Manuel d’économique



TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES


Pages.

INTRODUCTION

l’économique

§ 3. Ce qu’ils sont, p. 8. — § 4. Ce qui fait l’intérêt de chacun d’eux, p. 10. — § 5. Leurs rapports. Science et histoire, p. 10. — § 6. Science et art, p. 12. — § 7. De quelques distinctions usuelles, p. 13.

§ 8. Avec la technologie, p. 14. — §9. Avec la psychologie, p. 16. — § 10. Avec le droit, p. 18. — § 11. Avec la sociologie, p. 21. — § 12. Avec la morale, p. 24.

§ 13. Sa constitution tardive, p. 27. — § 14. Les prédécesseurs de Smith, p. 30. — § 15. La fin du xviie siècle et la première moitié du xixe siècle, p. 31. — § 16. La période la plus récente, p. 35.

§ 18. Remarque préliminaire, p. 43. — § 19. La connaissance des faits, p. 43. — § 20. L’induction, p. 45. — § 21. La déduction, p. 49. — § 22. Le raisonnement mathématique, p. 54. — § 23. Conclusion, p. 59.

§ 24. De divers plans, p. 60. — § 25. Plan de cet ouvrage, p. 63.

LIVRE I

Les bases psychologiques de l’économie

1. Définition et classification des besoins. — § 26. Définition des besoins, p. 65. — § 27. Distinctions qu’on peut établir parmi eux, p. 63. — § 28. Classification des besoins, p. 67.

2. Origine et évolution des besoins. — § 29. L’origine des besoins, p. 70. — § 30. L’évolution des besoins, p. 72.

3. L’importance relative des besoins (§ 31), p. 75.

1. Définition des biens. — § 32. Les biens en général, p. 80. — § 33. Les biens économiques, p. 80. — § 34. Biens et besoins, p. 81. — § 35. S’il est des biens immatériels, p. 82.

2. Différentes sortes de biens. — § 36. Quelques distinctions, p. 84. — § 37. Biens complémentaires et biens substituables, p. 87.

3. L’utilité des biens en général. — § 38. Utilité et valeur d’usage, p. 90. — § 39. Les éléments de l’utilité, p. 91. — § 40. La décroissance de l’utilité, p. 92. — § 41. La courbe de l’utilité décroissante, p. 95. — § 42. Le bénéfice du consommateur, p. 97.

4. L’utilité de l’argent. — § 43. La décroissance de l’utilité de l’argent, p. 90. — § 44. La richesse et le bonheur, p. 100.

§ 45. Travail et labeur, p. 103. — § 46. Les éléments du labeur, p. 104. — § 47. Variations que peut subir l’importance relative de ces éléments, p. 106. — § 48. Leur courbe quotidienne, p, 107.

1. L’intérêt de l’individu par rapport à un moment du temps (§ 49), p. 110.

2. L’intérêt de l’individu par rapport à une période. — § 50. La règle, p. 112. — § 51. Quelques applications, p. 113.

3. L’intérêt de l’individu devant le risque. — § 52. Le risque, p. 116. — § 53. De l’estimation des risques, p. 117. — § 54. De l’attitude qu’il convient d’adopter devant les risques défavorables, p. 121.

1. Les objections à la conception de l'« homo oeconomicus » § 55 p. 123.

2. Les mobiles désintéressés. — § 56. L’altruisme dans la famille, p. 155. — § 57. Les autres manifestations de l’altruisme, p. 127.

3. La diversité des mobiles égoïstes. — § 58. Énumération de ces mobiles, p. 130. — § 59. Remarques critiques, p. 131.

4. Le reste de la question. — § 60. Les actes déraisonnables, p. 132. — § 61. Les dispositions déraisonnables devant le risque, p. 136. — $ 62. La dépréciation des biens futurs, p. 134. — § 63. Les erreurs et l’ignorance, p. 137. — § 64. L’insouciance, p. 137. — § 65. Conclusion sur l’ « homo oeconomicus », p. 138.


LIVRE II

La production

CHAPITRE PREMIER

LA PRODUCTION EN GÉNÉRAL. LES FACTEURS DE LA PRODUCTION

1. Les différentes sortes de travaux. — 68. § Le rôle du travail dans la production, p. 146. — § 69. Classification des travaux, p. 147.

2. Les conditions subjectives de l’efficacité du travail : le savoir. — § 70. Importance du savoir, p. 148. — § 71. Les progrès de la technique, p. 150. — § 72. L’instruction, p. 151. — S 73. Les connaissances particulières des travailleurs, p. 152.

