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Journaux d’opérations
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  • 19 février 2024 à 12:13 Hamuli discussion contributions a créé la page Les contes de la lune/03 (Page créée avec « <pages index="Fadette - Les contes de la lune, 1932.djvu" from="19" to="26" header=1 /> »)
  • 19 février 2024 à 12:11 Hamuli discussion contributions a créé la page Les contes de la lune/02 (Page créée avec « <pages index="Fadette - Les contes de la lune, 1932.djvu" from="13" to="18" header=1 /> »)
  • 19 février 2024 à 11:55 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Lacroix - La Perle de Candelair.djvu/78 (Page non corrigée : Page créée avec « <nowiki /> Elle aurait voulu, après avoir témoigné sa mauvaise humeur au jeune homme, le voir rester près d’elle. Elle eût été bien aise qu’il tentât de lui prouver que {{Mme}} Malsauge n’était pas le seul intérêt qu’il trouvait à causer avec elle. Quelle est la femme qui n’aime pas à être écoutée un peu pour elle-même ? Mariette passa du dépit à la tristesse et presque au chagrin, quand elle vit avec quelle facilité Étienne l’... ») Balise : Non corrigée
  • 11 février 2024 à 20:41 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Lacroix - La Perle de Candelair.djvu/18 (Page non corrigée : Page créée avec « leur teinte blafarde et les coins qui vont en s’affaissant ne marquaient l’absence complète d’intelligence, ainsi qu’une de ces indifférences profondes et invétérées comme une maladie héréditaire. Seul, un petit œil gris donne quelque chose de vivant à son visage. Cet œil est sans cesse affairé, toujours en quête, et peu de choses lui échappent dans le voisinage. C’est l’œil d’une commère sous le front d’un idiot. {{M.|Isidore Let... ») Balise : Non corrigée
  • 11 février 2024 à 20:38 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Lacroix - La Perle de Candelair.djvu/17 (Page non corrigée : Page créée avec « C’est un si brave homme que ce {{M.|Isidore Letourneur}} ! À l’époque où commence notre récit, il peut avoir soixante-huit ans. Il est grand, mince et maigre, de cette maigreur flasque sous laquelle on ne sent ni les nerfs ni la vigueur. Quelques méchantes langues affirment l’avoir de tout temps connu tel qu’on le voit aujourd’hui, et presque aussi vieux d’allure et de visage. Ses nombreux amis prétendent de leur côté qu’il ne paraît pas... ») Balise : Non corrigée
  • 7 février 2024 à 22:48 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu/97 (Page non corrigée : Page créée avec « sieur qui lui remboursera son chapeau ou sa robe, ce n’est pas davantage la midinette qui, comme à la Galette, vient demander à la valse ou à la mazurka bostonnées le dérivatif dont ont besoin ses jambes engourdies par l’inaction du jour, c’est la petite femme, pas assez fanatique de sa fonction de marchande d’amour pour lui consacrer une journée pleine, et pour qui toutes les amabilités des galants hommes rencontrés ne feront pas oublier d’alle... ») Balise : Non corrigée
  • 7 février 2024 à 22:46 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu/95 (Page non corrigée : Page créée avec « lesquelles se traitaient dans les tripots du boule vard ou à l’Américain. D’un coup d’œil Échalote découvrait Victor dont le regard, au-dessus des pailles de son orangeade, ne quittait pas la porte d’entrée. La bouche carminée de la poulette volait vers ses moustaches et, en dépit des spectateurs qui, du reste, s’étaient livrés précédemment aux mêmes effusions, on prolongeait l’étreinte des lèvres gourmandes. — Tu m’aimes toujours... ») Balise : Non corrigée
  • 7 février 2024 à 11:58 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu/93 (Page non corrigée : Page créée avec « {{t3|{{t|'''Les cinq à sept de ces dames.'''|90}}|'''{{rom-maj|VIII}}'''}} {{épigraphe|''Je sçais cent honnestes hommes cocus.''|{{sc|Montaigne.}}.<br />(Essais, liv. {{rom-maj|III}}, chap. {{rom-maj|V}}.)}} {{PM|É|CHALOTE}} était délicate et avait le ventre sensible. C’est du moins ce qu’elle avoua à {{M.|Plusch}}, après quelques semaines de liaison, alors qu’elle le supposait assez habitué à elle pour accepter ses maladies ou ses malaises.... ») Balise : Non corrigée
  • 7 février 2024 à 11:51 Hamuli discussion contributions a créé la page Échalote et ses amants/07 (Page créée avec « {{TextQuality|Textes validés}} <pages index="Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu" from="79" to="92" header=1 /> »)
