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LVI. de Gilibert. — S’il pouvait lui donner un peu de la sienne ! — Nouvel appartement, avec la chambre pour l’ami. — La liberté pour nous ; lui seul est esclave de ses pinceaux. — La république sera-t-elle rouge, comme l’enfer ; ou blanche, comme l’Astrée de l’Age d’Or ? 
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LVII. — Excuses à Cambon pour sa négligence d’écrire. — Fureur du travail et désir d’honorer Montauban. — Malheurs de Gilibert. — L’amitié de Cambon console Ingres 
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LVIII. — La carrière de l’art n’est pas rose. — Premières épreuves de Cambon. — Il faut copier l’esquisse bonne pour le bon tableau. — Il faut surtout beaucoup compter sur soi. — Le succès vient à son heure. — Merci pour les excellents raisins de Montauban. — Quand y reviendra-t-il ? 
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LIX. — M me Ingres est morte et il vit encore. — La douleur ne tue pas. — Priez pour elle, mais pleurez sur lui. — Le plus inconsolable des hommes 
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LX. — Tout renouvelle sa douleur. — Tout l’attire vers cette tombe. — Heureusement, il y a les affaires. — Au n° 15 quai Voltaire, réemménagé, il va se remettre au Jésus parmi les Docteurs. — Quant à Dampierre, sans sa compagne, 
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LXI. — Le plus malheureux des hommes. — Ne plus revoir celle qu’on aime. — Tout le monde fut aux funérailles, excepté lui. — Et Gilibert ne va pas bien. — Il faut se refaire un foyer à 69 ans. — Il partira pour Nice. — Merci aux amis ; quant aux parents, qu’ils restent chez eux. 
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LXII. — Cambon malade. — Ingres toujours inconsolable. — L’amitié l’aide à vivre. — Mais Gilibert ne va pas mieux. — Merci pour les raisins. — Le Vœu de Louis XIII à la sacristie de la cathédrale. — Offre d’une esquisse de ce tableau. — L’appartement de l’Institut abandonné. — Il loge, rue Jacob, 27. — Aura-t-il le logement qu’lsabey va quitter ? 
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LXIII. — Les douleurs d’Ingres n’ont pas fait oublier celles de Gilibert. — Mais Pauline reste à l’heureux père. — Il n’y a plus d’enfants : elle prend l’art au sérieux. — Lettre retrouvée de M me Ingres à Pauline 
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LXIV. — Mort de Gilibert. — Souffrir et mourir. — Courbons la tête et pleurons. — Comment le père a-t-il laissé la fille ? — Ingres veut s’intéresser à Pauline 
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LXV. — Hier fillette, aujourd’hui demoiselle. — Il l’entendra jouer du Beethoven. — Trop à l’étroit, comment logera-t-il ses objets d’art ? — Un recueil gravé de ses portraits. — Celui de Gilibert tiendra la première place. — Pauline lui enverra le portrait peint pour qu’il soit gravé. 
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LXVI. — Retour du petit portrait de Pauline. — Celui de Gilibert l’a fait pleurer. — Ingres n’a jamais fait mieux. 
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LXVII. — Les Beaux-Arts sont le baume de la vie. — Pauline y excelle. — Projet du legs Ingres à la ville de Montau-
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