3. Les autres conditions subjectives. — § 74. L’intelligence, p. 152. — § 75. L’habileté, la force, etc., p. 154. — § 76. Les qualités morales, p. 154.

4. Le travail associé. La division du travail. — § 77. Lien avec ce qui précède, p. 156. — § 78. Le travail associé. Première forme, p. 156. — §79. Le travail divisé, p. 157. — § 80. Causes et conditions de la division du travail, p. 158. — § 81. Son histoire, p. 159. — § 82. Ses avantages et ses inconvénients, p. 160.

§ 83. Rôle de la nature dans la production, p. 162. — § 84. De quelles façons la terre nous est utile, p. 163.

1. Définition du capital. — § 85. Comment le capital a été défini, p. 166. — § 86. Comment il convient de le définir, p. 168.

2. Capitaux sociaux et capitaux individuels. — § 87. Comment on les a distingués, p. 169. — § 88. Comment il convient de les distinguer, p. 171.

3. Le rôle du capital dans la production. — § 89. Importance de ce rôle, p. 172. — § 90. En quoi il consiste, p. 172. — § 91. Le schème de la productivité du capital d’après Böhm-Bawerk, p. 173. — § 92. Critique, p. 175.

4. Différentes classifications des capitaux productifs. — §93. Classifications à écarter, p. 178. — § 94. Capital de premier établissement et fonds de roulement, p. 178. — § 95. Capital fixe et capital circulant, p. 179.

5. Instruments et machines. — § 96. Les instruments, p. 181. — § 97. Les machines, p. 181. — § 98. Leur utilité, p. 183. — §99. Histoire et statistique des machines, p. 185. — § 100. Ce qu’on peut attendre du développement du machinisme, p. 187.

§ 101. Comment on peut les mesurer, p. 188. — § 102. Hypothèse d’un savoir stationnaire, p. 189. — § 103. Hypothèse d’un savoir progressif, p. 193.

1. La loi dite des rendements décroissants ; sa véritable extension. — § 104. La loi des rendements décroissants, p. 194. — § 105. Son application à l’agriculture, p. 195. — § 106. Qu’elle peut être généralisée, p. 197. — § 107. Pourquoi elle ne l’a pas été, p. 199.

2. La loi dite des rendements décroissants ; confusions auxquelles elle a donné lieu. — § 108. Première confusion, p. 200. — § 109. Deuxième contusion, p. 202.

3. La transformabilité des productions. — § 110. Pourquoi la question se pose, p. 204. — § 111. Théorie d’Effertz, p. 205. — § 112. Si la surpopulation est à craindre, p. 207. — § 113. Signification véritable et portée de la théorie, p. 209.

CHAPITRE II
LES CARACTÈRES DE LA PRODUCTION DANS L’ÉPOQUE CONTEMPORAINE

1. Prédominance de la propriété individuelle. — § 114. Caractère individualiste de notre économie, p. 210. — § 115. La propriété collective dans le passé, et dans certaines sociétés contemporaines, p. 211. — § 116. La propriété collective dans nos pays, p. 213.

2. Quelques autres déterminations juridiques de la production contemporaine. — § 117. Remarques complémentaires sur la propriété individuelle, p. 217. — § 118. De quelques autres principes de notre droit, p. 218. — § 119. Remarque finale, p. 220.


§ 120. Importance très réduite de l’économie « naturelle », p. 220. — § 121. Causes et conditions de son recul, p. 221. — § 122. Les conséquences, p. 224.

§ 123. Ce qu’il faut entendre par là, p. 225. — § 124. Comment on peut estimer le capital employé dans la production, p. 228. — § 125. Conséquences de l’accroissement du capital productif, p. 231.

1. Définition de l’entreprise. Les deux types d’entreprises. — § 126. L’entreprise, p. 232. — § 127. Entreprise patronale et entreprise coopérative, p. 234.

2. L’entreprise patronale. — § 128. Ses formes diverses, p. 235. — § 129. Des sociétés par actions en particulier. Raisons de leur multiplication, p. 238. — § 130. Histoire et statistique des sociétés par actions, p. 239.

3. L’entreprise coopérative. — § 131. Définition, p. 243. — § 132. Peu d’importance de cette sorte d’entreprise, p. 245.

§ 133. Conditions particulières de l’agriculture, p. 247. — § 134. La spécialisation et l’intégration dans les autres sortes de productions, p. 248.