  • 7 février 2024 à 11:50 Hamuli discussion contributions a créé la page Échalote et ses amants/06 (Page créée avec « {{TextQuality|Textes validés}} <pages index="Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu" from="67" to="78" header=1 /> »)
  • 7 février 2024 à 11:47 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu/90 (Page non corrigée : Page créée avec « ventes et de ses achats à découvert le grisèrent vite. Il voulut jouir d’un gain qui n’existait que sur le papier et, brûlant ses vaisseaux pour couvrir des dettes semées un peu partout, exigea de son système plus qu’il ne pouvait donner. L’argent de {{M.|Lapaire}} se trouva ainsi englouti. Des paroles aigres-douces s’échangèrent entre les deux associés. {{M.|de Flibust-Pélago}} avait beau objecter : « En 1881, j’ai confié mon secret à {{... ») Balise : Non corrigée
  • 7 février 2024 à 11:45 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu/89 (Page non corrigée : Page créée avec « millions à lui, à l’époque de sa richissime épouse, il terminait en additionnant lui-même les plats de mandés : « Un demi-setier : 0 fr. 20 ; un bouillon-légumes : 0 fr. 20 ; une demi-blanquette : 0 fr. 30 ; un pruneau 0 fr.15 ; pain 0 fr.05 ». — Tenez, garçon, ça nous fait dix-huit sous. — C’est bien ça, monsieur le chevalier. Il tendait un franc. — Voilà, gardez pour vous la monnaie. Après quoi, tout en pilonnant son croûton de pai... ») Balise : Non corrigée
  • 7 février 2024 à 11:39 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu/87 (Page non corrigée : Page créée avec « allait ravir au chœur des vierges actuelles un de ses plus fins échantillons. La liaison durait. Après une telle offrande et un tel holocauste, {{M.|Lapaire}} avait des scrupules. Il eût été désolé de s’entendre reprocher une initiation que d’ailleurs, l’ayant devinée, il eût évitée à tout prix. Il gardait donc chez lui {{Mlle}} Barbe Perbec, dont les huit jours donnés aux herboristes avaient été des plus orageux (elle avait échangé des cr... ») Balise : Non corrigée
  • 5 février 2024 à 20:34 Hamuli discussion contributions a créé la page Échalote et ses amants/05 (Chapitre 5)
  • 5 février 2024 à 20:32 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu/65 (Mauvaise alignement, cela doit être centré) Balise : Non corrigée
  • 5 février 2024 à 20:16 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu/64 (Page non corrigée : Page créée avec « demi-siècle d’âge, devait se laisser prendre à ce piège. Échalote, qui avait longtemps hésité avant de se rendre rue Clémence, était trop habile pour persister dans un rôle hostile vis-à-vis d’un monsieur bien disposé. Ses restrictions cédèrent avec ses derniers voiles et, comme elle avait besoin de dix francs, il s’agissait de se montrer femme et de bien faire la petite fille pour les gagner. En principe {{M.|Plusch}} ne donnait pas d’arge... ») Balise : Non corrigée
  • 5 février 2024 à 20:14 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu/63 (Page non corrigée : Page créée avec « haitent, a la fin de leur carrière, rencontrer dans leurs bras engourdis. Sans difficulté on pouvait entretenir cette illusion malsaine et Échalote, qui était intelligente, avait appris à harmoniser ses gestes et sa voix à l’innocence tenace de sa carnation et de sa taille. Cette naine tapageuse et {{corr|voyoue|voyou}} se transformait dans l’intimité des hommes : elle prenait des attitudes effarouchées et savait paralyser son verbiage coutumier en f...) Balise : Non corrigée
  • 4 février 2024 à 11:52 Hamuli discussion contributions a créé la page Échalote et ses amants/04 (Page créée avec « {{TextQuality|100%}} <pages index="Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu" from="45" to="58" header=1 /> »)
  • 4 février 2024 à 11:50 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu/56 (Page non corrigée : Page créée avec « fluents et de quelques membres, en civil, du clergé ; quant à Loin-du-ciel, nous avons vu que la protection des hommes lui était chose insignifiante et indigne d’elle puisque, ayant gagné les rayons d’étoile de café-concert, elle ne pouvait que choisir entre les bank-notes d’un Américain et les mauvais traitements d’un amant de cœur. {{M.|Plusch}} se trouvait donc, après avoir attiré la veine sur le bataillon de ses conquêtes, dans une solitude... ») Balise : Non corrigée
