— XXIII. De la terre, que Varron regarde comme une déesse, parce qu’à son avis l’âme du monde, qui est Dieu, pénètre jusqu’à cette partie inférieure de son corps et lui communique une force divine.
— XXIV. Sur l’explication qu’on donne des divers noms de la terre, lesquels désignent, il est vrai, différentes vertus, mais n’autorisent pas l’existence de différentes divinités.
— XXX. Une religion éclairée distingue les créatures du créateur, afin de ne pas adorer, à la place du créateur, autant de dieux qu’il y a de créatures.
— V. Il faut discuter de préférence avec les Platoniciens en matière de théologie, leurs opinions étant meilleures que celles de tous les autres philosophes.
— XIV. Des trois espèces d’âmes raisonnables admises par les Platoniciens, celles des dieux dans le ciel, celles des démons dans l’air et celles des hommes sur la terre.