1. Ce qu’il faut entendre par la concentration de la production (§ 351), p. 252.

2. La concentration de la production dans l’industrie et le commerce. — § 136. Supériorité de la grande production, p. 255. — § 137. Obstacles à la concentration, p. 256. — § 138. Diversité des données du problème, p. 257. — § 139. Progrès actuels de la concentration ; exceptions qu’elle comporte, p. 258.

3. La concentration industrielle et commerciale d’après les statistiques. — § 140. L’Allemagne, p. 260. — § 141. Les autres pays, p. 262.

4. La concentration de la production dans l’agriculture. — § 142. La grande et la petite exploitation agricoles au point de vue technique, p. 264. — § 143. Un obstacle à la concentration agricole, p. 267. — § 144. L’association comme moyen de défense de la petite exploitation agricole, p. 268. — § 145. L’influence du régime de l’exploitation, p. 271. 5. La concentration agricole d’après les statistiques (§ 146), p. 272.


1. Définition de la concurrence et du monopole. Leurs avantages et leurs inconvénients respectifs. — § 147. La concurrence, p. 276. — § 148. Le monopole, p. 279. — S 149. Avantages et inconvénients respectifs de la concurrence et du monopole, p. 281.

2. La concurrence et le monopole dans l’économie contemporaine. — § 150. Remarques générales, p. 232. — § 151. Les coalitions d’entre prises, p. 283. — § 152. Causes de leur multiplication, p. 286. — § 153. Leur avenir. Leurs conséquences, p. 289.

CHAPITRE III
LES DIVERSES BRANCHES DE LA PRODUCTION

§ 154. Classification, p. 292. — § 155. Importance relative des différentes branches de la production, p. 293.

§ 156. La chasse, p. 296. — § 157. La pêche, p. 297.

1. Rôle de l’agriculture dans l’ensemble de la production. Ses divisions. Sa technique. — § 158. L’agriculture dans l’ensemble de la production, p. 298. — § 159. Classification des productions agricoles, p. 300. —§ 160. La technique agricole : ses caractères spéciaux, p. 301. — § 161. Son histoire, p. 303. 2. La répartition des cultures. Données statistiques sur la production agricole. — § 162. De l’emploi des différentes terres, p. 306. — § 163. Données statistiques sur la production agricole, p. 309. 3. Les forêts (§ 164), p. 314.

§ 165. Les mines et leurs produits, p. 317. — § 160. Caractères de la production minière, p. 318. — § 167. Son histoire, p. 319. — § 168. Données statistiques, p. 320.

1. Définition de l’industrie. Son importance. Ses divisions. — § 169. Définition, p. 324. — § 170. Importance de l’industrie, p. 324. — § 171. Les différentes sortes d’industries, p. 325.

2. La technique industrielle. L’organisation de la production industrielle. La distribution géographique des industries. — § 172. Histoire de la technique industrielle, p. 328 — § 173 Les divers modes d’organisation du travail industriel, p. 328. — § 174. De l’industrie à domicile en particulier, p. 330. — § 175. La localisation des industries, p. 333.

3. Quelques données statistiques. — § 176. Les statistiques professionnelles, p. 335. — § 177. Statistique des industries textiles, p. 338.

1. Les transports en général. — § 178. Transport et commerce, p. 341. — § 179. Classification des transports, p. 312. — § 180. Histoire des transports, p. 343. — § 181. Conséquences du développement des transports, p. 346. 2. Les principales sortes de transports. — § 182. Les transports maritimes, p. 347. — § 183. La navigation intérieure, p. 349. — § 184. Les routes, p. 350. — § 185. Les chemins de fer, p. 351. — g 186. Les transports urbains, p. 356. — § 187. Postes, télégraphes et téléphones, p. 356.

1. Définition et histoire du commerce. — § 188. Le commerce : ses diverses branches, p. 358. — § 189. Son histoire, p. 359. — § 190. Causes qui menacent le développement du commerce, p. 361. — § 191. Les sociétés coopératives de consommation, p. 363.

2. Les marchés et les Bourses. — § 192. Les marchés, p. 365. — § 193. Les Bourses de commerce, p. 368. — § 194. La spéculation, p. 369. — § 195. Les Bourses de valeurs, p. 371.

1. Le crédit. La banque comme organe du crédit. — § 196. Le crédit, p. 373. — § 197. La banque organe du crédit, p. 376.

2. Les opérations de banque. — § 193. Opérations passives, p. 377. — § 199. Opérations actives, p. 379. — § 200. Autres opérations, p. 379. — § 201. Importance des banques, p. 381.

3. Le fonctionnement des banques. — § 202. Classification des banques, p. 382. — § 203. Les banques d’émission, p. 382. — § 204. Banques de dépôts, etc. En France, p. 334. — § 205. Dans les autres pays, p. 336.