  • 4 février 2024 à 11:48 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu/55 (Page non corrigée : Page créée avec « long. La gloire en restait pour lui seul et sa figure — cette figure qui attirait la gifle ou le baiser — s’épanouissait du sourire de l’homme puissant et généreux. Pour attirer et retenir le plus grand nombre de petites Montmartroises il s’était fait lui-même une réputation aujourd’hui établie : celle de porter bonheur aux femmes, à condition, naturellement, qu’elles eussent passé une ou plusieurs nuits dans son rez-de-chaussée. En véri... ») Balise : Non corrigée
  • 3 février 2024 à 18:55 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu/53 (Page non corrigée : Page créée avec « était belliqueux, {{M.|Plusch}} était pacifique : l’idée ne lui venait pas de demander raison à son prochain des sautes de caprices d’une écervelée. Le Lapin-russe reçut la douche de son indifférence, et il vogua vers d’autres insulaires. À partir de ce lâchage immérité, se succédèrent, dans sa cuisine et sous sa courtepointe, ''Pilou'', toujours vêtue de robes ''idem'' ; ''la Iamba'', Espagnole oubliée par une troupe de pas sage, et enfin u... ») Balise : Non corrigée
  • 3 février 2024 à 18:47 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu/52 (Page non corrigée : Page créée avec « égratignures qu’il donnait l’aspect d’un cirque miniature livré aux ébats de chats en rut ou en colère. L’exubérance de ces deux professionnelles du surin constituait le seul incident déplorable de sa carrière d’homme à femmes. Avant elles et depuis elles, le succès n’avait pas boudé. C’étaient, par ordre numérique, le stage plus ou moins prolongé dans le rez-de-chaussée du 14 de la rue Clémence de ''Ranavalo'', jeune personne au tein... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 16:36 Hamuli discussion contributions a créé la page Princesses de science/5/3 (Chapitre 5.3)
  • 2 février 2024 à 16:33 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/414 (Page non corrigée : Page créée avec « est devenu inutile : je n’ai pas reconquis ce cœur qui appartient désormais à une autre. Pourtant le bonheur n’est pas seulement pour moi au foyer, il y attend aussi ce compagnon inconstant qui vivra misérable tant qu’il errera loin de la paix, de l’ordre, de la famille. Si celle qui croit l’aimer l’aimait véritablement, elle souhaiterait qu’il revînt là. — Madame, reprit la douce femme en essuyant ses larmes, celle qui aime votre mari ne... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 16:33 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/413 (Page non corrigée : Page créée avec « bonheur, elle le tient dans ses mains ; peut-être s’y croyait-elle autorisée par mon peu de soin à le conserver. Mais, que feriez-vous, madame, si une femme en avait usé pareillement à l’égard de votre cœur, de votre amour, du mari que vous aimeriez passionnément ? Elles étaient aussi blanches l’une que l’autre, et baissaient la tête toutes deux. Madame Jourdeaux dit timidement : — Peut-être serais-je allée trouver cette autre femme en to... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 16:33 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/412 (Page non corrigée : Page créée avec « avons connu un grand bonheur dans l’amour le plus tendre. Sa voix s’altérait ; elle reprit son assurance, d’un effort, et poursuivit : — Le docteur est la nature d’homme la plus belle, la plus délicate. Dans notre ménage, il était le meilleur. Je l’aimais. J’aimais aussi ma médecine. Il faut aimer son mari uniquement. Je le savais mal ; j’aurais dû me contenter de mon grand bonheur d’épouse, j’ai voulu y joindre celui que je puisais d... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 16:33 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/411 (Page non corrigée : Page créée avec « — Si je puis vous être utile en quoi que ce soit, madame, mon aide vous est acquise. Thérèse, après une pause, reprit avec effort : — J’ai, madame, une mère excellente à qui je ne dirais pas ce que je vais vous avouer. Je ne l’ai dit à personne, et c’est pour la première fois que ces mots, qui me coûtent beaucoup, vont sortir de mes lèvres. Je veux que vous sachiez cela, tout d’abord, pour comprendre quelle marque de confiance absolue je v... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 16:33 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/410 (Page non corrigée : Page créée avec « tait plus qu’une mince jeune femme aux yeux très tristes, sans arrogance, sans dédain, sans reproches, sans haine. Un peu timidement, elles s’abordèrent, se pénétrant l’une l’autre avant d’échanger une parole. Et l’attitude de Thérèse apaisa la tendre femme. — Vous avez voulu me voir, madame ? — J’ai eu besoin de vous voir, rectifia Thérèse avec un accent de telle loyauté, un désir si évident de sincérité, que madame... