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XI. 
Qui servira d’introduction pour faire connaître la généalogie de la famille Chuzzlewit 
 194
On verra à la longue, sinon tout de suite, que ce chapitre intéresse fortement M. Pinch et d’autres personnes. — M. Pecksniff rétablit les droits de la vertu outragée. — Le jeune Martin Chuzzlewit prend une résolution désespérée 
 218
Où l’on verra ce qu’il advint de Martin et de sa résolution désespérée quand il eut quitté la maison de Pecksniff ; quelles gens il rencontra, quelles épreuves il eut à supporter, et quelles nouvelles il apprit 
 242
Dans lequel Martin fait ses adieux à la dame de ses pensées, et honore un humble individu dont il veut faire la fortune, en la plaçant sous sa protection 
 266
XV. 
Sur l’air de : Salut, Colombie !  
 279
Martin quitte le noble et fin voilier américain le Screw, et débarque dans le port de New-York, aux États-Unis. — Il fait quelques connaissances et dîne dans une pension bourgeoise. — Détails sur ces événements 
 290
Martin élargit le cercle de ses connaissances ; il augmente son fonds d’expérience, et trouve une excellente occasion d’en comparer les résultats personnels avec ceux de l’expérience acquise par Lummy Ned de Salisbury, d’après le récit que lui en a fait son ami M. William Simmons 
 316
En relation d’affaires avec la maison Antony Chuzzlewit et fils, d’où l’un des associés se retire d’une manière tout à fait inattendue 
 338
Le lecteur est mis en rapport avec certains industriels, et verse une larme sur la piété filiale du bon M. Jonas 
 351
XX. 
Qui sera un chapitre d’amour 
 370
Nouvelles expériences de l’Amérique. — Martin prend un associé et fait une acquisition. — Renseignements sur Éden, d’après le plan ; item sur le lion britannique ; item sur la nature de la sympathie professée et exercée par l’association des Sympathisants réunis pour les toasts à l’eau ; autrement dite : watertoast association 
 387
Où l’on verra que Martin devint un lion pour son propre compte, et par quelle raison il le devint 
 412