4. Quelques institutions spéciales de crédit. — § 206. Remarques générales, p. 390. — § 207. Crédit réel immobilier, p. 390. — § 208. Crédit mobilier, p. 392. — § 209. Crédit personnel, p. 393. — § 210. Caisses d’épargne, p. 395.

1. L’assurance en général. — § 211. Sa nature et son utilité, p. 397. — § 212. Le développement des assurances et ses limites, p. 399. — § 213. Classification des assurances, p. 399.

2. L’organisation des assurances. — § 214. Des principales sortes d’assurances, p. 400. — § 215. Par qui il convient que la fonction de l’assurance soit remplie, p. 404.

3. Les assurances ouvrières. — § 216. Raisons de les considérer à part. Quelles elles sont, p. 406. — § 217. Assurance contre la maladie, p. 407. — § 218. Assurance contre les accidents, p. 408. — § 219. Assurance contre le chômage, p. 410. — § 220. Assurance contre l’invalidité et la vieillesse, p. 411. — § 221. Assurance sur la vie, p. 413. — § 222. Conclusion, p. 414.


LIVRE III
L’échange.
CHAPITRE PREMIER
LE MÉCANISME DE L’ÉCHANGE

1. Les deux modes de l’échange. Avantages de l’échange monétaire. — § 224. L’échange, p. 419. — § 225. Ses deux modes, p. 420. — § 226. Avantages de l’échange monétaire, p. 421.

2. Origine de la monnaie. — § 227. Comment la monnaie est apparue, p. 422. — § 228. Les métaux comme monnaie, p. 425.

3. Fonctions secondaires de la monnaie. Conséquences de l’emploi de la monnaie. — § 229. Les fonctions secondaires de la monnaie, p. 427. — § 230. La monnaie comme mesure de la valeur, p. 427. — § 231. La monnaie comme agent de mobilisation de la valeur, p. 429. — § 232. Conséquences de l’emploi de la monnaie, p. 430.


1. La monnaie comme institution d’État. De diverses questions relatives aux monnaies métalliques. — § 233. La monnaie institution d’État, p. 432. — § 234. Les monnaies métalliques, p. 434. — § 235. Les différentes sortes de monnaies métalliques, p. 434. — § 236. Forme des monnaies, p. 436. — § 237. Taille et titre des monnaies, p. 436. — § 238. Les droits de seigneuriage et de monnayage, p. 438.

2. Le monométallisme et le bimétallisme comme régimes monétaires. — § 239. Comment ils se définissent, p. 439. — § 240. Autres régimes possibles, p. 441. 3. Le monométallisme et le bimétallisme comme doctrines. — § 241. Peu d’ancienneté de ces doctrines, p. 441. — § 242. L’objet de la discussion, p. 442. — § 243. Le point de vue des intérêts généraux de l’humanité, p. 4*3. — 9 244. Le point de vue des intérêts nationaux, p. 44b. 4. Le triomphe du monométallisme-or (§ 245), p. 448. 432


1. Les monnaies fiduciaires à cours forcé. — § 246. Les monnaies fiduciaires en général, p. 452. — § 247. Monnaies à cours forcé : monnaies métalliques, p. 454. — § 248. Monnaies de papier : conséquences de leur émission, p. 455. — § 249. Leur histoire, p. 457.

2. Les monnaies fiduciaires sans cours forcé. Le billet de banque. — § 250. Diverses sortes de monnaies fiduciaires sans cours forcé, p. 458. — § 251. Le billet de banque : son origine et sa nature, p. 459. — § 252. Une controverse sur le billet de banque, p. 460. — § 253. Si l’émission des billets augmente la « circulation », p. 461. — § 254. Ses effets sur les prix et le commerce extérieur, p. 462. — § 255. Si les banques peuvent émettre des billets à volonté, p. 462. — § 256. Comment convient-il de régler l’émission des billets ? § p. 463.

3. Le billet de banque (suite). Organisation et fonctionnement des banques d’émission. — § 257. La question de la liberté des banques, p. 465. — § 258 Banque d’État ou banques privées, p. 465. — § 259. Centralisation et décentralisation des banques, p. 466. — § 260. Des modes de réglementation de l’émission, p. 467. — § 261. Importance de la circulation des billets de banque, p. 469.