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 16:32 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/409 (Page non corrigée : Page créée avec « Et, un peu plus nerveuse que de coutume cependant, conservant entre ses doigts la carte roulée, elle poussait doucement Guéméné vers une porte qui s’ouvrait directement sur le vestibule d’entrée. Lui la tourmentait encore au sujet de ce rendez-vous du lendemain. — Mais où vous retrouverai-je ?… — Je vous écrirai, je vous le promets, avant ce soir… — Vous promettez ?… Enfin il disparut et, dans le creux de sa main, tremblante, le cœur s... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 16:32 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/408 (Page non corrigée : Page créée avec « main ; je saurai mieux, je me posséderai mieux moi-même… Partez, dites, partez ! J’ai peur d’André. S’il était venu !… » Vous voyez bien que je fais mal… Alors il lui demanda de la voir le lendemain, loin d’ici, dans quelque coin tranquille : le désir lui était venu d’une partie de campagne, comme s’ils étaient deux tout jeunes gens du petit monde parisien. Elle rougit d’abord à l’idée de ce rendez-vous. Il l’enlaça, la traita... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 16:32 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/407 (Page non corrigée : Page créée avec « — Mais cette autre m’a détaché d’elle par son égoïsme, par sa dureté, par son orgueil : elle s’est retirée de moi ; elle a élevé, de son chef, une barrière entre nos âmes… Alors je suis condamné à traîner jusqu’au bout cette existence sans amour, lié à une femme que je n’aime pas ! Car c’est vous que j’aime, mon amie, et depuis si longtemps que l’aveu m’en étouffe ! Je me demande quelle timidité m’a toujours retenu de vous... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 16:32 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/406 (Page non corrigée : Page créée avec « tempes, sur ses cheveux, et il disait âprement : — Je suis tellement sevré de ces douceurs ! Elle demanda, dans sa délicieuse pitié qui lui semblait sanctifier tout : — Pauvre ami ! votre femme est donc si indifférente pour vous ? — Ah ! reprit-il avec cette cynique injustice que donne la passion, ma femme a séparé ma vie de la sienne. J’ai trente-cinq ans, et le cœur muré dans un tombeau… Elle frémit, dégagea sa main et garda le silence... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 16:32 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/405 (Page non corrigée : Page créée avec « bait encore ? Et là, soudain, à table, il fit ce rêve d'être ici chez lui, et que c’était sa vraie femme qu’il contemplait amoureusement, si gracieuse, si bonne, si aimante ! Après le repas, elle lui proposa de retourner au salon. — Je n’aime pas ce salon cérémonieux, dit-il, et, puisqu’il me reste, avant mes visites de l’après-midi, un court moment à passer avec vous, permettez que ce soit dans votre chambre, que je connais, que... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 16:32 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/404 (Page non corrigée : Page créée avec « Notre destin nous a rapprochés ; je vous ai trouvé si triste, si malheureux, que moi, votre cadette, plus triste, plus seule encore que vous, je vous ai adopté dans mon cœur. Votre malheur mettait en vous comme une faiblesse. Je me suis sentie soudain l’aînée, la plus forte. Et, riant puérilement, elle se mit à dire : — Parfois je me figure avoir deux fils : l’un tout petit, l’autre très grand, très grand. Et ils me sont également chers… Ma... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 16:32 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/403 (Page non corrigée : Page créée avec « {{***}} Madame Jourdeaux attendait son ami au salon. C’était la première fois qu’elle le recevait là. Dans la pièce peu éclairée, elle parut à Fernand transformée, très belle, très ardente, malgré sa pâleur, son deuil de veuve qu’elle ne quittait pas et ses lenteurs de religieuse. Lui-même arrivait, en proie à une surexcitation effrayante. Il lui étreignit les mains en soupirant : — Oh ! mon amie, mon amie, que j’ai soif de vous ! Une... