Contributions de Hamuli

Un utilisateur avec 416 modifications. Compte créé le 20 janvier 2024.
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19 février 2024

  • 12:1319 février 2024 à 12:13 diff hist +87 N Les contes de la lune/03Page créée avec « <pages index="Fadette - Les contes de la lune, 1932.djvu" from="19" to="26" header=1 /> » actuelle
  • 12:1119 février 2024 à 12:11 diff hist +87 N Les contes de la lune/02Page créée avec « <pages index="Fadette - Les contes de la lune, 1932.djvu" from="13" to="18" header=1 /> » actuelle
  • 11:5519 février 2024 à 11:55 diff hist +1 762 N Page:Lacroix - La Perle de Candelair.djvu/78→‎Page non corrigée : Page créée avec « <nowiki /> Elle aurait voulu, après avoir témoigné sa mauvaise humeur au jeune homme, le voir rester près d’elle. Elle eût été bien aise qu’il tentât de lui prouver que {{Mme}} Malsauge n’était pas le seul intérêt qu’il trouvait à causer avec elle. Quelle est la femme qui n’aime pas à être écoutée un peu pour elle-même ? Mariette passa du dépit à la tristesse et presque au chagrin, quand elle vit avec quelle facilité Étienne l’... » Balise : Non corrigée

11 février 2024

  • 20:4111 février 2024 à 20:41 diff hist +1 747 N Page:Lacroix - La Perle de Candelair.djvu/18→‎Page non corrigée : Page créée avec « leur teinte blafarde et les coins qui vont en s’affaissant ne marquaient l’absence complète d’intelligence, ainsi qu’une de ces indifférences profondes et invétérées comme une maladie héréditaire. Seul, un petit œil gris donne quelque chose de vivant à son visage. Cet œil est sans cesse affairé, toujours en quête, et peu de choses lui échappent dans le voisinage. C’est l’œil d’une commère sous le front d’un idiot. {{M.|Isidore Let... » Balise : Non corrigée
  • 20:3811 février 2024 à 20:38 diff hist +1 728 N Page:Lacroix - La Perle de Candelair.djvu/17→‎Page non corrigée : Page créée avec « C’est un si brave homme que ce {{M.|Isidore Letourneur}} ! À l’époque où commence notre récit, il peut avoir soixante-huit ans. Il est grand, mince et maigre, de cette maigreur flasque sous laquelle on ne sent ni les nerfs ni la vigueur. Quelques méchantes langues affirment l’avoir de tout temps connu tel qu’on le voit aujourd’hui, et presque aussi vieux d’allure et de visage. Ses nombreux amis prétendent de leur côté qu’il ne paraît pas... » Balise : Non corrigée