4. Les substituts de la monnaie. — § 262. Divers substituts de la monnaie, p. 470. — § 263. Les chèques, p. 471. — § 264. La compensation, p. 473. §265. Conséquences de l’emploi [des substituts de la monnaie, p. 474. — § 266. Dans quelle mesure cet emploi est susceptible de s’étendre, p. 475. — § 267. Des projets tendant à l’élimination complète de la monnaie, p. 476.


§ 268. Comment se règlent les comptes de place à place. Le change, p. 477. — § 269. Le cours du change, p. 479. — § 270. Entre quelles limites le change peut varier, p. 480. — § 271. Comment le change se détermine, p. 481. — § 272. Comment il convient d’apprécier les effets du change, p. 484. — § 273. Comment on peut corriger le change, p. 485. — § 274. La loi de Gresham, p. 486.

CHAPITRE II
LA VALEUR

§ 275. Valeur d’usage et valeur d’échange, p. 488. — § 276. Les distinctions de l’école autrichienne, p. 488. — § 277. Critique, p. 490. — § 278. Où la valeur d’échange apparaît-elle ? p. 492. — § 279. La valeur et le prix, p. 492.

§ 280. Importance du problème de la valeur, p. 493. — § 211. Les théories de la valeur, p. 494. — § 282. Les théories objectives, p. 494. — § 233. Critique générale des théories objectives, p. 499. — § 284. Les théories subjectives, p. 500.

1. L’échange entre deux échangistes (§ 285), p. 501.

2. La concurrence unilatérale. Le « monoone ». — § 286. Différents cas de concurrence unilatérale, p. 504. — § 287. Le monoone, p. 504.

3. Le monopole. — § 288. L’hypothèse la plus simple, p. 507. — § 289. Les autres hypothèses : cas des prix multiples, p. 507. — § 290. Cas du prix unique, p. 510. — § 291. Prix de monopole et « prix de concurrence », p. 513.

4. La concurrence bilatérale. — § 292. Le prix s’y détermine autrement qu’avec le monopole, p. 515. — §. 293. Comment il se détermine, p. 516. — § 294. Une condition requise pour la résolution du problème, p. 518. — § 295. Remarques sur le marché, p. 519.

5. La concurrence bilatérale (suite). La demande. — § 296. Ce qu’il faut entendre par la demande, p. 522. — § 297. La courbe de la demande, p. 523. — § 298. Quelques cas spéciaux, p. 525.

6. La concurrence bilatérale (suite). L’offre. — § 299. Deux façons de tracer la courbe de l’offre, p. 527. — § 300. Prix normal et prix effectif, p. 529. — § 301. Qu’il est parfois difficile d’estimer le coût de production, p. 531. — §302. Formes diverses de la courbe de l’offre, p. 531. — § 303. Coût marginal et valeur d’usage marginale, p. 532.

§ 304. L’équilibre de l’offre et de la demande, p. 533. — § 305. Les crises : leur nature, p. 534. — § 306. De la classification des crises, p. 537. — § 307. Histoire des crises. Leur allure générale, p. 533. — § 308. Causes des crises, p. 538.

1. Ce qu’il faut entendre par la valeur de la monnaie. — § 309. La valeur des marchandises et la valeur de la monnaie, p. 541. — § 310. Comment la valeur de la monnaie se mesure, p. 541. — § 311. De l’établissement des nombres-indices, p. 543.

2. Comment la valeur de la monnaie se détermine. La quantité de monnaie comme facteur de cette valeur. — § 312. La théorie quantitative et ses adversaires, p. 546. — § 313. Les trois facteurs principaux de la va leur de la monnaie, p. 548. — § 314. La quantité de la monnaie, p. 548.

3. Les deux autres facteurs principaux. — § 315. Le volume des transactions, p. 550. — § 316. La rapidité de la circulation monétaire, p. 553.

4. Complément de la théorie. — § 317. Le coût de production de la monnaie, p. 556. — § 318. La double fonction des métaux, p. 558. — § 319. La dualité des métaux, p. 561. — § 320. Autres théories sur la valeur de la monnaie, p. 561.

5. Les données expérimentales. — § 321. Intérêt qu’il y a à consulter ces données, p. 562. — § 322. La valeur de la monnaie, p. 563. — § 323. Le stock des métaux précieux, p. 564. — § 324. Les deux emplois des métaux précieux. Le stock monétaire, p. 566. — § 325. Ce que l’on peut tirer de ces données, p. 556.

6. Les conséquences des variations de la valeur de la monnaie. — § 326. Vrai sens de la question, p. 568. — § 327. Les réponses qu’elle comporte, p. 569. — § 328. De la stabilisation de la valeur de la monnaie, p. 570.

LIVRE IV
La distribution.

