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TABLE DES MATIÈRES.


Pages
Chapitre XIV. — Théorie d’Uranus 
 152


Examen du degré auquel les approximations doivent s’étendre dans l’évaluation du rayon vecteur. Valeurs numériques des inégalités sensibles qui affectent la longitude et le rayon vecteur. Elles sont dues à l’action de Jupiter et de Saturne.
Inégalités indépendantes des excentricités.
Inégalités dépendantes de la première puissance des excentricités.
Inégalités dépendantes de la seconde dimension des excentricités et des inclinaisons.
Inégalités dépendantes de la troisième dimension des excentricités et des inclinaisons. Il n’y en a qu’une seule produite par l’action de Saturne. N° 37 
 152
Inégalités en latitude. Sont produites par l’action de Jupiter et de Saturne. N° 38 
 154


Chapitre XV. — De quelques équations de condition qui existent entre les inégalités planétaires, et qui peuvent servir à les vérifier. N° 39, 40, 41, 42 et 43 
 155, 158, 160, 161 et 164


Chapitre XVI. — Sur les masses des planètes et de la Lune 
 166


Réflexions sur les valeurs données à ces masses dans le n° 21. Nouvelle détermination de celles de Vénus et de Mars. Discussion de celle de la Lune par la comparaison des divers phénomènes qui peuvent la déterminer, tels que les observations des marées, l’équation lunaire des Tables du Soleil, la nutation de l’axe terrestre et la parallaxe de la Lune. Il en résulte que cette masse est un peu moindre que ne l’indiquent les marées observées à Brest. N° 44 
 166


Chapitre XVII. — Sur la formation des Tables astronomiques, et sur le plan invariable du système planétaire. N° 45 et 46 
 172 et 173


Chapitre XVIII. — De l’action des étoiles sur le système planétaire 
 174


Le grand éloignement de ces astres rend leur action insensible. Réflexions sur la comparaison des formules précédentes avec les observations. N° 47 
 174



LIVRE VII.
THÉORIE DE LA LUNE.


Exposé de cette théorie ; ses difficultés particulières. Considérations par lesquelles on doit y diriger les approximations. Comment on peut en conclure plusieurs éléments importants pour la théorie du système du monde, et entre autres l’aplatissement de la Terre, qui s’obtient ainsi avec plus d’exactitude que par les observations directes 
 181


Chapitre I. — Intégration des équations différentielles du mouvement lunaire 
 193


Équations différentielles de ce mouvement données dans le n° 15 du Livre II. Manière d’avoir égard, dans les calculs, à la non-sphéricité de la Lune et de la Terre. N° 1 
 193
Développements des quantités qui entrent dans les équations différentielles, en supposant ces deux corps sphériques. N° 2 
 195