7 février 2024

  • 22:487 février 2024 à 22:48 diff hist +1 722 N Page:Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu/97→‎Page non corrigée : Page créée avec « sieur qui lui remboursera son chapeau ou sa robe, ce n’est pas davantage la midinette qui, comme à la Galette, vient demander à la valse ou à la mazurka bostonnées le dérivatif dont ont besoin ses jambes engourdies par l’inaction du jour, c’est la petite femme, pas assez fanatique de sa fonction de marchande d’amour pour lui consacrer une journée pleine, et pour qui toutes les amabilités des galants hommes rencontrés ne feront pas oublier d’alle... » Balise : Non corrigée
  • 22:467 février 2024 à 22:46 diff hist +1 627 N Page:Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu/95→‎Page non corrigée : Page créée avec « lesquelles se traitaient dans les tripots du boule vard ou à l’Américain. D’un coup d’œil Échalote découvrait Victor dont le regard, au-dessus des pailles de son orangeade, ne quittait pas la porte d’entrée. La bouche carminée de la poulette volait vers ses moustaches et, en dépit des spectateurs qui, du reste, s’étaient livrés précédemment aux mêmes effusions, on prolongeait l’étreinte des lèvres gourmandes. — Tu m’aimes toujours... » Balise : Non corrigée
  • 11:587 février 2024 à 11:58 diff hist +1 028 N Page:Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu/93→‎Page non corrigée : Page créée avec « {{t3|{{t|'''Les cinq à sept de ces dames.'''|90}}|'''{{rom-maj|VIII}}'''}} {{épigraphe|''Je sçais cent honnestes hommes cocus.''|{{sc|Montaigne.}}.<br />(Essais, liv. {{rom-maj|III}}, chap. {{rom-maj|V}}.)}} {{PM|É|CHALOTE}} était délicate et avait le ventre sensible. C’est du moins ce qu’elle avoua à {{M.|Plusch}}, après quelques semaines de liaison, alors qu’elle le supposait assez habitué à elle pour accepter ses maladies ou ses malaises.... » Balise : Non corrigée
  • 11:517 février 2024 à 11:51 diff hist +123 N Échalote et ses amants/07Page créée avec « {{TextQuality|Textes validés}} <pages index="Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu" from="79" to="92" header=1 /> » actuelle
  • 11:507 février 2024 à 11:50 diff hist +123 N Échalote et ses amants/06Page créée avec « {{TextQuality|Textes validés}} <pages index="Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu" from="67" to="78" header=1 /> » actuelle
  • 11:477 février 2024 à 11:47 diff hist +1 688 N Page:Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu/90→‎Page non corrigée : Page créée avec « ventes et de ses achats à découvert le grisèrent vite. Il voulut jouir d’un gain qui n’existait que sur le papier et, brûlant ses vaisseaux pour couvrir des dettes semées un peu partout, exigea de son système plus qu’il ne pouvait donner. L’argent de {{M.|Lapaire}} se trouva ainsi englouti. Des paroles aigres-douces s’échangèrent entre les deux associés. {{M.|de Flibust-Pélago}} avait beau objecter : « En 1881, j’ai confié mon secret à {{... » Balise : Non corrigée
  • 11:457 février 2024 à 11:45 diff hist +1 594 N Page:Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu/89→‎Page non corrigée : Page créée avec « millions à lui, à l’époque de sa richissime épouse, il terminait en additionnant lui-même les plats de mandés : « Un demi-setier : 0 fr. 20 ; un bouillon-légumes : 0 fr. 20 ; une demi-blanquette : 0 fr. 30 ; un pruneau 0 fr.15 ; pain 0 fr.05 ». — Tenez, garçon, ça nous fait dix-huit sous. — C’est bien ça, monsieur le chevalier. Il tendait un franc. — Voilà, gardez pour vous la monnaie. Après quoi, tout en pilonnant son croûton de pai... » Balise : Non corrigée
  • 11:417 février 2024 à 11:41 diff hist −19 Page:Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu/88Aucun résumé des modifications
  • 11:397 février 2024 à 11:39 diff hist +1 652 N Page:Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu/87→‎Page non corrigée : Page créée avec « allait ravir au chœur des vierges actuelles un de ses plus fins échantillons. La liaison durait. Après une telle offrande et un tel holocauste, {{M.|Lapaire}} avait des scrupules. Il eût été désolé de s’entendre reprocher une initiation que d’ailleurs, l’ayant devinée, il eût évitée à tout prix. Il gardait donc chez lui {{Mlle}} Barbe Perbec, dont les huit jours donnés aux herboristes avaient été des plus orageux (elle avait échangé des cr... » Balise : Non corrigée

5 février 2024

4 février 2024

  • 11:524 février 2024 à 11:52 diff hist +112 N Échalote et ses amants/04Page créée avec « {{TextQuality|100%}} <pages index="Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu" from="45" to="58" header=1 /> »
  • 11:504 février 2024 à 11:50 diff hist +1 667 N Page:Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu/56→‎Page non corrigée : Page créée avec « fluents et de quelques membres, en civil, du clergé ; quant à Loin-du-ciel, nous avons vu que la protection des hommes lui était chose insignifiante et indigne d’elle puisque, ayant gagné les rayons d’étoile de café-concert, elle ne pouvait que choisir entre les bank-notes d’un Américain et les mauvais traitements d’un amant de cœur. {{M.|Plusch}} se trouvait donc, après avoir attiré la veine sur le bataillon de ses conquêtes, dans une solitude... » Balise : Non corrigée
  • 11:484 février 2024 à 11:48 diff hist +1 671 N Page:Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu/55→‎Page non corrigée : Page créée avec « long. La gloire en restait pour lui seul et sa figure — cette figure qui attirait la gifle ou le baiser — s’épanouissait du sourire de l’homme puissant et généreux. Pour attirer et retenir le plus grand nombre de petites Montmartroises il s’était fait lui-même une réputation aujourd’hui établie : celle de porter bonheur aux femmes, à condition, naturellement, qu’elles eussent passé une ou plusieurs nuits dans son rez-de-chaussée. En véri... » Balise : Non corrigée

