Poésies (1863)
Pensées d’août
Pensées d’août
1837
PENSÉES D’AOÛT
- « Tous les petits sujets qui se présentent, rendez-les chaque jour dans leur fraîcheur : ainsi vous ferez de toute manière quelque chose de bon, et chaque jour vous apportera une joie… Toutes mes poésies sont des poésies de circonstance : elles sont sorties de la réalité, et elles y trouvent leur fonds et leur appui. Pour les poésies en l’air, je n’en fais aucun cas. »
Paroles de Gœthe à Eckermann.
(OCTOBRE 1857)
Pensées d’août | |
Avertissement | 131 |
Pensée d’août | 135 |
M. Jean, maître d’école | 150 |
À madame Tastu | 174 |
À M. Achille du Clésieux | 177 |
Sonnets à la duchesse de Rauzan. I. Au Thil où vous aimez | 181 |
II. Ainsi l’on dit de vous | 182 |
À mes amis Grégoire et Collombet | 183 |
À Victor Pavie, le soir de son mariage | 187 |
Sonnet à madame P. Heureux loin de Paris | 190 |
Sonnet de sainte Thérèse, à Jésus crucifié | 191 |
Tu te révoltes, tu t’irrites | 192 |
193 | |||||
À Ulric Guttinguer. Épître |
193 | ||||
Trois Sonnets imités de Wordsworth.
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196 | ||||
197 | |||||
198 | |||||
199 | |||||
Vers qui se rapportent à Volupté. J’ai reçu, j’ai reçu |
200 | ||||
Sonnet à la marquise de Castries qui est à Dieppe. D’ici je vous voyais |
205 | ||||
Sur un portrait de Gérard, une Jeune Femme au bain. À madame Récamier |
206 | ||||
Rome. Élégie imité de Guillaume de Schlegel |
211 | ||||
214 | |||||
Sonnet à M. Roger d’A. Un rayon, un rayon |
216 | ||||
À mon cher Marmier. Imité du minnesinger Hadloub |
217 | ||||
218 | |||||
II. Une Romance encore. Quoi ! se peut-il |
219 | ||||
220 | |||||
À la duchesse de Rauzan. Partez, puisqu’un départ |
221 | ||||
À M. de Salvandy, ministre du 15 avril |
223 | ||||
Sonnet à madame G. Non, je ne suis pas gaie |
225 | ||||
226 | |||||
227 | |||||
Sonnet à madame M. Quoi ! vous voulez |
228 | ||||
229 | |||||
230 | |||||
238 | |||||
238 | |||||
240 | |||||
Sonnet à M. Justin Maurice. Nous gravissions de nuit |
241 | ||||
242 | |||||
Sonnets.
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244 | ||||
244 | |||||
245 | |||||
Sonnet à Boulay-Paty. Nous partions sur le lac |
248 | ||||
Sonnet à M. Paulin Limayrac. Je montais, je montais |
249 | ||||
À M. Patin, après avoir suivi son Cours de poésie latine. Épître |
250 | ||||
Sonnet à mon ami Ch. Labitte. En voyant jusqu’ici |
254 | ||||
À J.-J. Ampère. Épître |
255 | ||||
À mes amis M. et madame Olivier. Stances |
258 | ||||
261 |
Sonnet. J’aime Paris | 262 |
À la comtesse de Tascher. Récit | 263 |
La Fontaine de Boileau, épître à la comtesse Molé | 273 |
Maria, à M. de Lurde. Récit | 278 |
Élégie. Elle me dit un jour | 283 |