1. En quoi consiste ce problème. — § 329. La distribution du revenu social, p. 573. — § 330. Revenu social et revenu individuel, p. 574.

2. Le problème de la distribution et le problème de la valeur. — § 331. Rapports très étroits qui existent entre eux, p. 577. — § 332. Théorie adverse, p. 577. — § 333. La question de la valeur des moyens productifs, p. 580.

1. Définition de la rente. — § 334. Classification des revenus, p. 582. — § 335. Comment on définit la rente, p. 583. — § 336. Comment il faut la définir, p. 584. — § 337. Différentes sortes de rentes, p. 587.

2. Les autres revenus. — § 338. L’intérêt, p. 588. — § 339. Le salaire, p. 590. — § 340. Le profit, p. 591.

1. La rente en général. — §341. Rente différentielle et rente absolue, p. 591. — § 342. Comment la rente se détermine, p. 593. — § 343. Le fondement de la rente, p. 595. — § 344. Si la rente entre dans les prix, p. 596.

2. La rente agricole : comment elle se détermine. — § 345. Importance de la rente agricole, p. 597. — § 346. Ce qui détermine la rente des terres, p. 598. — § 347. Les variations de la rente agricole, p. 599. — § 348. Comment ces variations affectent les différentes terres, p. 602.

3. L’histoire de la rente agricole. — § 349. Difficultés de la recherche, p. 603. — § 350. Quelques données, p. 605. — § 351. L’avenir, p. 607.

4. Les divers modes de perception de la rente agricole. — § 352. Quels ils sont, p. 608. — § 353. Leurs avantages et leurs inconvénients respectifs, p. 610. — § 354. Données statistiques, p. 612.

5. La rente urbaine et la rente minière. — § 355. La rente urbaine : sa nature, p. 614. — § 356. Comment elle se détermine, p. 615. — § 357. Ce qui la fait varier, p. 616. — § 358. Données statistiques, p. 617. — § 359. La rente minière, p. 619.

1. Les théories de l’intérêt. — § 360. Comment on peut les classer, p. 621. — § 361. Premier groupe, p. 622. — § 362. Deuxième groupe, p. 023. — § 363. Troisième groupe, p. 626. — § 364. Quatrième groupe, p. 627. — § 365. Conclusion, p. 630.

2. Les causes de l’intérêt. — § 366. Qu’il y a lieu de s’attacher à l’intérêt pur, p. 630. — § 367. La demande des capitaux, p. 631. — § 368. L’offre, p. 636.

3. Comment l’intérêt se détermine. — § 369. La détermination de l’intérêt, p. 639. — § 370. Une complication du problème, p. 640. — § 371. Que le taux de l’intérêt n’est pas rigoureusement uniforme, p. 644. — § 372. Intérêt et escompte, p. 646.

4. Les variations du taux de l’intérêt. — § 373. Variations dans l’espace et variations dans le temps, p. 647. — § 374. Comment ces variations s’expliquent, p. 648. — § 375. Les facteurs de la demande des capitaux, p. 649 — § 376. Les facteurs de l’offre, p. 651. — § 377. Les variations historiques de l’intérêt, p. 654. — § 37S. L’avenir, p. 654. — § 379. S’il faut préférer la baisse ou la hausse de l’intérêt, p. 656. 5. La légitimité de l’intérêt. — § 380. Les controverses du temps passé, p. 658. — § 381. Si l’intérêt représente une exploitation, p. 660.

1. Le problème du profit. — § 382. Comment il faut poser le problème, p. 665. — § 383. Explications qui confondent le profit avec les autres revenus, p. 666. — § 384. Si le profit a sa source dans les risques des entrepreneurs, p. 668. — § 385. D’une autre explication, p. 672.

2. Les sources du profit. — § 386. Les trois sources du profit, p. 673. — § 387. Profit absolu et profit différentiel, p. 677. — § 388. Importance du profit. Ses variations, p. 680. — § 389. Si le profit entre dans les prix, p. 681.

1. Le salaire et les salariés. — § 390. De quelles manières le salaire est obtenu, p. 682. — § 391. Comment il convient d’aborder la question du salaire, p. 683. — § 392. Le nombre des « salariés », p. 684.

1. La rente en général. — §341. Rente différentielle et rente absolue, p. 591. — § 342. Comment la rente se détermine, p. 593. — § 343. Le fondement de la rente, p. 595. — § 344. Si la rente entre dans les prix, p. 596.

