Textes modifier

Antiquité modifier

Hésiode :

Eschyle :

« Hèphaistos a fait jaillir, de l’Ida, une lumière éclatante. De torche en torche, et par la course du feu, il l’a envoyée jusqu’ici. L’Ida regarde le Hermaios, colline de Lemnos. De cette île, la grande flamme a atteint le troisième lieu, l’Athos, montagne de Zeus. La force de la lumière, joyeuse et rapide, s’est élancée de ce faîte, par-dessus le dos de la mer, et, telle qu’un Hèlios, a répandu une splendeur d’or dans les cavernes du Makistos. Ici, sans retard, sans se laisser vaincre par le sommeil, on a transmis la nouvelle. La clarté, projetée au loin jusqu’à l’Euripos, a porté le message aux veilleurs du Messapios ; et ceux-ci, à leur tour, ayant allumé un monceau de bruyères sèches, ont excité la flamme et fait courir la nouvelle. Et la lumière, active et sans défaillance, volant par delà les plaines de l’Asôpos, comme la brillante Sélènè, jusqu’au sommet du Kithairôn, y a fait jaillir un nouveau feu. Les veilleurs ont accueilli cette lumière venue de si loin, et ils ont allumé un bûcher encore plus éclatant dont la lueur, par-dessus le marais de Gorgôpis, projetée jusqu’au mont Aigiplagxtos, a excité les veilleurs à ne point négliger le feu. Ils ont déployé avec violence un grand tourbillon de flammes qui embrase le rivage, par delà le détroit de Saronikos, et se répand jusqu’au mont Arakhnaios, proche de la ville. Enfin, cette lumière partie de l’Ida est arrivée dans la demeure des Atréides. Tels sont les signaux que j’avais disposés pour se transmettre la nouvelle l’un à l’autre. Le premier a vaincu, et le dernier aussi. Telle est la preuve certaine de ce que je t’ai raconté. Le Roi me l’a annoncé de Troia. »
(Klytaimnestra)

Euripide :

Cicéron :

Virgile :

Sénèque :

  • Tragédies de L. A. Sénèque, trad. Eugène Greslou (1834) :   tome 1,   tome 2 et   tome 3

Pline :

  • Histoire naturelle : j'ai supprimé l’une des deux versions redondantes, introduit un système de liens ({{LienPline}}) et commencé à corriger par AWB ou manuellement un grand nombre de pages, en particulier le livre XXXV sur la peinture.
« Il convient maintenant de parler de l’art de modeler, ou plastique. Dibutades de Sicyone, potier de terre, fut le premier qui inventa, à Corinthe, l’art de faire des portraits avec cette même terre dont il se servait, grâce toutefois à sa fille : celle-ci, amoureuse d’un jeune homme qui partait pour un lointain voyage, renferma dans des lignes l’ombre de son visage projeté sur une muraille par la lumière d’une lampe ; le père appliqua de l’argile sur ce trait, et en fit un modèle qu’il mit au feu avec ses autres poteries. »

Flavius Josèphe :

« 3[1]. Vers le même temps vint Jésus, homme sage, si toutefois il faut l’appeler un homme. Car il était un faiseur de miracles et le maître des hommes qui reçoivent avec joie la vérité, Et il attira à lui beaucoup de Juifs et beaucoup de Grecs. C’était le Christ. Et lorsque sur la dénonciation de nos premiers citoyens, Pilate l’eut condamné à la crucifixion, ceux qui l’avaient d’abord chéri ne cessèrent pas de le faire, car il leur apparut trois jours après ressuscité, alors que les prophètes divins avaient annoncé cela et mille autres merveilles à son sujet. Et le groupe appelé d’après lui celui des Chrétiens n’a pas encore disparu. »
  1. Ce passage nous semble une interpolation chrétienne : 1o il interrompt le récit des événements funestes survenus aux Juifs sous Tibère (…)

Philostrate de Lemnos :

Cette source reproduit les traits de Narcisse, comme la peinture reproduit la source, Narcisse lui-même et son image. (…) Une abeille se pose sur la fleur ; je ne saurais dire si elle est trompée par la peinture, ou si ce n’est pas nous qui nous trompons en croyant qu’elle existe réellement. (…) Les deux Narcisse sont semblables, brillent de la même beauté ; la seule différence entre eux, c’est que l’un se détache sur un fond qui est le ciel, et que l’autre est vu comme plongé dans l’eau ; le jeune homme se tient immobile au-dessus de l’eau qui est immobile, ou plutôt qui le contemple fixement, et comme éprise de sa beauté.

