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TABLE DES MATIÈRES.


Chap. V. De la doctrine secrète des païens et de leur explication de la théologie par la physique.
VI. De cette opinion de Varron que Dieu est l’âme du monde et qu’il comprend en soi une multitude d’âmes particulières dont l’essence est divine.
VII. Était-il raisonnable de faire deux divinités de Janus et de Terme ?
VIII. Pourquoi les adorateurs de Janus lui ont donné tantôt deux visages et tantôt quatre.
IX. De la puissance de Jupiter, et de ce Dieu comparé à Janus.
X. S’il était raisonnable de distinguer Janus de Jupiter.
XI. Des divers surnoms de Jupiter, lesquels ne se rapportent pas à plusieurs dieux, mais à un seul.
XII. Jupiter est aussi appelé Pecunia.
XIII. Saturne et Génius ne sont autres que Jupiter.
XIV. Des fonctions de Mercure et de Mars.
XV. De quelques étoiles que les païens ont désignées par les noms de leurs dieux.
XVI. D’Apollon, de Diane et des autres dieux choisis.
XVII. Varron lui-même a donné comme douteuses ses opinions touchant les dieux.
XVIII. Quelle est la cause la plus vraisemblable de la propagation des erreurs du paganisme.
XIX. Des explications qu’on donne du culte de Saturne.
XX. Des mystères de Cérès Eleusine.
XXI. De l’infamie des mystères de Liber ou Bacchus.
XXII. De Neptune, de Salacie et de Vénilie.
XXIII. De la terre, que Varron regarde comme une déesse, parce qu’à son avis l’âme du monde, qui est Dieu, pénètre jusqu’à cette partie inférieure de son corps et lui communique une force divine.
XXIV. Sur l’explication qu’on donne des divers noms de la terre, lesquels désignent, il est vrai, différentes vertus, mais n’autorisent pas l’existence de différentes divinités.
XXV. Quelle explication la science des sages de la Grèce a imaginée de la mutilation d’Atys.
XXVI. Infamies des mystères de la grande mère.
XXVII. Sur les explications physiques données par certains philosophes qui ne connaissent ni le vrai Dieu ni le culte qui lui est dû.
XXVIII. La théologie de Varron partout en contradiction avec elle-même.
XXIX. Il faut rapporter à un seul vrai Dieu tout ce que les philosophes ont rapporté au monde et à ses parties.
XXX. Une religion éclairée distingue les créatures du créateur, afin de ne pas adorer, à la place du créateur, autant de dieux qu’il y a de créatures.
XXXI. Quels bienfaits particuliers Dieu ajoute en faveur des sectateurs de la vérité à ceux qu’il accorde à tous les hommes.
XXXII. Le mystère de l’Incarnation n’a manqué à aucun des siècles passés, et par des signes divers il a toujours été annoncé aux hommes.
XXXIII. La fourberie des démons, toujours prêts à se réjouir des erreurs des hommes, n’a pu être dévoilée que par la religion chrétienne.
XXXIV. Des livres de Numa Pompilius, que le Sénat fit brûler pour ne point divulguer les causes des institutions religieuses.
XXXV. De l’hydromancie dont les démons se servaient pour tromper Numa en lui montrant dans l’eau leurs images.
Chapitre premier. De la théologie naturelle et des philosophes qui ont soutenu sur ce point la meilleure doctrine.
II. Des deux écoles philosophiques, l’école italique et l’école ionienne, et de leurs chefs.
III. De la philosophie de Socrate.
IV. De Platon, principal disciple de Socrate, et de sa division de la philosophie en trois parties.
V. Il faut discuter de préférence avec les Platoniciens en matière de théologie, leurs opinions étant meilleures que celles de tous les autres philosophes.
VI. Sentiments des Platoniciens touchant la physique.
VII. Combien les Platoniciens sont supérieurs dans la logique au reste des philosophes.
VIII. En matière de philosophie morale les Platoniciens ont encore le premier rang.
IX. De la philosophie qui a le plus approché de la vérité chrétienne.
X. La foi d’un bon chrétien est fort au-dessus de toute la science des philosophes.
XI. Comment Platon a pu autant approcher de la doctrine chrétienne.
XII. Les Platoniciens, tout en ayant une juste idée du Dieu unique et véritable, n’en ont pas moins jugé nécessaire le culte de plusieurs divinités.
XIII. De l’opinion de Platon touchant les dieux, qu’il définit des êtres essentiellement bons et amis de la vertu.
XIV. Des trois espèces d’âmes raisonnables admises par les Platoniciens, celles des dieux dans le ciel, celles des démons dans l’air et celles des hommes sur la terre.
XV. Les démons ne sont vraiment supérieurs aux hommes, ni par leur corps aérien, ni par la région plus élevée où ils font leur séjour.
XVI. Sentiment du Platonicien Apulée touchant les mœurs et les actions des démons.
XVII. S’il convient à l’homme d’adorer des esprits dont il lui est commandé de fuir les vices.
XVIII. Ce qu’on doit penser d’une religion qui reconnaît les démons pour médiateurs nécessaires des hommes auprès des dieux.
XIX. La magie est impie quand elle a pour base la protection des esprits malins.
XX. S’il est croyable que les dieux bons préfèrent avoir commerce avec les démons qu’avec les hommes.
XXI. Si les dieux se servent de démons comme de messagers et d’interprètes, et s’ils sont trompés par eux, à leur insu ou de leur plein gré.
XXII. Il faut malgré Apulée rejeter le culte des démons.
XXIII. Ce que pensait Hermès Trismégiste de l’idolâtrie, et comment il a pu savoir que les superstitions de l’Egypte seraient abolies.
XXIV. Tout en déplorant la ruine future de la religion de ses pères, Hermès en confesse ouvertement la fausseté.
XXV. De ce qu’il peut y avoir de commun entre les saints anges et les hommes.