Page:Chaupy - Découverte de la maison de campagne d’Horace, Tome 1.djvu/459

Cette page n’a pas encore été corrigée

TABLE DES MATIÈRES

(ne fait pas partie de l’ouvrage original)


i-v. — 
Obſservations préliminaires ſur la connoiſſance des Antiquités ; les cauſes de ſa première perte, & de l’imperfection de ſa renaiſſance 
 1
i. — 
Reſte beaucoup à découvrir dans la matière des Antiquités 
 1
ii. — 
L’oubli où elle était tombée, 1o par le dépérissement du Goût, après le Siècle d’Auguste, 2o par l’inondation des Barbares 
 1
iii. — 
La Religion contribua et dût contribuer à en détruire les monuments 
 6
iv. — 
La connaissance des Antiquités renaît avec les autres Lettres 
 8
v. — 
Demeure imparfaite par le défaut surtout de critique des Antiquaires 
 9
vi. — 
Point important de la Maiſon de Campagne d’Horace demeuré inconnu 
 11
vii. — 
Sa découverte : idée & diviſion de l’Ouvrage en 3 parties pour l’établir 
 13


PREMIÈRE PARTIE
Principes d’après leſquels on doit juger de la ſituation
de la Maiſon de Campagne d’Horace.


viii. — 
Première partie. Principes d’après leſquels on doit juger de la ſituation de la M. de C. d’H. 
 15
ix. — 
Premier principe qui renferme tous les autres : que le lieu aſſigné ne manque d’aucun des caractères attribués par H. à ſa Maiſon de Camp. 
 17
x. — 
Horace diſtingué par la vérité, & par la propriété de ſes expreſſions 
 19
xi. — 
Premier caractère de la M. de C. d’Hor. c’eſt d’avoir été unique 
 21
xii. — 
Certitude de ce caractère d’après des textes clairs d’Hor. 
 22
xiii. — 
Apperçu mais mal ſoutenu par les Auteurs 
 29
xiv. — 
Textes d’Hor. qui lui paroiſſent contraires 
 30
xv. — 
Trois Réponſes à ces textes ; deux générales & la troiſième particulière. Première générale 
 34
xvi. — 
Seconde général 
 36
xvii. — 
Titres auxquels on peut aller aux Campagnes dont on n’eſt pas le maître 
 37
xviiixxiii. — 
Comparaiſon de Villégiatures anciennes avec les modernes de Rome relativement à cet objet 
 38
xxiv. — 
Vrai ſens de l’ode à Télèphe établi contre le P. Volpi 
 47
xxv. — 
Exemples réels des Campagnes qu’Horace fréquentoit ſans y avoir de Maiſon à lui 
 50
xxvixxviii. — 
Réponſes particulières aux textes d’Horace qui nomment les Campagnes autres que celle qui a été découverte 
 56
xxixxxx. — 
Ces textes ; divifés en deux Claffes, les uns d’après lefquels on a établi des opinions, les autres qui ont été négligés, ceux-ci difcutés dans cet endroit, ceux-là renvoiés à la II. Partie deftinée à la réfutation des opinions avancées jusqu’ici 
 61
xxxixliv. — 
Textes qui nomment Tarente ; Origine ; Politique & moral de cette Ville rélativement à leur fens 
 64
xlvxlviii. — 
Expofition de ce fens 
 85
xlixl. — 
Textes qui nomment Baïes 
 94
lilii. — 
Païs habité par les Grecs Fondateurs de Cumes, des premiers qui s’établirent en Italie : leur Guèrre avec les fauvages naturels, fondement de la Fable de la Guèrre des Géans 
 96
liii. — 
Titres auxquels les champs Cuméens font les champs Phlegréens ou de feu de cette Fable 
 101
livlxiii. — 
Volcans qui les rempliffent, ordinaires ainfi que le Vésuve, la fouffrière, l’eau de feu &c. & extraordinaires comme celui qui enfanta le Monte novo une nuit 
 102
lxv. — 
Villes qui doivent leur Naiſſance à Cumes 
 118
lxvilxix. — 
Dicéarchie devenu enſuite Putéoles à laquelle ſe rapporte la ruine apelée Pont de Caligula 
 119
lxxlxxv. — 
Naples, dont le nom Grec primitif de Neapolis Cumaïon qui veut dire nouvelle Cumes donna lieu au nom de Palépolis ou de vielle Cumes, que Tite-live prit pour une Ville particulière 
 129
lxxvilxxx. — 
Origine particulière de Baïes due aux Romains qui y trouvent le moïen de ſatisfaire leur gout dans les deux points principaux de leurs mœurs déchues, qui furent l’amour des belles Campagnes, & la paſſion des Bains 
 126
lxxxi. — 
Luxe des M. de C. & ſes motifs chez les Romains 
 142
lxxxiv. — 
Nombre & qualité des Maiſ. de C. de Cicéron & Io Son Arpinate 
 146
lxxxv. — 
L’isle délicieuſe qu’il y avoit 
 150
lxxxvilxxxvii. — 
Son Tuſculanum 
 151
lxxxviiixc. — 
Son Antium 
 160
xci. — 
Son Lanuvinum 
 164
xciixciv. — 
Son Aſture 
 164
xcv. — 
Ces M. de Camp, de Cicéron, & la plupart de celles qui doivent ſuivre, ſe trouvant le long de la Cote juſqu’au dela de Naples, raiſon d’en donner une idée 
 169
xcvi. — 
Mont Ville & Port de Circéi. 
xcvii. — 
Mer de Terracine de Fondi & de Gaëte 
 172
xcix. — 
Bataille du Garillan dans ce lieu 
 173
c. — 
Mer de Vulturne 
 174
ci. — 
Vins antiques renommés, la plupart de ces quartiers 
cii. & ciii. — 
Caps & Golfes de Cumes de Baïes de Naples 
 175
civ. & cv. — 
Herculanum & son Musæum 
 178
cvi. — 
Pompéi 
 180
cvii. — 
ivi du Golfe de Salerne ou étoit Vélie 
 180 & suiv
cviii. — 
Golfe de Naples suivi de ceux de Salerne de Velie &c 
 181
cix. — 
Suite des M. de C. de Cicéron ſon Formianum 
 181
cx. — 
jufqu’à cxv. Ruines de Maiſ. de C. & Monumens que le lieu offre 
 181& ſuiv.
cvi. — 
jufqu’à cix. que le Formianum de Cicéron fut où eſt la Villa Marsana 
 190 & suiv.
cxx. — 
juſqu’à cxxvii. récits touchant la mort de Cicéron dont il reſulte qu’elle lui fut donnée à son Formianum & que le premier Monument eſt celui qui lui fut