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TABLE DES MATIÈRES.

Je suis le bon Pasteur, et je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent. — Comme mon Père me connaît, je connais mon Père : et je donne ma vie pour mes brebis. (Vers. 14, 15, jusqu’au vers. 21.)
Or, on faisait à Jérusalem la fête de la dédicace, et c’était l’hiver. — Et Jésus se promenant dans le temple, dans la galerie de Salomon, les Juifs s’assemblèrent autour de lui, et lui dirent : Jusques à quand nous tiendrez-vous l’esprit en suspens ? (Vers. 22, 23, 24, jusqu’à la fin du chap. x.)
Il y avait un homme malade, nommé Lazare, qui était du bourg de Béthanie, où demeurait Marie et Marthe, sa sœur. — Cette Marie était celle qui répandit sur le Seigneur une huile de parfum. (Chap. xi, vers. 1, 2, jusqu’au vers. 29.)
Car Jésus n’était pas encore entré dans le bourg, mais il était au même lieu où Marthe l’avait rencontré. — Cependant les Juifs qui étaient avec Marie, et le reste. (Vers. 30, 31, jusqu’au vers. 40.)
Mais Jésus, levant les yeux en haut, dit ces paroles : Mon Père, je vous rends grâces de ce que vous m’avez exaucé. — Pour moi, je savais que vous m’exaucez toujours, mais je dis ceci pour ce peuple qui m’environne, etc. (Vers. 41, 42, jusqu’au vers. 48.)
Mais l’un d’eux, nommé Caïphe, qui était le grand prêtre de cette année-là, leur dit : Vous n’y entendez rien. — Et vous ne considérez pas qu’il vous est avantageux qu’un seul homme meure pour le peuple, etc. (Vers. 49, 50, jusqu’au vers. 9 du chap. XII.)
Une grande multitude de Juifs ayant su qu’il était là, y vinrent, non-seulement pour Jésus, mais aussi pour voir Lazare, qu’il avait ressuscité d’entre les morts. (Vers. 9, jusqu’au vers. 24.)
Celui qui aime sa vie, la perdra ; mais celui qui hait sa vie en ce monde, la conserve pour la vie éternelle. — Si quelqu’un me sert, qu’il me suive. (Vers. 25, 26, jusqu’au vers. 34.)
Le peuple lui répondit : Nous avons appris de la loi que le Christ doit demeurer éternellement. Comment donc dites-vous qu’il faut que le Fils de l’homme soit élevé en haut ? Qui est ce Fils de l’homme ? (Vers. 34, jusqu’au vers. 42.)
Plusieurs néanmoins des sénateurs mêmes crurent en lui, mais à cause des pharisiens ils n’osaient le reconnaître publiquement , de crainte d’être chassés de la synagogue. — Car Hs ont plus aimé la gloire des hommes que la gloire de Dieu. (Vers. 42, 43, jusqu’à la fin du chapitre XII.)
Avant la fête de Pâques, Jésus, sachant que son heure était venue de passer de ce monde à son Père , comme il avait aimé les siens qui étaient dans le monde, il les aima jusqu’à la fin. (Chap. xfll, vers. 1, jusqu’au vers. 12.)
Et Jésus reprit ses vêtements : et s’étant remis à table, il leur dit : Savez-vous ce que je viens de vous faire ?(Vers. 12, jusqu’au vers. 19.)
En vérité, en vérité, je vous le dis : Quiconque reçoit celui que j’aurai envoyé, me reçoit moi-même, et qui me reçoit, reçoit celui qui m’a envoyé. (Vers. 20, jusqu’au vers. 35.)
Simon Pierre lui dit : Seigneur, où allez-vous ? Jésus lui répondit : Vous ne pouvez maintenant me suivre où je vais, mais vous me suivrez après. (Vers. 36, jusqu’au vers. 7 du chap. XIV.)
Philippe lui dit : Seigneur, montrez-nous votre Père, et il nous suffit. — Jésus lui répondit : Philippe, il y a si longtemps que je suis avec vous, el vous ne me connaissez pas encore ? Celui qui me voit, voit mon Père. (Vers. 8, 9, jusqu’au vers. 14.)
Si vous m’aimez, gardez mes commandements. — Et je prierai mon Père, et il donnera un autre Consolateur, afin qu’il demeure éteruellement avec vous, l’Esprit de vérité. — Que le monde ne peut recevoir, parce qu’il ne le voit point. (Vers. 15, 16, 17, jusqu’au vers. 30.)