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TABLE DES CHAPITRES.

Chap. xl. — Comment les Anglois repassèrent la rivière de Tyne, et comment un écuyer apporta nouvelles au roi où les Escots étoient.
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Chap. xli. — Comment le roi d’Angleterre fit ordonner ses batailles pour aller contre les Escots ; et comment il fit l’écuyer chevalier et lui donna cent livrées de terre.
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Chap. xlii. — Comment les Anglois et les Escots furent vingt-deux jours les uns devant les autres sans point combattre fors qu’en escarmouchant.
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Chap. xliii. — Comment messire Guillaume de Douglas se férit entour mie-nuit atout deux cents hommes en l’ost des Anglois et en tua bien trois cents.
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Chap. xliv. — Comment les Escots s’enfuirent par nuit, sans le sçu des Anglois, et comment les Anglois s’en retournèrent en leur pays ; et comment messire Jean de Hainaut prit congé du roi et s’en retourna en son pays.
32
Chap. xlv. — Comment les barons et les seigneurs d’Angleterre envoyèrent légats en Hainaut pour parler du mariage de la fille du comte et du roi Édouard.
34
Chap. xlvi. — Comment madame Philippe de Hainaut fut mariée au roi d’Angleterre, et comment elle fut honorablement reçue à Londres.
35
Chap. xlvii. — Comment le bon roi Robert d’Escosse, lui étant au lit de la mort, manda tous ses barons et leur recommanda son fils et son royaume, et enchargea à monseigneur Guillaume de Douglas qu’il portât son chœur au sein sépulchre.
Ib.
Chap. xlviii. — Comment messire Guillaume de Douglas, en allant outre mer fut tué en Espaigne mal fortunément, et comment le jeune roi d’Escosse fut marié à la sœur du roi d’Angleterre.
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Chap. xlix. — Comment le roi Charles de France mourut sans hoir mâle, et comment les douze pairs et les barons élurent à roi monseigneur Philippe de Valois ; et comment il déconfit les Flamands qui s’étoient rebellés contre leur seigneur.
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Chap. l. — Comment le roi d’Angleterre, par le faux ennortement de messire Roger de Mortimer, fit décoler le comte de Kent son oncle ; et comment ledit messire Roger mourut vilainement après.
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Chap. li. — Comment le roi de France envoya légats en Angleterre pour sommer le roi d’Angleterre qu’il lui venist faire hommage et quelle chose le dit roi répondit aux dessus-dits légats.
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Chap. lii. — Comment le roi d’Angleterre vint à Amiens, où il fut honorablement reçu du roi de France et lui fit hommage, mais non mie tout entièrement comment il devoit.
43
Chap. liii. — Comment le roi de France envoya en Angleterre de son plus espécial conseil, pour savoir par les registres d’Angleterre comment le dit hommage se devoit faire ; et comment le roi d’Angleterre lui envoya unes lettres, contenant le dit hommage.
45
Chap. liv. — Comment le roi de France prit en haine messine Robert d’Artois, dont il lui convint s’enfuir hors du royaume, et comment il fit mettre sa femme et ses enfans en prison qui oncques puis n’en issirent.
46
Chap. lv. — Comment la guerre recommença entre le roi d’Angleterre et le roi d’Escosse et sur quel titre ; et comment messire Robert d’Artois vint en Angleterre.
48
Chap. lvi. — Comment tout le conseil et le commun d’Angleterre conseillèrent le roi Édouard qu’il allât soumettre le roi d’Escosse, et qu’ils étoient tous désirans d’aller avec lui.
50
Chap. lvii. — Comment le roi anglois entra en Escosse où il ardit et gâta grand’partie d’Escosse et prit plusieurs châteaux et villes qu’il retint pour lui.
Ib.
Chap. lviii. — Comment le roi d’Angleterre mit le siège devant Bervich et comment ceux de la cité se rendirent à lui.
51
Chap. lix. — Comment messire Guillaume de Montagu et messire Gautier de Mauny se portèrent vaillamment contre les Escots, dont ils furent grandement en la grâce du roi Édouard.
52
Chap. lx. — Comment le roi de France alla voir le pape en Avignon, et comment, à la prédication du pape, il prit la croix pour aller outre mer ; et aussi fit le roi de Behaigne, le roi de Navarre et le roi d’Arragon.
54
Chap. lxi. — Comment le roi de France fit faire son appareil et ses pourvéances pour aller outre mer contre les ennemis de Dieu.
55
Chap. lxii. — Comment le roi d’Angleterre envoya ses messages au comte de Hainaut pour avoir son conseil qu’il feroit du droit qu’il se disoit avoir en France.
56
Chap. lxiii. — Quelle chose le comte de Hainaut conseilla aux messages du roi d’Angleterre ; et comment il s’en retournèrent en Angleterre et dirent au roi ce que le comte leur avoit conseillé.
Ib.
Chap. lxiv. — Comment les seigneurs d’Angleterre firent alliance avec le duc de Guelres, le marquis de Juliers, l’archevêque de Cologne et le sire de Fauquemont.
58
Chap. lxv. — Comment Jacquemart d’Artevelle échut si en la grâce des Flamands que tout quant que il faisoit, nul ne lui contredisoît.
59
Chap. lxvi. — Comment les seigneurs d’Angleterre firent alliance avec les Flamands par donner et par promettre, et espécialement avec Jaquemart d’Artevelle.
60
Chap. lxvii. — Comment aucuns chevaliers et écuyers flamands étoient en l’île de Gagant qui gardoient ouvertement le passage contre les Anglois.
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Chap. lxviii. — Comment le duc de Brabant envoya ses messagers par devers le roi de France pour lui excuser de l’alliance qu’il avoit faite avec les Anglois ; et comment les seigneurs d’Angleterre s’en retournèrent.
Ib.
Chap. lxix. — Comment les Anglois prirent terre sur les Flamands qui gardoient le passage de Gagant et vinrent combattre main à main.
62
Chap. lxx. — Comment les Anglois déconfirent ceux de Gagant ; et y fut pris le frère bâtard du comte de Flandre, qui puis se rendit Anglois.
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Chap. lxxi. — Comment le roi d’Angleterre vint par deçà la mer, et comment il montra à ses alliés ses grands frais et qu’ils voulussent tenir ce que promis lui avoient ; et quelle chose ils lui répondirent.
Ib.
Chap. lxxii. — Comment les seigneurs de l’Empire mandèrent au roi d’Angleterre qu’ils étoient prêts, ainsi que convent étoit, mais que le duc de Brabant le fut.
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Chap. lxxiii. — Comment les seigneurs de l’Empire dirent au roi qu’ils n’avoient point de cause de défier le roi de France sans le congé de l’empereur ; et qu’il veuille tant faire qu’il ait son accord.
Ib.
Chap. lxxiv. — Comment le roi d’Angleterre envoya le marquis de Juliers pardevers l’empereur pour avoir son accord ; et comment cil fit le roi d’Angleterre son vicaire par tout l’Empire.
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Chap. lxxv. — Comment le roi David d’Escosse avec la roine sa femme vinrent à Paris au roi de France ; et comment il et tous les barons d’Escosse lui promirent et jurèrent qu’ils ne feroient point paix aux Anglois sans son conseil.
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