Pensées d’août
Poésies de Sainte-Beuve, Michel Lévy frères., .
131
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174
Sonnets à la duchesse de Rauzan. I. Au Thil où vous aimez
181
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187
Sonnet à madame P. Heureux loin de Paris
190
À Ulric Guttinguer. Épître
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Trois sonnets imités.
I. Reposez-vous et remerciez : au sommet du Glencroe
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de Wordsworth
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Vers qui se rapportent à Volupté. J’ai reçu, j’ai reçu
200
Sonnet à la marquise de Castries qui est à Dieppe. D’ici je vous voyais
205
Sur un portrait de Gérard, une Jeune Femme au bain. À madame Récamier
206
Rome. Élégie imité de Guillaume de Schlegel
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Sonnet à M. Roger d’A. Un rayon, un rayon
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218
II. Une Romance encore. Quoi ! se peut-il
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À la duchesse de Rauzan. Partez, puisqu’un départ
221
À M. de Salvandy, ministre du 15 avril
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Sonnet à madame G. Non, je ne suis pas gaie
225
Sonnet à madame M. Quoi ! vous voulez
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Sonnet à M. Justin Maurice. Nous gravissions de nuit
241
Sonnets.I.
244
244
Sonnet à Boulay-Paty. Nous partions sur le lac
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Sonnet à M. Paulin Limayrac. Je montais, je montais
249
À M. Patin, après avoir suivi son Cours de poésie latine. Épître
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Sonnet à mon ami Ch. Labitte. En voyant jusqu’ici
254
À J.-J. Ampère. Épître
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À mes amis M. et madame Olivier. Stances
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Sonnet. J’aime Paris
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Élégie. Elle me dit un jour
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