Lucien de Samosate :

Bible Sacy :

  • {{RefSacy}} pour faire des liens simples vers des passages de la Bible
  • Luc (validé)

Porphyre de Tyr :

« Pourquoi ne nous affranchiſſons-nous pas d’une infinité de maux, en renonçant a l’uſage de la viande ? Les richeſſes nous ſeroient pour lors inutiles. Nous n’aurions pas beſoin d’un grand nombre de domeſtiques, & nous nous paſſerions d’une multitude de meubles & d’uſtenſiles. Nous ne ſerions point appéſantis par le ſommeil. Nous éviterions de grandes maladies, qui nous obligent d’avoir recours aux Médecins. Nous ſerions moins portés aux plaiſirs de l’amour. Nos chaînes en ſeroient moins fortes. Enfin nous ſerions garantis d’une infinité de maux. L’abſtinence des viandes remédie à tous ces inconvéniens. »

Boèce :

Avant les modernes, quoique modifier

  Loi salique et loi ripuaire : chargé sur Commons une version plus complète et texte de la loi salique corrigé (texte complet sur une seule page)

ART. I. : Quiconque aura coupé à un autre homme la main ou le pied, lui aura fait perdre un œil, ou lui aura coupé l’oreille ou le nez, sera condamné à payer 4000 deniers, ou 100 sous d’or.

ART. II. : Si la main n’est pas entièrement détachée, il sera condamné à payer 1800 deniers, ou 45 sous d’or.

Anselme de Canterbury :

Thomas d’Aquin :

Benvenuto Cellini :

« Aussitôt, je dirigeai mon arquebuse vers le groupe de combattants qui me parut le plus nombreux et le plus serré, et je visai un personnage qui dominait tous les autres. Il y avait un nuage de poussière si épais, que je ne pus distinguer s’il était à cheval ou à pied. Je dis ensuite à Alessandro et à Cecchino de faire feu, et je les postai de manière à esquiver les balles des assiégeants. Lorsque chacun de nous eut tiré deux fois, je m’approchai de la muraille avec précaution, et je vis qu’il régnait parmi les ennemis une confusion extraordinaire, occasionnée par une de nos arquebusades qui avait tué le connétable de Bourbon. Comme on le sut plus tard, il n’était autre que ce personnage que j’avais aperçu dominant ceux qui l’entouraient. »

Béroalde de Verville :

  •   Le moyen de parvenir : fichier Djvu réalisé et quelques pages corrigées
« Parquoy nous fusmes tous reſolus de nous trouuer chez le bon homme noſtre pere ſpirituel, parce qu’il auoit eſté ordonné & iugé en dernier reſſort de ſerrure, d’horloge, de cranequin, de rouet, de routiſſoir, d’arbaleſte, & que les deffaillans ſeroient mis à la nois, à la noiſette, au noyau, & à l’amende. »

Bernard de Clairvaux :

