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Paul Vibert - Pour lire en bateau-mouche, 1905.djvu/543
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— 516 —
Une Cure d’air.
— La véritable attraction de l’Exposition. — Un manège de chevaux de bois tout à fait roulant.
357
Le Pétrole à l’œil.
— Comment on le fait entrer dans Paris sans payer les droits. — Moyen infaillible de tromper l’octroi. — Le coup de l’automobile.
363
L’Art de mirer les Œufs.
— Les Mirettes. — Poste légué de père en fils. — Aux Halles.
370
Le Commerce des Timbres-Poste
— Les Républiques industrieuses et les Colonies aux abois. — Curieuses révélations. — Un moyen assuré de faire fortune.
376
Les petits Ramoneurs.
— Un métier qui disparaît. — Souvenir d’enfance. — Une bien bonne blague. — L’Œuvre des petits Ramoneurs.
383
II
.
— Un petit Métier disparu. — Les petits Savoyards et les Bretons. — Le triomphe de l’instruction.
389
Un Horticulteur japonais.
— La thératologie vivrière. — Patience asiatique. — Toutes les ressources de la science concourent à créer des phénomènes. — Curieuses explications.
393
Les dernières Inventions de
M.
Santos-Dumont.
— L’école des petits aéronautes. — Les concierges et les garages de ballons au sixième ou au septième étage. — Merveilleuse révolution économique. — Comptes en l’air.
400
Les Industries Nouvelles.
— Dentistes pour peignes et
démêloirs
. — Laisses nickelées pour concierges. — Académie de cours d’anatomie pour tailleurs pour Dames. — Jardiniers pour fenêtres fleuries.
406