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Les Peaux-Rouges de Paris (Aimard)
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Gustave Aimard
Les Peaux-Rouges de Paris (Aimard)
1888
.
TABLE DES MATIÈRES
PREMIÈRE PARTIE
LE TRANSPORTÉ
I. —
De quelle étrange façon le lecteur fait connaissance avec les principaux personnage de cette véridique histoire
1
II. —
Où il est prouvé que c’est souvent un tort de pousser trop loin une vengeance
16
III. —
Comment le beau Felitz Oyandi perdit deux fois la partie qu’il s’était vanté de gagner
34
IV. —
De quelle façon la marquise de Garmandia rentra dans son hôtel, grâce au docteur d’Hirigoyen
48
V. —
Du conseil que le docteur donna à la marquise et ce qu’il advint
65
VI. —
Suite et complément du précédent chapitre
82
VII. —
Comment il fut prouvé que le marquis de Garmandia avait tué sa femme, et pourquoi il ne fut pas arrêté
97
VIII. —
Où l’on voit le père guérir les blessures faites par le fils, et ce qui s’ensuivit
115
IX. —
Dans lequel le docteur reconnaît qu’il a eu tort de vouloir marier son fils à sa guise
131
X. —
Dans lequel il est prouvé qu’il ne faut jamais compter sur l’avenir
147
XI. —
Dans lequel l’auteur démontre clairement qu’il est très dangereux de voyager pour ses affaires particulières quand un gouvernement éprouve le besoin de faire un coup d’état
165
XII. —
Comment Julian et son ami quittèrent la Bellone sans prendre congé
183
DEUXIÈME PARTIE
LES FAUVES DES SAVANES
I. —
Ce que c’était que l’hôtel de la Providence et maître Laframboise, son propriétaire
203
II. —
Comment Cœur-Sombre et le Mayor se trouvèrent en présence et de ce qu’il advint
220
III. —
Dans lequel Felitz Oyandi joue une partie décisive et la perd
237
IV. —
Comment Armand de Valenfleurs partit en chasse avec son chien Dardar, et quelle découverte il fit dans la savane, au pied d’un rocher
253
V. —
Comment Armand présenta sa dernière trouvaille à sa mère et ce qui s’ensuivit
271
VI. —
Où Charbonneau, le chasseur canadien, se dessine
289
VII. —
Comment le Mayor fut, une seconde fois, fait échec et mat non seulement par ses alliés, mais encore par ses ennemis
307
VIII. —
Où la nuit se fait de plus en plus épaisse autour de la gentille protégée de la comtesse de Valenfleurs
325
IX. —
Comment le Cœur-Sombre résolut tout à coup de pousser une pointe dans le désert, afin de ne pas accompagner plus longtemps la comtesse
348
X. —
Où le Cœur-Sombre trouve à l’improviste le prétexte qu’il cherchait pour retourner au plus vite à la Florida
364
XI. —
Dans lequel le Mayor et Felitz Oyandi causent de leurs petites affaires
380
XII. —
Dans lequel bien des choses intéressantes sont racontées, qui sont indispensables pour l’intelligence de cette véridique histoire
398
XIII. —
De la grande joie qu’éprouvent quatre de nos principaux personnages, grâce à la comtesse de Valenfleurs
418
book
Les Peaux-Rouges de Paris (Aimard)
Gustave Aimard
1888
V
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Tome II
XIV. —
D’un conseil de guerre qui fut tenu à la Florida et comment il se termina
1
XV. —
Dans lequel il est prouvé qu’en Amérique on peut apprendre bien des choses et faire de singulières rencontres, quand on se promène dans un jardin avant le lever du soleil
23
XVI. —
Comment le docteur d’Hérigoyen et Bernard Zumeta revinrent à l’hacienda, et ce qui s’ensuivit
45
XVII. —
Où il est prouvé que les réceptions se suivent, mais ne se ressemblent pas
64
XVIII. —
Ce qui se passa dans le brûlis de la Hulotte bleue à propos de Sébastian
86
XIX. —
Comment Navaja fit son rapport au Mayor, et ce qui s’ensuivit
106
XX. —
Dans lequel le Mayor tombe de fièvre en chaud mal
125
