha et Saschka | 1886 | Sascha et Saschka | Gallica | |
La Mère de Dieu | ||||
Bessouré Towé (Galicie) | 1888 | Contes Juifs (récits de famille) | Gallica | |
Rabbi Abdon (Russie) | ||||
Levanna (Turquie) | ||||
Le Repas des Élus (Allemagne du Nord) | ||||
David et Abigaïl (Danemarck) | ||||
Schimel Knofeles (Galicie) | ||||
Le Relieur de Hort (Hongrie) | ||||
Galeb Jekarim (Jérusalem) | ||||
Comment Slobé marie sa sœur (Belgique) | ||||
Madame Léopard (Pologne) | ||||
Le beau Kaleb (Bohême) | ||||
Loué soit Dieu qui nous a donné la mort (Espagne) | ||||
Schalem Alechem (Alsace) | ||||
Machscheve (Angleterre) | ||||
L’Ange de la mort (Italie) | ||||
Aman et Esther (Pologne) | ||||
Rédemption (Hongrie) | ||||
Le Drame de la rue des Roses (Hollande) | ||||
Katzchen Petersil (Roumélie) | ||||
La Pièce fausse (Allemagne du Sud) | ||||
Deux Médecins (Autriche) | ||||
L’Iliade de Poultoff (Russie) | ||||
La Légende de la matrone romaine (Suède) | ||||
Tu ne tueras pas (Croatie) | ||||
Bair et Wolff (Suisse) | ||||
Deux Noblesses (France) | ||||
Lola | 1906 | Venus Imperatrix (Nouvelles posthumes 1) | ||
Wjera Baranoff | ||||
Téodora (nouvelle roumaine) | ||||
Le banc vivant (la Galicie) | ||||
La princesse Rajewska | ||||
La despote de Hatvan | ||||
Juge et bourreau | ||||
Les sœurs de Saida | ||||
La marchande d’esclaves | ||||
Matrena | ||||
Drama-Dschenti | ||||
Une femme démoniaque | ||||
Vassa (un tableau de femme dans l’Est de l’Afrique) | ||||
La femme du Cosaque. | ||||
Les Batteuses d’hommes | 1906 | Les Batteuses d’hommes nouvelles posthumes, vol. 2 | ||
La Dompteuse | ||||
Kasimira | ||||
Krach en amour | ||||
Un Duel à l’américaine | ||||
Martscha | ||||
La Hyène de la Poussta | ||||
La Dame blanche de Machow | ||||
Warwara Pagadine | ||||
La Czarine noire (600) | 1907 | La Czarine noire et autres contes sur la flagellation | L’Amour cruel à travers les âges 1 | |
Le Myrthe des Amants (1460) | ||||
Marguerite Lambrun (1569) | ||||
La Vénus de Murany (1644) | ||||
Hemelnizki le Cosaque (1648) | ||||
Un trait d’esprit de la Pompadour (1750) | ||||
Les Noces sanglantes de Kiew (946) | ||||
Ariella (1592) | ||||
Sabbathai Zewy (1666) | ||||
La Pantoufle de Sapho (1859) | 1907 | La Pantoufle de Sapho et autres contes | L’Amour cruel à travers les âges 2 | |
La Judith de Bialopol (1675) | ||||
Eau de Jouvence (1611) | ||||
La Feuille blanche (1750) | ||||
La Fontaine aux larmes (1750) | ||||
Loup et louve (1192) | ||||
Un nouveau Léandre (1707) | ||||
Bovo (1540) | ||||
Le Palais rouge (1804) | ||||
Don Juan de Kolomea | 1872 | Revue des deux mondes, 2e période, T. 101 | ||
Frinko Balaban, récit de mœurs de la Galicie | 1872 | Revue des deux mondes, 2e période, T. 102 | ||
Marcella, le conte bleu du bonheur | 1873 | Revue des deux mondes, 2e période, T. 103 | ||
La barina Olga — Récits de la Petite-Russie | 1873 | Revue des deux mondes, 2e période, T. 106 | La Barina Olga et Clair de lune sont des textes identiques | |
Clair de lune | ||||
La Justice des paysans, récit de moeurs galicienne | 1874 | Revue des deux mondes, 3e période, T. 4 | ||
Le Haydamak | 1874 | Revue des deux mondes, 3e période, T. 5 | ||
