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TABLE DES MATIÈRES.
— LXVI. Augustin à Crisipinus, évêque donatiste — Indignation pieuse de saint Augustin contre cet évêque donatiste qui avait osé rebaptiser de pauvres catholiques d’un village.
— LXVII. Augustin à Jérôme. — Saint Augustin assure à saint Jérôme qu’il n’est pas vrai qu’il ait écrit un livre contre lui, comme on l’en a accusé. — Vif et affectueux désir d’obtenir quelque chose du solitaire de Bethléem.
— LXVIII. Jérôme à Augustin. — Saint Jérôme répond à la précédente lettre de saint Augustin, et parle de celle où l’évêque d’Hippone l’invitait à chanter la palinodie au sujet d’un passage de l’épître aux Galates ; malgré de pieux efforts pour se contenir, on reconnaît aisément un homme blessé dans le langage de saint Jérôme.
— LXIX. Alype et Augustin à Castorius. — Deux frères avaient passé du parti de Donat à l’unité catholique ; l’un d’eux était évêque, et, pour l’amour de la paix, avait déposé le fardeau de l’épiscopat. — Saint Augustin s’adresse au frère de celui-ci pour l’engager à entrer dans l’Église et à se charger lui-même du fardeau épiscopal.
— LXX. Alype et Augustin à Nocellion. — On oppose aux donatistes leur propre conduite.
— LXXI. Augustin à Jérôme — Sur les traductions de saint Jérôme. — Tumulte dans une église catholique à l’occasion d’un passage de l’Écriture dont la traduction différait du sens accoutumé.
— LXXII. Jérôme à Augustin. — Des paroles dites avec trop de confiance, des malentendus et, par-dessus tout, des commentaires peu charitables avaient mis au cœur de saint Jérôme une certaine amertume dont cette lettre porte des traces.
— LXXIII. Augustin à Jérôme. — Saint Augustin se plaint doucement d’une certaine âpreté de langage, reconnaît son tort involontaire et en demande pardon ; il cherche la vérité et regrette qu’une longue distance le sépare de saint Jérôme.
— LXXIV. Augustin à Présidius. — C’est un simple billet pour prier cet évêque de faire parvenir à saint Jérôme la lettre précédente.
— LXXV. Jérôme à Augustin. — Saint Jérôme défend son opinion sur le passage de l’Épître aux Galates.
— LXXVI. Aux Donatistes. — Saint Augustin fait parler l’Église catholique pour mieux toucher les gens du parti de Donat.
— LXXVII. Augustin à Félix et à Hilarion. — On remet au jugement de Dieu une affaire entre un moine et un prêtre. — Extrême réserve de saint Augustin en matière d’accusation.
— LXXVIII. Augustin au Clergé et à tout le peuple d’Hippone. — Les scandales dans l’Église.
— LXXIX. Saint-Augustin châtie l’ignorante et orgueilleuse perversité d’un prêtre manichéen.
— LXXX. Augustin à Paulin et à Thératie. — Comment on peut savoir si on accomplit la volonté de Dieu.
— LXXXI. Jérôme à Augustin. — Témoignage pacifique et affectueux de saint Jérôme.
— LXXXII. Augustin à Jérôme. — Saint Augustin répond à la lettre où saint Jérôme défend son opinion sur le fameux passage de l’Épître aux Galates, et va au fond du débat avec une grande supériorité ; il se déclare converti au sentiment du solitaire en ce qui touche les traductions sur l’hébreu.
— LXXXIII. Augustin à Alype. — Règlement de questions d’intérêt dans la vie religieuse.
— LXXXIV. Augustin à Novat. — Les devoirs de l’évêque et les tendresses de l’ami se retracent dans cette lettre.
— LXXXV. Augustin à Paul. — Remontrances de saint Augustin à un évêque.
— LXXXVI. Augustin à Cécilien. — Saint Augustin appelle l’attention de Cécilien, gouverneur de Numidie, sur les violences des donatistes dans le pays d’Hippone.
— LXXXVII. Augustin à Emérite, évêque donatiste. — Saint Augustin va droit à l’origine du schisme et enferme son adversaire dans le cercle de la vérité.
— LXXXVIII. Les Clercs catholiques du pays d’Hippone à Janvier. — Cette lettre, où saint Augustin fait parler son clergé, est une des plus importantes, dans la question des donatistes, par les pièces et les détails curieux qu’elle renferme, par l'expression de la véritable attitude du catholicisme en face du schismatisme africain, et par l’éloquente animation du langage.
— LXXXIX. Augustin à Feslus. — Festus était un personnage de l’empire qui possédait dans le pays d’Hippone des domaines considérables ; saint Augustin l’exhorte à des efforts pour ramener à la vérité ses fermiers et ses paysans donatistes ; il ramasse les faits et les raisonnements les plus capables d’éclairer et de frapper.
— XC. Nectarius à Augustin. — Un vieillard païen de Calame s’adresse à saint Augustin pour qu’il intervienne miséricordieusement en faveur des gens de Calame, coupables d’avoir violé les lois impériales et commis des violences contre les chrétiens.
— XCI. Augustin à Nectarius. — Cette réponse est un curieux monument des relations entre les chrétiens et les païens des premiers âges de l’Église.
— XCII. Augustin à Italica. — Saint Augustin console la veuve Italica et lui répond sur la manière dont les élus verront Dieu dans la vie future.