3 février 2024

2 février 2024

  • 18:032 février 2024 à 18:03 diff hist +255 Discussion utilisateur:Hamuli→‎Princesses de science : Réponse Balise : Répondre
  • 16:592 février 2024 à 16:59 diff hist −1 444 Page:Yver - Princesses de Science.djvu/428Annulation des modifications 13994766 de Hamuli (discussion) Balises : Contenu remplacé Annulation Révoqué Sans texte
  • 16:362 février 2024 à 16:36 diff hist +97 N Princesses de science/5/3Chapitre 5.3
  • 16:342 février 2024 à 16:34 diff hist +1 444 Page:Yver - Princesses de Science.djvu/428Annulation des modifications 13994764 de Hamuli (discussion) Balises : Révoqué Non corrigée
  • 16:332 février 2024 à 16:33 diff hist −1 444 Page:Yver - Princesses de Science.djvu/428→‎Sans texte Balises : Contenu remplacé Révoqué Sans texte
  • 16:332 février 2024 à 16:33 diff hist +1 352 N Page:Yver - Princesses de Science.djvu/414→‎Page non corrigée : Page créée avec « est devenu inutile : je n’ai pas reconquis ce cœur qui appartient désormais à une autre. Pourtant le bonheur n’est pas seulement pour moi au foyer, il y attend aussi ce compagnon inconstant qui vivra misérable tant qu’il errera loin de la paix, de l’ordre, de la famille. Si celle qui croit l’aimer l’aimait véritablement, elle souhaiterait qu’il revînt là. — Madame, reprit la douce femme en essuyant ses larmes, celle qui aime votre mari ne... » Balise : Non corrigée
  • 16:332 février 2024 à 16:33 diff hist +1 408 N Page:Yver - Princesses de Science.djvu/413→‎Page non corrigée : Page créée avec « bonheur, elle le tient dans ses mains ; peut-être s’y croyait-elle autorisée par mon peu de soin à le conserver. Mais, que feriez-vous, madame, si une femme en avait usé pareillement à l’égard de votre cœur, de votre amour, du mari que vous aimeriez passionnément ? Elles étaient aussi blanches l’une que l’autre, et baissaient la tête toutes deux. Madame Jourdeaux dit timidement : — Peut-être serais-je allée trouver cette autre femme en to... » Balise : Non corrigée
  • 16:332 février 2024 à 16:33 diff hist +1 513 N Page:Yver - Princesses de Science.djvu/412→‎Page non corrigée : Page créée avec « avons connu un grand bonheur dans l’amour le plus tendre. Sa voix s’altérait ; elle reprit son assurance, d’un effort, et poursuivit : — Le docteur est la nature d’homme la plus belle, la plus délicate. Dans notre ménage, il était le meilleur. Je l’aimais. J’aimais aussi ma médecine. Il faut aimer son mari uniquement. Je le savais mal ; j’aurais dû me contenter de mon grand bonheur d’épouse, j’ai voulu y joindre celui que je puisais d... » Balise : Non corrigée
  • 16:332 février 2024 à 16:33 diff hist +1 488 N Page:Yver - Princesses de Science.djvu/411→‎Page non corrigée : Page créée avec « — Si je puis vous être utile en quoi que ce soit, madame, mon aide vous est acquise. Thérèse, après une pause, reprit avec effort : — J’ai, madame, une mère excellente à qui je ne dirais pas ce que je vais vous avouer. Je ne l’ai dit à personne, et c’est pour la première fois que ces mots, qui me coûtent beaucoup, vont sortir de mes lèvres. Je veux que vous sachiez cela, tout d’abord, pour comprendre quelle marque de confiance absolue je v... » Balise : Non corrigée
  • 16:332 février 2024 à 16:33 diff hist +1 446 N Page:Yver - Princesses de Science.djvu/410→‎Page non corrigée : Page créée avec « tait plus qu’une mince jeune femme aux yeux très tristes, sans arrogance, sans dédain, sans reproches, sans haine. Un peu timidement, elles s’abordèrent, se pénétrant l’une l’autre avant d’échanger une parole. Et l’attitude de Thérèse apaisa la tendre femme. — Vous avez voulu me voir, madame ? — J’ai eu besoin de vous voir, rectifia Thérèse avec un accent de telle loyauté, un désir si évident de sincérité, que madame... » Balise : Non corrigée
  • 16:322 février 2024 à 16:32 diff hist +1 236 N Page:Yver - Princesses de Science.djvu/409→‎Page non corrigée : Page créée avec « Et, un peu plus nerveuse que de coutume cependant, conservant entre ses doigts la carte roulée, elle poussait doucement Guéméné vers une porte qui s’ouvrait directement sur le vestibule d’entrée. Lui la tourmentait encore au sujet de ce rendez-vous du lendemain. — Mais où vous retrouverai-je ?… — Je vous écrirai, je vous le promets, avant ce soir… — Vous promettez ?… Enfin il disparut et, dans le creux de sa main, tremblante, le cœur s... » Balise : Non corrigée
