tinction des castes, p. 187. — Il l’admet, mais l’explique par la théorie des peines et des récompenses, p. 188. — Çâkya fait plus que les autres philosophes brâhmaniques Kapila et Patandjali, ibid. — En admettant à la vie religieuse les hommes de toutes les castes, il anéantit de fait l’influence de la première de toutes, celle des Brâhmanes, ibid. — Comment comprendre cet axiome, que le Buddhisme a effacé toute distinction de caste, p. 189. — Coexistence des castes et du Buddhisme à Ceylan ; explication de ce fait, p. 190. — Réfutation de quelques opinions à ce sujet, ibid. — Çâkya n’a pas fait appel à un principe d’égalité à peu près inconnu en Asie, p. 192. — Opinion des Buddhistes sur les castes, empruntée à un traité moderne d’Açvaghôcha, ibid. — Résumé de la discussion relative aux Sûtras simples, p. 194.
Examen de la question de savoir si les Sûtras simples peuvent passer pour appartenir tous à la même époque, p. 195. — Ceux des Sûtras où Çâkya prédit des événements futurs sont postérieurs à ceux où il n’est question que de lui et de ses disciples, ibid. — De là trois classes de Sûtras : 1o ceux où les événements sont contemporains de Çâkya ; 2o ceux où ils lui sont postérieurs ; 3o les Sûtras de grand développement et Mahâyânas, où il n’est presque plus question d’événements humains, ibid. — Il faut y ajouter une quatrième classe de Sûtras, où dominent des opinions étrangères à l’institution primitive du Buddhisme, p. 196. — Preuves tirées de l’analyse du Guṇa karaṇḍa vyûha, ibid. — Exposé de ces preuves, p. 202. — Analogie extérieure de ce livre avec un Purâṇa indien, p. 203. — La tradition singhalaise y est indiquée, mais altérée, p. 204. — Des deux rédactions de cet ouvrage, l’une en prose et l’autre en vers, p. 205. — La rédaction en prose est antérieure à l’autre, ibid. — Résumé de la seconde section, p. 206.
Les Avadânas ou légendes de la collection du Népâl tiennent lieu de la section dite Vinaya ou de la Discipline, ibid. — Analogie des Avadânas et des Sûtras ; possibilité d’établir les mêmes divisions dans la première classe de livres que dans la seconde, p. 208. — La discipline n’y est pas dogmatiquement exposée, ibid. — Conditions générales à remplir pour être admis parmi les Auditeurs de Çâkya, d’après les Avadânas, ibid. — Preuves empruntées à la légende de Pûrṇa, et traduction de cette légende, p. 209. — Du titre de Bhikchu ou mendiant donné aux Religieux, p. 245. — Du titre de Çramaṇa ou ascète, ibid. — Du Çrâmaṇêra ou novice, p. 246. — Des conditions de l’admission dans le corps des Religieux, ibid. — Des cas d’exclusion, p. 247. — Constitution de l’assemblée des Auditeurs de Çâkya et des Bhikchuṇîs ou Religieuses, p. 248. — Des Upâsakas et Upâsikâs, ou des dévots des deux sexes, p. 249. — Sens de ces termes, ibid. — Différence de ces termes et de celui d’Upasthâyaka, p. 250. — Opinion de M. Hodgson sur les Upâsakas, p. 251. — Du Sam̃gha ou de l’Assemblée des Auditeurs de Çâkya, p. 252. — Opinion de M. de Humboldt, p. 253 et note 1. — Du sens de ce terme dans la formule Buddha, Dharma et Sam̃gha, p. 253 et note 3. Les Religieux recherchent la solitude, p. 254. — Circonstances qui ont favorisé leur réunion en une assemblée régulièrement organisée, p. 255. — Du Varcha ou de la retraite de la saison des pluies, ibid. — Des Vihâras ou monastères, ibid. — État presque nomade du Buddhisme, p. 256. — Les attaques et les persécutions de leurs adversaires favorisent la réunion des Religieux en un corps hiérarchiquement organisé, ibid. — De la hiérarchie, et des Sthaviras ou vieillards, p. 257. Explication de ce titre, ibid. — De l’influence du mérite sur la hiérarchie, p. 258. Des divers degrés des Religieux, considérés d’après l’ordre de mérite, ibid. — Des Âryas ou vénérables, p. 259. Des Çrôta âpannas, ibid. — Explication de ce terme, ibid. — Traduction de M. Schmidt, p. 260. Des Sakrĭdâgâmins et des Anâgamins, p. 261. Des Arhats, p. 263. Explication de ce terme, et réfutation de l’opinion des Buddhistes, ibid. — De la Bôdhi ou de l’Intelligence d’un Buddha, p. 264. — Des Mahâ çrâvakas ou grands Auditeurs, ibid. — Des Pratyêka Buddhas ou Buddhas individuels, p. 265. — Résumé sur la composition de l’assemblée des Auditeurs de Çâkya, ibid. — De quelques institutions religieuses, et en particulier de la confession, p. 267. De la distinction et de la classification des fautes d’après le Pratimôkcha sûtra, p. 268.