XXI. —
Comment Navaja soupa avec Sebastian qu’il avait tué, et lui sauva la vie
147
XXII. —
De quels singuliers divertissements sont parfois accompagnés les mariages sur la frontière Indienne
168
XXIII. —
Comment le Mayor perdit sa partie et Navaja gagna la sienne ; ce qui prouve une fois de plus que le malheur des uns fait le bonheur des autres
189
XXIV. —
Comment, sur le point d’arriver à Hermosillo, madame la comtesse de Valenfleurs croisa, sans s’en douter, son plus terrible ennemi
211
XXV. —
Comment Julian et ses amis s’embarquèrent sur la
Belle-Adèle
, et comment se fit la traversée
232
TROISIÈME PARTIE
LES MORTS-VIVANTS
I. —
Comme quoi, sans quitter Paris, on peut visiter la Cour de Rome
259
II. —
Qui était en réalité ce bon M. Romieux
280
III. —
Dans lequel reparaissent plusieurs de nos anciens personnages
302
IV. —
Comment Armand de Valenfleurs et Vanda s’expliquèrent et ce qui s’ensuivit
326
V. —
Dans lequel Julian commence ses opérations
345
VI. —
Dans lequel le Mayor ne veut croire ni aux sorciers ni aux miracles
369
VII. —
Où les affaires se compliquent de plus en plus pour Felitz Oyandi et son ami le Mayor
395
VIII. —
De l’étrange visite que reçut la comtesse de Valenfleurs et comment elle se termina
417
Tome III
IX. —
Comment le comte Armand de Valenfleurs se trouva mêlé, à l’improviste, à des évènements forts graves
1
X. —
Comment, après avoir fait un excellent souper chez
Brébant
, le Mayor, M. Romieux et leur ami le vicomte de Carlhias éprouvèrent le besoin de faire une promenade à la campagne
24
XI. —
Ce qui se passa dans la maison des voleurs et de quelle façon généreuse le Mayor et son ami s’acquittèrent envers leurs fidèles associés, et ce qui s’ensuivit
48
XII. —
Dans lequel reparaissent deux de nos personnages fort peu sympathiques, mais qui ont cependant une certaine importance et que nous ne pouvions négliger plus longtemps
70
XIII. —
Comment après avoir été très désagréablement surpris avant son dîner, Bernard apprit une douloureuse nouvelle au dessert
95
XIV. —
Dans lequel notre ami Bernard Zumeta se décide à prendre la responsabilité
117
XV. —
Où l’on voit reparaître un personnage dont on n’a pas parlé depuis très longtemps, mais que peut-être le lecteur n’aura pas oublié
142
XVI. —
Comment M. Pascal Bonhomme, ancien chef de la brigade de sûreté, se trouva seul de son avis, et refusa de donner sa langue aux chiens
165
XVII. —
Dans lequel ont voit réunie chez la Marlouze une fort jolie collection de coquins, appartenant à l’armée roulante parisienne
188
XVIII. —
Où il est prouvé que le Loupeur est un bandit complètement dénué de délicatesse, et que le policier a eu tort d’accuser miss Lucy Gordon
211
XIX. —
Où le lecteur assiste aux premiers tâtonnements de la piste de guerre dans la forêt parisienne et aux ébahissements d’un célèbre policier, complètement dérouté par l’emploi de procédés à lui inconnus
233
XX. —
Dans lequel le lecteur est rassuré sur le sort de Fil-en-Quatre, et assiste à une conversation entre coquins, très intéressante
257
XXI. —
Comment le Loupeur reçut une visite à laquelle il ne s’attendait pas, et de quelle façon il quitta son domicile
282
XXII. —
Pourquoi Williams Fillmore,
Alias
Navaja, fit une visite à M. Julian d’Hérigoyen, et ce qui s’ensuivit
306
XXIII. —
Dans lequel deux fantômes se retrouvent à l’improviste en présence et ce qui en advient
334
XXIV. —
Comment les coureurs des bois atteignirent enfin le bout de leur double piste, et comment Felitz Oyandi eut une discussion orageuse avec Dardar, et ce qui s’ensuivit
357
XXV. —
Comme quoi le sanglier, forcé dans sa bauge, fit tête à la meute, et fut enfin réduit aux abois
384