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TABLE DES MATIÈRES.


Chap. VII. Pourquoi les démons tantôt se taisent sur leurs propres malheurs, et tantôt les publient.
VIII. Les démons ont pu faire quelques prédictions vraies, d’après leurs connaissances des oracles des prophètes ; mais ils n’ont jamais osé rien dire contre le vrai Dieu.
IX. Les prophètes ont prédit que le culte des démons disparaîtra pour faire place au culte d’un seul Dieu.
X. Les tristes restes des païens vantent en vain leur science et leur sagesse.



DES DEVOIRS A RENDRE AUX MORTS.
Traduction de M. DEFOURNY..

Chapitre premier. Est-il utile à un mort d’être enseveli auprès du tombeau d’un martyr ?
II. De quelle utilité sont les honneurs de la sépulture. Le défaut de sépulture ne nuit pas aux morts chrétiens.
III. Pourquoi le soin des funérailles et de la sépulture est louable.
IV. Le lieu de la sépulture d’un mort ne lui est pas utile par lui-même, mais parce qu’il excite à prier pour le défunt.
V. En quelle mesure le lieu de la sépulture est utile aux morts.
VI. Corps de martyrs brûlés, et leurs cendres jetées dans le Rhône.
VII. Le soin de la sépulture vient du sentiment d’affection que l’homme éprouve pour son propre corps.
VIII. Les martyrs ont dédaigné le soin de leur sépulture.
IX. Pourquoi l’Ecriture loue les soins donnés aux morts.
X. Des apparitions de morts qui demandent la sépulture.
XI. Un père mort apparaît à son fils. Augustin apparaît en songe au rhéteur Euloge, et lui explique un passage de Cicéron.
XII. Visions des frénétiques. — Vision de Courma le curial.
XIII. Les âmes des morts n’interviennent pas dans les affaires des vivants.
XIV. Objection.
XV. Comment les morts peuvent savoir ce qui se passe ici-bas.
XVI. Comment les martyrs viennent à notre secours.
XVII. Le moine Jean.
XVIII. Conclusion.



DE LA PATIENCE.

Chapitre premier. De la patience de Dieu.
II. En quoi consiste la vraie patience. Son utilité.
III. Grandeur de la patience des méchants.
IV. Les hommes vains louent cette patience.
V. Exemples de patience étonnante : Catilina et les voleurs.
VI. La cause pour laquelle on souffre constitue la différence entre la vraie et la fausse patience.
VII. Les méchants savent tout souffrir pour la vie temporelle. L’à !ce ne profite pas seule de la mort et des douleurs patiemment supportées ; le corps en a sa part.
VIII. Utilité de la patience pour l’âme et pour le corps.
IX. La patience de l’âme.
X. La patience dans les maux extérieurs. — Les martyrs ont eu l’une et l’autre patience.
XI. Patience du saint homme Job.
XII. La patience de Job supérieure à celle d’.dara.
XIII. Défaut de palieuce des Donatistes. Ils portent sur eux-mêmes des mains criminelles, quand les chrétiens les recherchent.
XIV. La patience des justes.
XV. Source vraie de la patience.
XVI. Objection.
XVII. Réponse.
XVIII. La patience vient de Dieu.
XIX. Autre objection : réponse.
XX. La grâce prévenante.
XXI. La glace a fait les anciens justes.
XXII. Sans la grâce point de juste.
XXIII. Patience vraie ; patience fausse.
XXIV. Volonté mauvaise sans l’instigation du démon.
XXV. Dieu seul rend la volonté bonne.
XXVI. Que penser de la patience des schismatiques ?
XXVII. Est-elle un don de Dieu ?
XXVIII. Dons et dons.
XXIX. Eternelle récompense de la patience véritable.


DU SYMBOLE.
DISCOURS ADRESSÉ AUX CATÉCHUMÈNES.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.

Chapitre premier. Le symbole, règle de foi.
II. Le Fils de Dieu, Notre-Seigneur, est véritablement Dieu et tout-puissant.
III. Le Fils de Dieu recevant d’une vierge une naissance humaine. Sa passion.
IV. Etie assis à la droite du Père.