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TABLE DES MATIÈRES.
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L’écliptique, dans son mouvement séculaire, emporte l’orbite de la Lune, de manière que l’inclinaison moyenne de cette orbite sur elle reste toujours la même, Cette circonstance, indiquée par l’analyse, simplifie les calculs, en ce qu’elle permet de prendre pour plan fixe de projection celui de l’écliptique. N° 3 
 196
Recherche de la partie elliptique des mouvements de la Lune et de la Terre. N° 4 
 199
Principes relatifs aux degrés de petitesse des quantités qui entrent dans les expressions des coordonnées de la Lune. Examen de l’influence que les intégrations successives peuvent avoir sur les différents termes dont elles sont composées. Indication des termes du rayon vecteur qui produisent l’évection et l’équation annuelle. N° 5 
 201
Usage de ces considérations. Développements de l’équation différentielle qui donne le rayon vecteur, en n’ayant égard qu’à la première puissance de la force perturbatrice. N° 6 et 7 
 204 et 212
Recherche des termes de l’ordre du carré et des puissances supérieures des masses perturbatrices qui acquièrent une influence sensible par les intégrations. Il est nécessaire d’avoir égard aux perturbations du mouvement de la Terre par la Lune. N° 8 
 214
Réunion de ces termes aux précédents. Développement complet de l’équation différentielle qui donne le rayon vecteur. N° 9 
 223
Intégration de cette équation. Inégalités qui en résultent. Expression du mouvement du périgée lunaire 
 223
La variabilité de l’excentricité de l’orbe terrestre introduit une inégalité séculaire dans la constante de la parallaxe lunaire ; mais cette inégalité est insensible 
 223
La même cause donne une inégalité séculaire dans le mouvement du périgée lunaire ; ce qui est conforme aux observations. Expression analytique de cette inégalité 
 223
L’excentricité de l’orbe lunaire est assujettie à une variation séculaire analogue à celle de la parallaxe, et pareillement insensible. N° 10 
 226
Développement de l’équation différentielle qui donne la latitude, en n’ayant d’abord égard qu’à la première puissance des forces perturbatrices. N° 11 
 231
Recherche des termes de l’ordre du carré de ces forces qui acquièrent une influence sensible sur l’expression de la latitude. N° 12 
 234
Réunion de ces termes aux précédents, et développement complet de l’équation différentielle qui donne la latitude. N° 13 
 236
Intégration de cette équation. Inégalités qui en résultent. Expression du mouvement rétrograde des nœuds 
 236
La variabilité de l’excentricité de l’orbe terrestre introduit dans ce mouvement une inégalité séculaire. Expression analytique de cette inégalité. Son rapport avec celle du périgée 
 236
L’inclinaison de l’orbite lunaire à l’écliptique vraie est pareillement variable en vertu de la même cause ; mais cette variation est insensible. N° 14 
 237
Développement de l’équation différentielle qui donne le temps ou la longitude moyenne en fonction de la longitude vraie. Intégration de cette équation. Inégalités qui en résultent. N° 15 
 240
La longitude moyenne éprouve aussi un changement séculaire résultant de la variabilité de l’excentricité de l’orbe terrestre ; expression de cette inégalité. Rapports analytiques des équations séculaires des moyens mouvements de la Lune, de son périgée et de ses nœuds 
 240
Détermination numérique des divers coefficients qui entrent dans les formules précédentes, et développement numérique de l’expression de la longitude moyenne. Les perturbations de l’orbe terrestre par la Lune se réfléchissent à cette dernière par le moyen du Soleil, et elles s’affaiblissent par cette transmission. Valeur numérique du 
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