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Bloy - Exégèse des Lieux Communs, Mercure de France, 1902.djvu/302
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lii
.
l’honneur des familles
106
liii
.
les devoirs du monde
107
liv
.
l’habitude est une seconde nature
108
lv
.
où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir
109
lvi
.
il n’y a pas de plaisir sans peine
111
lvii
.
on ne fait pas d’omelettes sans casser des œufs
112
lviii
.
je n’ai pas de monnaie
113
lix
.
je pourrais être votre père
115
lx
.
on ne meurt qu’une fois
117
lxi
.
il est bienheureux, il ne souffre plus
118
lxii
.
il ne s’est pas senti mourir
120
lxiii
.
on dirait qu’il dort
121
lxiv
.
elle est morte comme une sainte
123
lxv
.
on doit le respect aux morts
126
lxvi
.
les morts ne peuvent pas se défendre
127
lxvii
.
je ne suis pas un domestique
ou
quand on nourrit
128
lxviii
.
je n’ai besoin de personne
132
lxix
.
les grandes douleurs sont muettes
133
lxx
.
« quo vadis ? »
134
lxxi
.
la plus jolie fille du monde ne peut donner que ce qu’elle a
135
lxxii
.
à l’impossible nul n’est tenu
138
lxxiii
.
un homme averti en vaut deux
140
lxxiv
.
que voulez-vous ! l’homme est l’homme
141
lxxv
.
il est avec le ciel des accommodements
142
lxxvi
.
au ciel on se reconnaît
144
lxxvii
.
les prêtres sont des hommes comme les autres
145
lxxviii
.
chacun pour soi et le bon dieu pour tous
146
lxxix
.
aller son petit bonhomme de chemin
149
lxxx
.
ne pas valoir le diable
150