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Corneille, Pierre - Œuvres, Marty-Laveaux, 1862, tome 10.djvu/587
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Prince, l’appui des lis, et l’amour de la France
334
Puisqu’un d’Amboise et vous d’un succès admirable
32
Quand je vois, ma Philis, ta beauté sans seconde
60
Que doit penser Ovide, et que nous peut-il dire
124
Que le dieu de la Seine a d’amour pour Paris
242
Quelle rapidité de conquête en conquête
223
Que tes
Chastes martyrs
vont te faire d’amants
130
Que tes entretiens sont charmants
102
Que vous sert-il de me charmer
172
Quid mirum rapido tibi si Victoria cursu
249
Qu’il fasse mieux, ce jeune jouvencel
79
Quoi ? sitôt que j’en veux rabattre
158
Qu’on fait d’injure à l’art de lui voler la fable
235
Qu’on parle mal ou bien du fameux Cardinal
86
Qu’on te flatte, qu’on te baise
173
Rendez-vous, amants et guerriers
62
Si je perds bien des maîtresses
55
Si la Lune et la Nuit sont bien représentées
154
Sous ce marbre repose un monarque sans vice
87
Sur l’Escaut étonné tu lances la tempête
218
Toi, dont la course journalière
58
Toi qui nous apprends de la grâce
220
Toi qui près d’un beau visage
53
Ton Cléonte, par son trépas
61
Tu reviens, ô mon Roi, tout couvert de lauriers
186
Une ambition déréglée
38
Usez moins avec moi du droit de tout charmer
167
Vos beaux yeux sur ma franchise
168
Vous aimez que je me range
162
FIN DE LA TABLE ALPHABETIQUE DES POÉSIES DIVERSES.