2. La rente agricole : comment elle se détermine. — § 345. Importance de la rente agricole, p. 597. — § 346. Ce qui détermine la rente des terres, p. 598. — § 347. Les variations de la rente agricole, p. 599. — § 348. Comment ces variations affectent les différentes terres, p. 602.

3. L’histoire de la rente agricole. — § 349. Difficultés de la recherche, p. 603. — § 350. Quelques données, p. 605. — § 351. L’avenir, p. 607.

4. Les divers modes de perception de la rente agricole. — § 352. Quels ils sont, p. 608. — § 353. Leurs avantages et leurs inconvénients respectifs, p. 610. — § 354. Données statistiques, p. 612.

5. La rente urbaine et la rente minière. — § 355. La rente urbaine : sa nature, p. 614. — § 356. Comment elle se détermine, p. 615. — § 357. Ce qui la fait varier, p. 616. — § 358. Données statistiques, p. 617. — § 359. La rente minière, p. 619.

1. Les théories de l’intérêt. — § 360. Comment on peut les classer, p. 621. — § 361. Premier groupe, p. 622. — § 362. Deuxième groupe, p. 023. — § 363. Troisième groupe, p. 626. — § 364. Quatrième groupe, p. 627. — § 365. Conclusion, p. 630.

2. Les causes de l’intérêt. — § 366. Qu’il y a lieu de s’attacher à l’intérêt pur, p. 630. — § 367. La demande des capitaux, p. 631. — § 368. L’offre, p. 636.

3. Comment l’intérêt se détermine. — § 369. La détermination de l’intérêt, p. 639. — § 370. Une complication du problème, p. 640. — § 371. Que le taux de l’intérêt n’est pas rigoureusement uniforme, p. 644. — § 372. Intérêt et escompte, p. 646.

4. Les variations du taux de l’intérêt. — § 373. Variations dans l’espace et variations dans le temps, p. 647. — § 374. Comment ces variations s’expliquent, p. 648. — § 375. Les facteurs de la demande des capitaux, p. 649 — § 376. Les facteurs de l’offre, p. 651. — § 377. Les variations historiques de l’intérêt, p. 654. — § 37S. L’avenir, p. 654. — § 379. S’il faut préférer la baisse ou la hausse de l’intérêt, p. 656. 5. La légitimité de l’intérêt. — § 380. Les controverses du temps passé, p. 658. — § 381. Si l’intérêt représente une exploitation, p. 660.

1. Le problème du profit. — § 382. Comment il faut poser le problème, p. 665. — § 383. Explications qui confondent le profit avec les autres revenus, p. 666. — § 384. Si le profit a sa source dans les risques des entrepreneurs, p. 668. — § 385. D’une autre explication, p. 672.

2. Les sources du profit. — § 386. Les trois sources du profit, p. 673. — § 387. Profit absolu et profit différentiel, p. 677. — § 388. Importance du profit. Ses variations, p. 680. — § 389. Si le profit entre dans les prix, p. 681.

1. Le salaire et les salariés. — § 390. De quelles manières le salaire est obtenu, p. 682. — § 391. Comment il convient d’aborder la question du salaire, p. 683. — § 392. Le nombre des « salariés », p. 684.

2. Les modalités du salaire. — § 393. Contrat de travail individuel et contrat collectif, p. 686. — § 394. Salaire individuel et salaire collectif, p. 688. — § 395. Salaire en nature et salaire en argent, p. 639. — §396. Salaire au temps et salaire aux pièces, p. 690. — § 397. Échelle mobile et participation aux bénéfices, p. 693.

3. Les variations historiques du salaire. — § 398. Difficultés de la recherche, p. 695. — § 399. L’histoire des salaires, p. 695. — § 400. Les faits connexes, p. 698. — § 401. Le chômage, p. 699. — § 402. La du rée de la journée, le repos hebdomadaire, etc., p. 701.

4. Deux théories du salaire. — § 403. La théorie du coût de production de la force de travail, p. 703. — § 404. La théorie du fonds des salaires, p. 706.

5. Comment les salaires se déterminent. — § 405. Le salaire déterminé par la productivité marginale du travail, p. 709. — § 406. Les groupes professionnels, p. 710. — § 407. Les inégalités à l’intérieur de chaque groupe, p. 711. — § 408. Facteurs qui tendent à abaisser ou à élever les salaires, p. 714. — § 409. Conséquences pour la classe ouvrière de l’action de ces facteurs, p. 717.

6. Ce qui fait varier la productivité marginale du travail. — § 410. Facteurs qui modifient la quantité des biens produits par le travail, p. 718. — § 411. Influence des goûts dominants, p. 722. — § 412. Conclusion sur le salaire et sur la distribution, p. 726.

