Page:Burnouf - Introduction à l’histoire du bouddhisme indien.djvu/627

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
585
DES DEUX MÉMOIRES.

cette assertion empruntée à un fragment d’une légende traduite, ibid. — Des diverses rédactions de la Pradjñâ pâramitâ, p. 411. — Explication de ce titre, p. 411. — Fragment extrait et traduit de la Pradjñâ pâramitâ, p. 414. — Résumé succinct de la doctrine exposée dans ce fragment, p. 430. — De la théorie des causes et effets, dite Nidâna et Pratîtya samutpâda, p. 432. — Fragment du Lalita vistara relatif à cette théorie, ibid. — Analyse de chacun de ces termes, Djarâmaraṇa, p. 437 ; Djâti, p. 438 ; Bhava, p. 439 ; Upâdâna, p. 440 ; Trĭchṇâ, p. 443 ; Vêdanâ, p. 444 ; Chaḍâyatana, p. 445 ; Nâmarûpa, p. 446 ; Vidjñâna, p. 447 ; Sam̃skâras, p. 448 ; Avidyâ, p. 451. — De l’existence du sujet pensant prouvée par divers textes, p. 451. — Analogies de la métaphysique du Buddhisme avec la doctrine Sâm̃khya, p. 455. — Des cinq Skandhas ou attributs intellectuels, p. 455. — Explication de ce terme, p. 456.

Des autres livres qui peuvent servir à l’étude de la métaphysique du Buddhisme, et en particulier du Saddharma Langkâvatâra, p. 458. — Analyse succincte de cet ouvrage, ibid. — Extrait de cet ouvrage touchant le Nirvâṇa, p. 459. — Autre fragment sur le même sujet, p. 462. — Méthode qui domine dans cet ouvrage, p. 463. — Rapport de la doctrine métaphysique de Çâkyamuni avec quelques opinions dominantes du Brâhmanisme, p. 464.


Section V. Tantras. 
 p. 465

Les Tantras forment une section à part dans la classification des Tibétains, ibid. — Caractère de cette partie de la collection népâlaise, ibid.M.  Hodgson ne l’a connue que la dernière ; raisons probables de ce fait, p. 466. — On peut juger de la nature de ces ouvrages d’après des traductions données par MM.  Wilson et Hodgson, p. 467. — Les Tantras appartiennent à la forme la plus compliquée du Buddhisme septentrional, p. 468. — On y voit le culte de Çâkyamuni, des Dhyâni Buddhas et d’Âdibuddha, allié au culte de Çiva et des Divinités femelles des Çivaïtes, ibid. — Les Tantras ne peuvent être des livres émanés de l’enseignement de Çâkya, p. 469. — Preuves de ce fait tirées du contenu de ces livres et du caractère de leur langage, ibid. — Jugement général porté sur cette partie de la collection népâlaise, p. 470 ; justifié par l’analyse de quelques livres, et en particulier du Suvarṇa prabhâsa, p. 471. — Existence de deux rédactions de ce livre, ibid. — Analyse de la rédaction sanscrite que nous possédons à Paris, p. 472. — Résumé sur cet ouvrage, p. 477. — Du Samvarôdaya tantra, p. 479. — Du Mahâkâla tantra, p. 480. — De l’utilité de l’étude des Tantras pour l’histoire littéraire du Buddhisme, ibid. — Du Kâla tchakra, ibid. — De l’Arya Mañdjuçrî mûla tantra, p. 481. — Des Mantras et Dhâraṇîs ou formules magiques, ibid. — De l’existence des Dhâraṇîs dans les Mahâyâna sûtras, p. 482. — D’une compilation des Dhâraṇîs, ibid. — Des divers traités qu’on y rencontre, p. 483. — De la Vadjramaṇḍâ dhâraṇî, p. 484. — Fragment traduit de cet ouvrage, ibid. — Résumé de la doctrine des Tantras, p. 486. — Ces livres sont le résultat d’un syncrétisme assez moderne, ibid. — Alliance du Buddhisme avec le Çivaïsme, p. 487. — Opinions de MM.  Schmidt et G. de Humboldt, ibid. — Ce qu’il faut entendre par alliance du Buddhisme avec le Brâhmanisme, p. 488. — Les rapports du Buddhisme avec le Çivaïsme se présentent, dans les livres du Népâl, sous un double aspect, p. 491. — À ce double aspect répondent des livres différents, les Mahâyânas et les Tantras, ibid. — On en conclut que ces livres ne peuvent avoir été rédigés à la même époque, p. 492. — De l’utilité de l’étude des monuments pour l’examen des rapports du Buddhisme avec le Çivaïsme, p. 493. — Insuffisance des descriptions actuelles, ibid.— Les Tantras ne donnent pas le commentaire des scènes figurées sur les monuments, ibid. — L’alliance du Buddhisme avec le Çivaïsme s’explique par la prédominance de ce dernier culte dans les provinces et à l’époque où ont été élevés ces monuments, ibid.


Section VI. Ouvrages portant des noms d’auteurs 
 494

Utilité de l’étude de ces ouvrages pour l’histoire du Buddhisme, ibid. — Ces livres sont assez rares dans la collection népâlaise, ibid. — Ils reprennent et développent les sujets traités dans les livres canoniques, ibid. — On y trouve un certain nombre d’Avadânas, notamment l’Avadâna kalpa latâ, p. 495. — Du Sapta kumârikâ avadâna et du Buddha tcharita, ibid.