  •   Œuvres complètes, tome 2 : correction de quelques textes
« Mais que signifient dans vos cloîtres, là où les religieux font leurs lectures, ces monstres ridicules, ces horribles beautés et ces belles horreurs ? À quoi bon, dans ces endroits, ces singes immondes, ces lions féroces, ces centaures chimériques, ces monstres demi-hommes, ces tigres bariolés, ces soldats qui combattent et ces chasseurs qui donnent du cor ? Ici on y voit une seule tête pour plusieurs corps ou un seul corps pour plusieurs têtes : là c’est un quadrupède ayant une queue de serpent et plus loin c’est un poisson avec une tête de quadrupède. Tantôt on voit un monstre qui est cheval par devant et chèvre par derrière, ou qui a la tête d’un animal à cornes et le derrière d’un cheval. Enfin le nombre de ces représentations est si grand et la diversité si charmante et si variée qu’on préfère regarder ces marbres que lire dans des manuscrits, et passer le jour à les admirer qu’à méditer la loi de Dieu. Grand Dieu, si on n’a pas de honte de pareilles frivolités, on devrait au moins regretter ce qu’elles coûtent. »

Jacques de Voragine :

Pétrarque :

«  di me medesmo meco mi vergogno… » (Voi ch'ascoltate in rime sparse il suono)
« Il ne suffira point que l’idée de la mort effleure légèrement notre oreille ou que son souvenir glisse rapidement dans notre esprit. Il faut s’y arrêter longtemps, et, dans une méditation attentive, passer en revue chaque membre des mourants, les extrémités glacées, le buste brûlant et en sueur, les flancs qui battent, la respiration qui se ralentit à l’approche de la mort, les yeux caves et hagards, le regard larmoyant, le front ridé et livide, les joues pendantes, les dents jaunes, le nez resserré et effilé, les lèvres écumantes, la langue paralysée et écailleuse, le palais desséché, la tête appesantie, la poitrine haletante, la voix rauque, les tristes soupirs, l’odeur repoussante de tout le corps et surtout l’horreur du visage décomposé… »
  •   Lettres de Vaucluse (trad. Victor Develay)  

Francesco Colonna ou anonyme : Hypnerotomachia Poliphili

Léonard de Vinci :

  •   Textes choisis : pensées, théories, préceptes, fables et facéties
« Ô monde, comment ne t’ouvres-tu pas, pour précipiter dans les plus grands trous de tes abîmes et gouffres et ne plus montrer à la lumière, un monstre si cruel et si impitoyable ? » (p. 54, sur les humains)
« L’acquisition de quelque connaissance est toujours utile à l’intellect parce qu’on peut rejeter l’inutile et conserver le bon. » (p. 59)
« Ô nature négligeante, pourquoi te fais-tu partiale, n’agissant pas envers tes fils en pitoyable et bonne mère, mais en très cruelle et implacable marâtre ? Je vois tes fils livrés au service d’autrui, sans bénéfice pour eux, et au lieu de rémunération pour les services rendus, ils en sont payés par un grand martyre ; et leur vie s’écoule au bénéfice de leur tortionnaire (bêtes de somme). (C. A. 143, r.) » (p. 70)
« Qui discute en alléguant l'autorité ne fait pas œuvre de génie mais plutôt de mémoire. » (p. 88)

Ignace de Loyola :

  •   Exercices spirituels

  Concile de Trente :

Vasari :

Louis Meigret :

Pierre de Ronsard :

Henri Corneille Agrippa :

« Croyez-vous, s’il eût été permis aux femmes d’établir des lois, et d’écrire des histoires, combien auroient-elles pu composer de tragédies sur l’énorme malice des hommes ! » (p. 66)

Michel-Ange :

Montaigne :

Cesare Ripa :

La ſeconde Figure de la Muſique ſe démonſtre par vne Femme tenãt en main vne Lyre, dont l’vne des cordes eſt rompuë, & au deffaut de laquelle ſupplée vne Cygale ; Outre qu’elle a ſur ſa teſte vn Roſſignol, à ſes pieds vn grand vaſe plein de vin, & a ſon coſté vne Viole auec ſon archer. La Cygale qui ſe void poſée ſur la Lyre, ſignifie la Muſique, à cauſe de ce qui aduint à vn certain Eunomius, qui joüant vn iour de cét inſtrument à l’enuy du fameux Ariſtoxene, eut tant de bonne fortune, qu’au point le plus charmãt de ſa piece vne corde s’eſtant rompuë, vne Cygale ſe vint poſer ſur ſa Lyre, & ſupplea ſi bien par ſon chant au manquement de la corde, qu’il demeura victorieux : D’où il aduint que pour memoire de cette action, les Grecs dreſſerent vne ſtatuë au meſme Eunomius, tenant vne Lyre, où ſe voyoit vne Cygale ; ce qui fut pris pour vn vray Hyeroglife de la Muſique.
(seconde partie, p. 187)

William Shakespeare :

  • Hamlet, traduction Guizot : validé

Molière :

MONSIEUR DE POURCEAUGNAC.
Ces mots-là me viennent sans que je les sache.

