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TABLE DES MATIÈRES.

Chap. XIV. L’âme, en s’aimant convenablement, aime Dieu ; si elle ne l’aime pas, on doit dire qu’elle — se hait elle-même. Qu’elle se tourne vers Dieu pour se souvenir de lui, le comprendre, l’aimer, et par là même être heureuse.
— XV. Quoique l’âme espère le bonheur, elle ne se souvient cependant pas de celui qu’elle a perdu, mais bien de Dieu et des lois de la justice.
— XVI. Comment l’image de Dieu se réforme dans l’homme.
— XVII. Comment l’image de Dieu se renouvelle — dans l’âme, en attendant que la ressemblance de Dieu se perfectionne en elle dans la béatitude.
— XVIII. Faut-il, d’après les paroles de saint Jean, — voir aussi dans l’immortalité du corps, notre future ressemblance avec le Fils de Dieu ?
— XIX. C’est bien plutôt de notre parfaite ressemblance avec la Trinité dans la vie éternelle, qu’il faut entendre les paroles de saint Jean. La sagesse est parfaite au sein de la béatitude.


Chapitre premier. Dieu est au-dessus de l’âme.
— II. Il faut chercher sans cesse le Dieu incompréhensible. Ce n’est pas à tort qu’on cherche dans la créature les traces de la Trinité.
— III. Court résumé de tous les livres précédents.
— IV. Ce que toute créature nous apprend de Dieu.
— V. Combien il est difficile de démontrer la Trinité — par la raison naturelle.
— VI. Comment il y a Trinité dans la simplicité même de Dieu. La Trinité divine se démontre-t-elle par les trinités trouvées dans l’homme et comment ?
— VII. Il n’est pas facile d’entrevoir la Trinité divine — d’après les trinités dont nous avons parlé.
— VIII. En quel sens l’Apôtre dit que nous voyons Dieu ici-bas à travers un miroir.
— IX. De l’énigme et des locutions figurées.
— X. De la parole de l’âme, dans laquelle nous — voyons le verbe de Dieu comme à travers un miroir et en énigme.
— XI. Il faut chercher une image quelconque du Verbe divin dans notre verbe intérieur et mental. Énorme différence entre notre verbe et notre science, le Verbe divin et la science divine.
— XII. Philosophie de l’Académie.
— XIII. L’auteur revient sur la différence entre la science et le verbe de notre âme, et la science et le Verbe de Dieu.
— XIV. Le Verbe de Dieu est égal en tout au Père de qui il est.
— XV. Combien grande est la différence entre notre verbe et le Verbe divin.
— XVI. Même quand nous serons semblables à Dieu, notre verbe ne pourra jamais être égalé au Verbe divin.
— XVII. Comment l’Esprit-Saint est appelé charité. Est-il seul charité ? Charité est le nom propre que les Écritures donnent à l’Esprit-Saint.
— XVIII. Aucun don de Dieu ne l’emporte sur la charité.
— XIX. Les Écritures appellent le Saint-Esprit don de Dieu. Le Saint-Esprit est proprement appelé charité, quoiqu’il ne soit pas seul charité dans la Trinité.
— XX. Contre Eunomius qui prétend que le Fils n’est pas Fils par nature, mais par adoption. Résumé de ce qui a été dit plus haut.
— XXI. De la ressemblance du Père et du Fils découverte dans notre mémoire et notre intelligence. De la ressemblance du Saint-Esprit dans notre volonté ou notre amour.
— XXII. Combien est grande la différence entre l’image de la trinité que nous découvrons en nous et la Trinité elle-même.
— XXIII. Encore de la différence qu’il y a entre la trinité qui est dans l’homme et la Trinité qui est Dieu. On voit maintenant, à l’aide de la foi, la trinité à travers un miroir, pour mériter de la voir un jour plus clairement face à face selon la promesse.
— XXIV. Infirmité de l’âme humaine.
— XXV. C’est seulement au sein de la béatitude qu’on comprend pourquoi le Saint-Esprit n’est pas engendré, et comment il procède du Père et du Fils.
— XXVI. Le Saint-Esprit procède du Père et du Fils, et ne peut être appelé leur Fils.
— XXVII. Pourquoi on ne dit pas que l’Esprit est engendré et pourquoi l’on dit du Père seul qu’il n’est pas engendré ? Ce que doivent faire ceux qui ne comprennent pas ces mystères.
— XXVIII. Conclusion du livre. Prière. Excuses.
FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES.

Bar-le-Duc. — Typographie Louis GUÉRIN, rue de la Rochelle, 49-51.