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 16:32 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/402 (Page non corrigée : Page créée avec « de madame Jourdeaux, son sourire, son mystère, régnaient en lui, l’emplissaient de fièvre, d’une sorte d’extase triomphante. Et il avait hâte de quitter cette compagne affligeante à voir, cette pièce triste, cette maison, car tout à l’heure il avait menti ; ce n’était pas à Saint-Cloud qu’il allait, mais boulevard Saint-Martin, où la veuve avait permis qu’il vînt déjeuner. — Thérèse, répétait-il, impatient de mettre fin à cette s... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 16:32 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/401 (Page non corrigée : Page créée avec « me dire ! Tu ne m’aimes plus, tu donnes ton cœur à une autre femme, tu m’offenses mortellement, et moi, je ne cesse pas de te chérir, je me repens des petites peines que je t’ai causées, et, par amour, je me dépouille de ce qui m’était le plus cher, je me voue à toi exclusivement, je te jure de renoncer à tout pour n’exister plus désormais qu’en vue de ton bonheur, et, quand tu me vois toute saignante encore du sacrifice, tu dis : « Ce n’... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 16:31 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/400 (Page non corrigée : Page créée avec « — Eh bien ! mon ami, es-tu content ? dis-le-moi. Ce que tu désirais est fait… Elle le vit pâlir, et il demeurait silencieux, les traits contractés, avec cette feuille de papier entre les doigts. Il n’exprimait nulle joie, nulle satisfaction. Il était seulement atterré et se raidissait contre une crispation de tout son être. — Mais parle-moi ! s’écria Thérèse. Tu sais maintenant à quel point je t’aime : c’est comme si j’arrachais un peu... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 16:31 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/399 (Page non corrigée : Page créée avec « la porte. Thérèse éprouva l’une des plus vives émotions de sa vie. Elle se retourna vers son mari. Celui-ci disait : — Thérèse, j’ai voulu te prévenir que je ne déjeunerai pas ici. On m’appelle en consultation à Saint-Cloud. Je pars. Il paraissait nerveux, préoccupé, agité. Thérèse défaillait presque. Elle lui fit un signe, et, d’une voix tout altérée : — Viens, viens voir ce que je fais. Elle eut, à ce moment, l’intuition nett... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 16:31 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/398 (Page non corrigée : Page créée avec « Les petites bénévoles ouvraient de grands yeux à ce coup de théâtre ; les médecins se prenaient de sympathie pour cette belle doctoresse métamorphosée à leurs regards en simple femme ; les étudiants murmuraient, dans leur « rosserie » amusante : — Le médecin s’évanouit, la clientèle demeure… Thérèse jugeait suffisant l’effet qu’elle avait voulu, par une coquetterie dernière, produire en plein hôpital : elle se retira, non sans souha... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 16:31 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/397 (Page non corrigée : Page créée avec « mais, comme ami, j’applaudis au parti qu’elle a jugé le meilleur. — Ah ! Madame est le docteur Guéméné ? dit farouchement Marie Boisselière. Elle s’avança, le lorgnon sur ses yeux de myope et toisant Thérèse, avec son air indélébile de vieille maîtresse d’école, elle ajouta : — Je regrette de faire connaissance avec Madame dans une telle circonstance… Elle en aurait dit plus ; mais Boussard, qui n’avait pas encore parlé, vint à l... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 16:31 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/396 (Page non corrigée : Page créée avec « — Père, je suis venue vous dire que j’abandonne la profession. — Tu abandonnes la médecine !… — Oui, je ne suis plus médecin, je n’exerce plus. Herlinge se redressait, interdit, pensant mal comprendre. — Cher père, reprit-elle, cela vous étonne. C’est très vrai, pourtant. Mon mari le désirait depuis longtemps, et je ne m’y décidais pas. Puis j’ai fini par admettre que vraiment la maison n’était pas bien gaie pour lui. D’ailleu... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 16:31 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/395 (Page non corrigée : Page créée avec « nissez-vous de ce métier, le plus noble de tous, gagne-pain magnifique, et consolation suffisante à toutes les solitudes. Mais, si rien ne s’y oppose, au jour venu, abandonnez-vous aux lois suprêmes qui font les femmes non point pour elles, mais pour l’époux dont elles doivent être l’auxiliaire et le bonheur. Ce jour-là, renoncez-vous, arrachez de vous tout désir de gloire, offrez à celui que vous aimerez votre lumineuse intelligence qui fera pour l... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 16:31 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/394 (Page non corrigée : Page créée avec « avaient rondement marché. C’avait été l’une des premières internes des hôpitaux de Paris. Établie, elle avait vite forcé le succès. Thérèse l’observait à la dérobée. À sa structure virile, à sa franche laideur, à son évident désir de se masculiniser, on devinait que l’amour n’avait guère embarrassé sa carrière de cérébrale. Elle était de celles qui doivent vivre seules, ne compter que sur soi, sans espoir de rencontrer jamais le... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 16:31 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/393 (Page non corrigée : Page créée avec « amant qui l'écoutait, mélancolique. Elle aimait bien son maître, dont elle disait toujours, dans son admiration très simple d’élève : « Mon grand Boussard ». Elle fut révoltée de le voir souffrir, sans foyer, sans famille, aux ordres de cette femme qui ne répondait à sa passionnée tendresse qu’en lui distillant, capricieusement, quelques gouttes de bonheur. Alors une idée lui vint. Fière de son sacrifice dont elle sentait tout à coup l... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 16:31 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/392 (Page non corrigée : Page créée avec « sommaire des cas à étudier avec les candidats. Il pénétra dans la salle. Par la porte vitrée on vit sa petite et maigre silhouette blanche, coiffée de la toque noire, suivre l'alignement des lits. Sur le palier où étaient demeurés tous les autres, la discussion reprit, et soudain s’arrêta net, interrompue par l’arrivée de deux femmes vêtues de noir qui gravissaient l’escalier. C’était la doctoresse Lancelevée accompagnant son amie mademoisel... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 16:31 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/391 (Page non corrigée : Page créée avec « chirurgien de l’hôpital ; cinq ou six jeunes médecins, venus pour assister à la visite d’Herlinge, se tenaient silencieux auprès de leurs grands confrères ; puis c’étaient, dans leurs blouses blanches, les externes du service, parmi lesquels Thérèse retrouva les deux petites « bénévoles » aperçues à Beaujon, l’automne dernier, et qui venaient de passer à l’Hôtel-Dieu. Tout ce monde s’inquiétait de la nomination d’une femme à la fo... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 16:31 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/390 (Page non corrigée : Page créée avec « aujourd’hui. Il doit y avoir ce matin, dans un service du premier étage, un concours pour l’admission d’un chef. Herlinge est examinateur avec Artout, Durand-Blondet et Boussard… Trois concurrents sont en présence, dont une dame qui va sans doute passer. Ce sera la première femme-médecin chef de service. Ça va être rigolo ! Thérèse vivait si retirée dans son douloureux secret que la candidature de cette femme, qui faisait quelque bruit à ce mom... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 12:42 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/389 (Page non corrigée : Page créée avec « <nowiki /> Mais elle se sentait forte, de la force morne que donne le chagrin. L’Hôtel-Dieu était immuable. Dans le corridor d’accès, les étudiants au pas lourd arrivaient en bandes ; des infirmiers vêtus de bleu s’affairaient ; le portier vérifiait les entrées. Thérèse passa, aperçut les deux cours intérieures superposées en terrasses, avec leurs galeries, leurs arcades. Aux malades anciens avaient succédé d’autres malades couchés dans l... ») Balise : Non corrigée
  • 2 février 2024 à 12:41 Hamuli discussion contributions a créé la page Page:Yver - Princesses de Science.djvu/388 (Page non corrigée : Page créée avec « <nowiki /> Cependant une timidité l'empêchait toujours de révéler son projet à Fernand. D’ailleurs elle le voyait peu. Son laboratoire, disait-il, l'absorbait de plus en plus. Dès le repas, il partait. Leurs nuits se continuaient solitaires. Thérèse laissa traîner sur sa table la liasse des circulaires qui n’étaient pas encore envoyées. Fernand jamais plus n’entrait dans le cabinet de sa femme et ne les vit pas. Thérèse se dit enfin : « Dema... ») Balise : Non corrigée
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