Jean Racine :

Car enfin n’attends pas que mes feux redoublés
Des périls les plus grands puissent être troublés.
Puisqu’après tant d’efforts ma résistance est vaine,
Je me livre en aveugle au destin qui m’entraîne.
J’aime : je viens chercher Hermione en ces lieux,
La fléchir, l’enlever, ou mourir à ses yeux.

  Conférences de l’Académie royale de peinture et de sculpture et   Conférences inédites de l’Académie royale de peinture et de sculpture : PDF et djvu créés et correction en cours

Projet Poussin : correction ou validation de textes liés à Nicolas Poussin. Le huitième entretien de Félibien serait un gros projet.

Roger de Piles :

[Les peintres antérieurs à la Renaissance] employoient des Couleurs, mais la route qu’ils tenoient en cela étoit triviale, & ne ſervoit pas tant à répréſenter la vérité des objets, qu’à nous en faire reſſouvenir.
Roger de Piles, Abrégé de la vie des peintres, p. 36

  Recueil général des anciennes lois françaises, depuis l’an 420 jusqu’à la Révolution de 1789, dont entre autres :

Saint-Simon :

« La promptitude des yeux à voler partout en sondant les âmes, à la faveur de ce premier trouble de surprise et de dérangement subit, la combinaison de tout ce qu’on y remarque, l’étonnement de ne pas trouver ce qu’on avoit cru de quelques-uns faute de cœur et d’assez d’esprit en eux, et plus en d’autres qu’on avoit pensé, tout cet amas d’objets vifs et de choses si importantes forme un plaisir à qui le sait prendre qui, tout peu solide qu’il devient, est un des plus grands dont on puisse jouir dans une cour. »
(p. 126 et 127)

Les modernes ou pas tant que ça modifier

Pierre Bayle  :

Edward Gibbon :

Jean Meslier :

  • Testament de Meslier, édition Rudolf Charles Meijer, 1864, 3 tomes :   1  2  3 (table des matières)

Xavier de Maistre :

Benjamin Constant :

Emmanuel Kant :

Béranger :

Diderot :

Jean de Sismondi :

Personne ne contestera sans doute qu’il n’y a de l’avantage à substituer une machine à un homme, qu’autant que cet homme trouvera de l’ouvrage ailleurs, et qu’il vaut mieux que la population se compose de citoyens que de machines à vapeur, lors même que les étoffes fabriquées par les premiers seraient plus chères que celles des secondes.
p. 369 et 370

Jules Michelet :

  • Œuvres complètes de Jules Michelet : Histoire de France,   tome 2 (entièrement corrigé ; je n'ai pas l’intention, au moins pour l’instant, de travailler sur les tomes suivants) ;   L’Amour, La Femme

Jean-Baptiste Say :

Félix et Louis Lazare :

Viollet-le-Duc et de Guilhermy :

Henry George :

Une maison et le terrain sur lequel elle s’appuie sont des propriétés, parce qu’ils sont soumis à la propriété, et sont classés par les légistes comme propriétés foncières. Cependant les deux choses diffèrent beaucoup en nature et en relations. La maison est le produit du travail humain et appartient à la classe appelée richesse en économie politique. Le terrain est une partie de la nature et appartient à la classe appelée terre en économie politique.

