La Défense de mon oncle/Édition Garnier

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LA DÉFENSE DE MON ONCLE. (1767.) — Avertissement de Decroix, l’un des éditeurs de l’édition de Kehl 
 367
Avertissement essentiel ou inutile 
 367
Exorde, dans lequel on trouve que feu M. l’abbé Bazin était un peu railleur, et qu’il croyait que les Chinois ne descendaient pas plus des Égyptiens que des Bas-Bretons 
 369
De la Providence, où l’on relève une inadvertance assez impie d’un ennemi de mon oncle 
 370
L’apologie des dames contre le sieur Larcher, du collége Mazarin, ennemi juré du beau sexe 
 371
Où l’on montre que M. Larcher ne sait point l’Alcoran 
 375
Des Romains et d’un décret ridicule 
 377
De la sodomie, où l’on prouve contre M. Larcher que ce crime n’a jamais été autorisé 
 377
De l’inceste, où l’on prouve que l’inceste n’était point permis par la loi chez les Persans 
 379
De la bestialité, où l’on prouve que ce crime infâme n’a jamais été d’un usage public en Égypte, comme le prétend M. Larcher 
 381
D’Abraham et de Mlle Ninon L’Enclos, où l’on relance vertement le téméraire Larcher qui a comparé Sara à Ninon, page 145 de son Supplément à la Philosophie de l’Histoire, et où l’on justifie Ninon contre une imputation impertinente 
 383
De Thèbes d’Égypte, contre plusieurs grands savants et grands exagérateurs, dans lequel on insinue qu’il faut réduire les choses à leur juste mesure 
 385
Des schoen d’Égypte, où l’on montre qu’un schoen doit être honnête 
 387
Du temple de Tyr et de son antiquité 
 388
Des Chinois, et de la nécessité que plusieurs siècles se soient écoulés avant la fondation d’un grand empire 
 389
De l’Inde, du Veidam, et surtout de l’Ézour-Veidam, livre indien très-curieux, envoyé par feu l’abbé Bazin à la Bibliothèque du roi. Ce chapitre contient une terrible réponse à la témérité de l’hérétique Warburton 
 391
Savoir si les Juifs haïssaient les autres nations, et si on hait Warburton 
 394
Représailles contre Warburton 
 396
Conclusion qui fait voir le néant de tout ce que dessus 
 399

Où il est amplement traité du système antimosaïque de Warburton, ce qui n’est pas chose de néant 
 401
Des hommes de différentes couleurs 
 402
Des montagnes et des coquilles, où l’on soutient l’opinion de l’abbé Bazin contre M. de Buffon, avec la circonspection requise 
 405
Des tribulations de ces pauvres gens de lettres 
 410
Des sentiments théologiques de feu l’abbé Bazin, de la justice qu’il rendait à l’antiquité, et de quatre diatribes composées par lui à cet effet 
 412
Première Diatribe de l’abbé Bazin, sur la cause première. 
 413
Deuxième Diatribe, sur Sanchoniathon, l’un des plus anciens auteurs que nous ayons, ou que nous n’avons plus 
 416
Troisième Diatribe, sur l’Égypte 
 420
Quatrième Diatribe, sur un peuple à qui on a coupé le nez et laissé les oreilles 
 422
Épilogue, contenant la mort et les dernières paroles de l’abbé Bazin 
 429
Défense d’un général d’armée attaqué par des cuistres 
 429
Post-Scriptum. Défense d’un jardinier 
 432
Dernier Avis au lecteur 
 433