  • 16:322 février 2024 à 16:32 diff hist +1 514 N Page:Yver - Princesses de Science.djvu/408→‎Page non corrigée : Page créée avec « main ; je saurai mieux, je me posséderai mieux moi-même… Partez, dites, partez ! J’ai peur d’André. S’il était venu !… » Vous voyez bien que je fais mal… Alors il lui demanda de la voir le lendemain, loin d’ici, dans quelque coin tranquille : le désir lui était venu d’une partie de campagne, comme s’ils étaient deux tout jeunes gens du petit monde parisien. Elle rougit d’abord à l’idée de ce rendez-vous. Il l’enlaça, la traita... » Balise : Non corrigée
  • 16:322 février 2024 à 16:32 diff hist +1 485 N Page:Yver - Princesses de Science.djvu/407→‎Page non corrigée : Page créée avec « — Mais cette autre m’a détaché d’elle par son égoïsme, par sa dureté, par son orgueil : elle s’est retirée de moi ; elle a élevé, de son chef, une barrière entre nos âmes… Alors je suis condamné à traîner jusqu’au bout cette existence sans amour, lié à une femme que je n’aime pas ! Car c’est vous que j’aime, mon amie, et depuis si longtemps que l’aveu m’en étouffe ! Je me demande quelle timidité m’a toujours retenu de vous... » Balise : Non corrigée
  • 16:322 février 2024 à 16:32 diff hist +1 366 N Page:Yver - Princesses de Science.djvu/406→‎Page non corrigée : Page créée avec « tempes, sur ses cheveux, et il disait âprement : — Je suis tellement sevré de ces douceurs ! Elle demanda, dans sa délicieuse pitié qui lui semblait sanctifier tout : — Pauvre ami ! votre femme est donc si indifférente pour vous ? — Ah ! reprit-il avec cette cynique injustice que donne la passion, ma femme a séparé ma vie de la sienne. J’ai trente-cinq ans, et le cœur muré dans un tombeau… Elle frémit, dégagea sa main et garda le silence... » Balise : Non corrigée
  • 16:322 février 2024 à 16:32 diff hist +1 509 N Page:Yver - Princesses de Science.djvu/405→‎Page non corrigée : Page créée avec « bait encore ? Et là, soudain, à table, il fit ce rêve d'être ici chez lui, et que c’était sa vraie femme qu’il contemplait amoureusement, si gracieuse, si bonne, si aimante ! Après le repas, elle lui proposa de retourner au salon. — Je n’aime pas ce salon cérémonieux, dit-il, et, puisqu’il me reste, avant mes visites de l’après-midi, un court moment à passer avec vous, permettez que ce soit dans votre chambre, que je connais, que... » Balise : Non corrigée
  • 16:322 février 2024 à 16:32 diff hist +1 568 N Page:Yver - Princesses de Science.djvu/404→‎Page non corrigée : Page créée avec « Notre destin nous a rapprochés ; je vous ai trouvé si triste, si malheureux, que moi, votre cadette, plus triste, plus seule encore que vous, je vous ai adopté dans mon cœur. Votre malheur mettait en vous comme une faiblesse. Je me suis sentie soudain l’aînée, la plus forte. Et, riant puérilement, elle se mit à dire : — Parfois je me figure avoir deux fils : l’un tout petit, l’autre très grand, très grand. Et ils me sont également chers… Ma... » Balise : Non corrigée
  • 16:322 février 2024 à 16:32 diff hist +1 296 N Page:Yver - Princesses de Science.djvu/403→‎Page non corrigée : Page créée avec « {{***}} Madame Jourdeaux attendait son ami au salon. C’était la première fois qu’elle le recevait là. Dans la pièce peu éclairée, elle parut à Fernand transformée, très belle, très ardente, malgré sa pâleur, son deuil de veuve qu’elle ne quittait pas et ses lenteurs de religieuse. Lui-même arrivait, en proie à une surexcitation effrayante. Il lui étreignit les mains en soupirant : — Oh ! mon amie, mon amie, que j’ai soif de vous ! Une... » Balise : Non corrigée
  • 16:322 février 2024 à 16:32 diff hist +1 437 N Page:Yver - Princesses de Science.djvu/402→‎Page non corrigée : Page créée avec « de madame Jourdeaux, son sourire, son mystère, régnaient en lui, l’emplissaient de fièvre, d’une sorte d’extase triomphante. Et il avait hâte de quitter cette compagne affligeante à voir, cette pièce triste, cette maison, car tout à l’heure il avait menti ; ce n’était pas à Saint-Cloud qu’il allait, mais boulevard Saint-Martin, où la veuve avait permis qu’il vînt déjeuner. — Thérèse, répétait-il, impatient de mettre fin à cette s... » Balise : Non corrigée
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