Le caractère essentiel de l’une des classes de choses, est que ces choses sont la forme matérielle du travail, qu’elles sont amenées à l’existence par l’activité humaine, que leur existence ou leur non-existence, leur accroissement ou leur diminution, dépendent de l’homme. Le caractère essentiel de l’autre classe de choses, c’est que ces choses ne sont pas le produit du travail, et existent en dehors de l’activité humaine, en dehors de l’homme ; elles sont le champ, le milieu où se trouve l’homme, le magasin où il trouve de quoi satisfaire ses besoins, les matières premières, et les forces, sur lesquelles son travail seul peut agir.

Du moment qu’on admet cette distinction, on constate que la sanction que la justice naturelle donne à l’une des espèces de propriété, est refusée à l’autre ; que la justice qui s’attache à la propriété individuelle du produit du travail, implique l’injustice de la propriété individuelle de la terre ; que la reconnaissance de l’une place tous les hommes sur un terrain d’égalité, en assurant à chacun la légitime récompense de son travail, et que la reconnaissance de l’autre est la négation des droits égaux de l’homme, permettant à ceux qui ne travaillent pas de prendre la récompense naturelle de ceux qui travaillent.

L’impôt sur les valeurs foncières est donc le plus juste et le plus équitable des impôts. Il pèse seulement sur ceux qui reçoivent de la société un avantage particulier et de valeur, et sur eux en proportion de l’avantage qu’ils reçoivent. C’est la prise par la communauté, pour l’usage de la communauté, de cette valeur qui est la création de la communauté. C’est l’application de la propriété commune à des usages communs. Quand toute la rente sera prise par l’impôt pour les besoins de la communauté, l’égalité ordonnée par la nature sera atteinte. Aucun citoyen n’aura d’avantage sur un autre sauf celui que lui donnera son travail, son adresse, son intelligence ; et chacun obtiendra ce qu’il gagne vraiment. Alors seulement le travail recevra sa pleine récompense, et le capital son revenu naturel.

Haussmann :

  • Mémoires (converti en DjVu avec ajout d’une couche texte, début de correction)

Maurice Courant :

Léon Bourgeois :

Raymond Roussel :

Walter Benjamin :

Outils modifier

Wikisource de base modifier

En-têtes modifier

Apparemment, c’est Module:Index template (appelé par MediaWiki:Proofreadpage index template) pour le formulaire d'édition des livres et Module:Header template pour l’en-tête qui récupère les données de ce formulaire dans l’espace principal. MediaWiki:Proofreadpage index data config.json serait aussi concerné.

Modè/ules modifier

Accès Wikidata modifier

Scripts ou gadgets personnels modifier

Wikidata modifier

Wikisource:Projet Wikidata

Petcan :

SPARQL :

Maintenance de Wikisource modifier

  • le script /doublons.py cherche, dans un dump Wikisource, tous les cas où deux ou plusieurs pages de l’espace principal assurent la même transclusion d'un ouvrage. Le résultat est dans /doublons

Modifications de masse modifier

  • Voir ce message pour récupérer le code wiki d’un ensemble d’articles (par exemple les pages d'un livre), afin de les passer ensuite à un traitement de texte.

Gallica modifier

  • Récupérer des scans en haute définition (autres méthodes sur Wikisource:Gallica) :
    • d'après ce tutoriel, si l’URL d’un document est http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53084829z/, alors l'URL de la version en haute définition est http://gallica.bnf.fr/iiif/ark:/12148/btv1b53084829z/f1/full/full/0/native.jpg
    • pour une utilisation plus courante, installer le plugin iiif dans Firefox ou Chrome. Il rajoute une icône en haut à droite du navigateur, sur laquelle il suffit de cliquer pour récupérer la version en haute définition d'une page de Gallica affichée dans le navigateur ;
    • pour récupérer l’ensemble des pages en haute définition d'un livre, utiliser le programme Python Pyllica ; je ne l'ai pas encore essayé.
  • Wikisource:Gallica/gallica.py : suite à une discussion sur le Scriptorium, j'ai mis au point rapidement ce script Python qui permet de télécharger un livre de Gallica en haute définition.

Intelligence artificielle modifier