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TABLE DES MATIÈRES
Dans ce chant, Dante raconte qu’il s’entretient avec Guido Gninicelli, et Daniel Arnaut, Provençal.
Autre vision de Dante. Il monte ensuite à la partie la plus élevée de la Montagne, et là Virgile le laisse en liberté de faire ce qu’il voudra, sans qu’il reçoive de conseil.
Dante, se trouvant dans le Paradis terrestre, veut s’avancer vers une grande forêt ; le fleuve Léthé l’empêche d’y pénétrer. Sur ses bords, il voit Mathilde chantant et cueillant des fleurs. Cette femme, interrogée par Dante, éclaircit quelques-uns de ses doutes.
Dante et Mathilde marchent le long du fleuve. Elle lui fait remarquer une nouvelle apparition.
Béatrix, descendue du ciel, reprend Dante de son peu de prudence qu’il l’a entraîné dans une conduite tout autre que celle qu’elle lui avait indiquée pour son salut.
Dante confesse toutes ses fautes à Béatrix ; bientôt plongé par Mathilde dans le fleuve Léthé, il boit de ses eaux.
Dante arrive au pied de l’arbre de la science du bien et du mal : il y est surpris par le sommeil.
Dante, toujours conduit par Mathilde, goûte des eaux du fleuve Eunoë, ensuite il se trouve purifié et digne de s’élever au séjour des étoiles.
PARADIS
Le poète expose dans ce chant qu’il est monté vers le premier ciel la conduite de Bréatrix. Il y conçoit plusieurs doutes que son guide s’empresse de résoudre.
Le poète monte avec Béatrix dans le corps de la lune. Là il demande ce qui produit les taches qu’on aperçoit dans cette planète. Béatrix lui en explique la cause.
Dante rencontre dans la lune les âmes des femmes, qui sur la terre ont fait le vœu de virginité, et que la violence contraignit à le rompre. Il trouve parmi elles, Piccarda, sœur de Forèse, qui lui raconte son histoire, et celle de Constance, fille de Roger, roi de Sicile, et épouse de l’empereur Henri V.