Le Faust polonais | 1874 | Revue des deux mondes, 3e période, T. 6 | ||
Le Mariage de Valérien Kochanski | 1875 | Revue des deux mondes, 3e période, T. 9 | ||
La Hasara-Raba, scènes de la vie juive en Gallicie | 1875 | Revue des deux mondes, 3e période, T. 11 | ||
Récits galliciens | 1877 | Revue des deux mondes, 3e période, T. 19 | ||
Le Fou de Firleiouwka | 1888 | Revue des Deux Mondes, 3e période, tome 88 | ||
Théodora, (La Serbie) | 1889 | Revue des Deux Mondes, 3e période, tome 93 | Femmes slaves | |
Le Banc vivant | Revue des Deux Mondes, 3e période, tome 93 | |||
Zarka | Revue des Deux Mondes, 3e période, tome 94 | |||
La Pénitente | Revue des Deux Mondes, 3e période, tome 94 | |||
Véra Baranof | 1890 | Revue des Deux Mondes, 3e période, tome 100 | ||
La journée de Gatzko | Revue des Deux Mondes, 3e période, tome 101 | |||
Henrika Listewska | Revue des Deux Mondes, 3e période, tome 102 | |||
L’Amazone de Prague | Revue des Deux Mondes, 3e période, tome 102 | |||
Ursa et Stanko | 1891 | Revue des Deux Mondes, 3e période, tome 107 | ||
Bozena et Bozidar | Revue des Deux Mondes, 3e période, tome 107 | |||
Le Cosaque | 1892 | Revue des deux mondes, 3e période, T. 109 |
Accolades
modifier Je suis l’enfant de la misère,
Le rude labeur est ma loi,
Mais le travail fait l’âme fière,
Ô mon cœur, je m’adresse à toi
Longue est ma chaîne de labeurs ;
Je suis le fils des travailleurs,
C’est le travail qui rend féconde
La vieille terre aux riches flancs ;
C’est le travail qui prend à l’onde,
Corail, perles et diamants.
Au travail appartient le monde,
Aux travailleurs à leurs enfants.
Riche oublions ce qui nous blesse
Dans un même effort fraternel ;
J’aurai nom : Force ! et toi Tendresse | bis |
Frère, l’amour est fils du ciel. |
- Soit modèle simple à utiliser :
{{brace2}}
gauche-1 | milieu-1 | droite-1 |
droite-2 | ||
milieu-2 | droite-3 | |
droite-4 |
- Soit modèle plus complexe adapté pour tableaux :
{{accolade}}
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droite-1 | ||||||
droite-2 | ||||||||
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droite-3 | |||||||
droite-4 |
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droite-1 | ||||||
droite-2 | ||||||||
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droite-3 | |||||||
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Marie | 38 ans | |||||
Juliette, sa fille | 14 ans | |||||
Joséphine | 24 ans | |||||
Adrienne | 19 ans |
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Aimée | 16 ans | |||||
Aline | 17 ans | |||||
Berthe | 18 ans | |||||
Célestine | 24 ans | |||||
Clémence | 19 ans | |||||
Eugénie | 25 ans | |||||
Félicie | 22 ans | |||||
Hermance | 14 ans | |||||
Hortense | 29 ans | |||||
Irénée | 26 ans | |||||
Julia | 18 ans | |||||
Léa | 17 ans | |||||
Marthe | 19 ans | |||||
Mélanie | 19 ans | |||||
Pauline | 22 ans | |||||
Rose | 20 ans | |||||
Victorine | 23 ans |
1-2 1-2 1-2 1-2 1-2 1-2 1-2 1-2
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Au nom du Ciel, ouvrez à son ministre Gabriel,
tout illuminé des feux de la vérité, pour éclairer
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