1. Les revenus. — § 413. La question de la répartition, p. 726. — § 414. Les différentes sortes de revenus, p. 727. — § 415. Les revenus globaux, p. 729. — § 416. Les variations de l’échelle des revenus, p. 732. — § 417. Le paupérisme, p. 732.

2. Les patrimoines. — § 418. Les patrimoines dans les différentes nations, p. 733. — § 419. La composition des patrimoines, p. 735. — § 420. L’échelonnement des patrimoines, p. 737.

1. Le problème. — § 421. Remarques préliminaires, p. 740. — § 422. Les conséquences des variations de la population, p. 740. — § 423. Les causes : la théorie de Malthus et ses critiques, p. 741.

2. Les variations historiques de la population. Leurs causes : l’émigration. — § 424. Données statistiques sur les variations de la population, p. 744. — § 425. L’émigration : données statistiques, p. 745. — § 426. Causes et conséquences, p. 749.

3. La mortalité et la natalité. — § 427. L’excédent de la natalité sur la mortalité, p. 751. — § 428. La mortalité, p. 751. — § 429. La natalité : sa décroissance générale, p. 753. — § 430. L’explication du fait, p. 755. — § 431. Ce qui s’en peut déduire, p. 758. — § 432. S’il est possible de relever le taux de la natalité, p. 760.

APPENDICE I
LES QUESTIONS SOCIALES : LA PROPRIÉTÉ

1. Comment la question se pose. — § 433. Ce qu’il faut entendre par questions sociales, p. 761. — §434. Utilité et justice, p. 761. — §435. Les lésions de l’intérêt général dans le régime individualiste-libéral, p. 763.

2. La théorie du « laissez-faire » et ses critiques. — § 436. La doctrine optimiste, p. 765. — § 437. Ses adversaires, p. 767. — § 438. Effertz, p. 769.

3. Productivité et rentabilité : les sous-productions rentables. — § 439. Plan de l’étude, p. 773. — § 440. Premier groupe de sous-productions rentables, p. 773. — § 441. Deuxième groupe, p. 777.

4. Les surproductions rentables (p. 442), p. 781.

5. Les lésions de la productivité dans l’ordre de la capitalisation (§ 443), p. 787.

6. L’intérêt général et la distribution des richesses. — § 444. Rapport de cette question à la précédente, p. 790. — § 445. Qu’elle comporte une solution, p. 791. — § 446. La distribution la meilleure, p. 793. — § 447. Dans quelle mesure la distribution actuelle lèse l’intérêt général, p. 794.

1. Classification générale de ces solutions. Les doctrines réformatrices. — § 448. Classification des doctrines sociales, p. 796. — § 449. Les doctrines réformatrices, p. 797.

2. Les doctrines socialistes. — § 450. Ce que c’est que le socialisme, p. 801. — § 451. Différentes sortes de socialisme : socialisme rationnel et socialisme « scientifique », p. 803. — § 452. La fin du socialisme, p. 804. — § 453. Quels biens faut-il socialiser ? p. 806. — § 454. Au profit de qui la socialisation doit-elle se faire ? p. 807. — § 455. La valeur en régime socialiste, p. 809. — § 456. L’introduction du régime socialiste, p. 810. — § 457. Conclusion, p. 811.

APPENDICE II
LES QUESTIONS NATIONALES : LE COMMERCE EXTÉRIEUR DES NATIONS

1. Comment la question se pose. Les éléments du commerce international. — § 458. Les questions nationales, p. 815. — § 459. Les éléments du commerce extérieur des nations, p. 816. 2. Les statistiques du commerce international. Développement historique de celui-ci. — § 460. Les statistiques douanières, p. 818. — § 461. Histoire du commerce international, p. 821.

1. La doctrine mercantile. — § 462. La théorie de la balance du commerce, forme principale de la théorie mercantile, p. 826. — § 463. Balance du commerce et balance des comptes, p. 826. — § 464. Critique essentielle de la théorie mercantile, p. 830.

2. La doctrine libre-échangiste et la doctrine protectionniste. — § 465. Le libre-échangisme, p. 833. — § 466. Critique, p. 836. — § 467. Le protectionnisme, p. 838.

3. Dans quels cas la protection peut être avantageuse. — § 468. Les effets des importations ; l’argumentation libre-échangiste, p. 840. — § 469 Discussion, p. 844. — § 470. Un cas spécial, p. 846. — 8 471. Le point de vue de la distribution, p. 847. — § 472. La protection comme