Seudo
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Hésiode :
- Le Bouclier d’Hercule (validé)
Eschyle :
- Agamemnôn (Eschyle, Leconte de Lisle) (corrigé et partiellement validé)
« Hèphaistos a fait jaillir, de l’Ida, une lumière éclatante. De torche en torche, et par la course du feu, il l’a envoyée jusqu’ici. L’Ida regarde le Hermaios, colline de Lemnos. De cette île, la grande flamme a atteint le troisième lieu, l’Athos, montagne de Zeus. La force de la lumière, joyeuse et rapide, s’est élancée de ce faîte, par-dessus le dos de la mer, et, telle qu’un Hèlios, a répandu une splendeur d’or dans les cavernes du Makistos. Ici, sans retard, sans se laisser vaincre par le sommeil, on a transmis la nouvelle. La clarté, projetée au loin jusqu’à l’Euripos, a porté le message aux veilleurs du Messapios ; et ceux-ci, à leur tour, ayant allumé un monceau de bruyères sèches, ont excité la flamme et fait courir la nouvelle. Et la lumière, active et sans défaillance, volant par delà les plaines de l’Asôpos, comme la brillante Sélènè, jusqu’au sommet du Kithairôn, y a fait jaillir un nouveau feu. Les veilleurs ont accueilli cette lumière venue de si loin, et ils ont allumé un bûcher encore plus éclatant dont la lueur, par-dessus le marais de Gorgôpis, projetée jusqu’au mont Aigiplagxtos, a excité les veilleurs à ne point négliger le feu. Ils ont déployé avec violence un grand tourbillon de flammes qui embrase le rivage, par delà le détroit de Saronikos, et se répand jusqu’au mont Arakhnaios, proche de la ville. Enfin, cette lumière partie de l’Ida est arrivée dans la demeure des Atréides. Tels sont les signaux que j’avais disposés pour se transmettre la nouvelle l’un à l’autre. Le premier a vaincu, et le dernier aussi. Telle est la preuve certaine de ce que je t’ai raconté. Le Roi me l’a annoncé de Troia. »
(Klytaimnestra)
Euripide :
- Tragédies (Euripide)/Traduction Artaud/Andromaque (corrigé)
- Plusieurs traductions de Leconte de Lisle en cours de validation
Cicéron :
- Cicéron - Œuvres complètes Nisard 1864 tome 4.djvu (pour le Songe de Scipion, De la république/VI)
Virgile :
- Livre:Virgile - Énéide, traduction Guerle, 1825, livres I-VI.djvu : validation partielle
- Livre:Œuvres de Virgile (éd. Panckoucke, 1859).pdf : mis en ligne. Pour la présentation combinée latin/français, voir un exemple de lien entre plusieurs Wikisource sur Page:Horace_-_Œuvres,_trad._Leconte_de_Lisle,_II.djvu/261.
Sénèque :
Pline :
- Histoire naturelle : j'ai supprimé l’une des deux versions redondantes, introduit un système de liens (
{{LienPline}}
) et commencé à corriger par AWB ou manuellement un grand nombre de pages, en particulier le livre XXXV sur la peinture.
« Il convient maintenant de parler de l’art de modeler, ou plastique. Dibutades de Sicyone, potier de terre, fut le premier qui inventa, à Corinthe, l’art de faire des portraits avec cette même terre dont il se servait, grâce toutefois à sa fille : celle-ci, amoureuse d’un jeune homme qui partait pour un lointain voyage, renferma dans des lignes l’ombre de son visage projeté sur une muraille par la lumière d’une lampe ; le père appliqua de l’argile sur ce trait, et en fit un modèle qu’il mit au feu avec ses autres poteries. »
(p. 487)
- Antiquités judaïques, livre XVIII : corrigé
« 3[1]. Vers le même temps vint Jésus, homme sage, si toutefois il faut l’appeler un homme. Car il était un faiseur de miracles et le maître des hommes qui reçoivent avec joie la vérité, Et il attira à lui beaucoup de Juifs et beaucoup de Grecs. C’était le Christ. Et lorsque sur la dénonciation de nos premiers citoyens, Pilate l’eut condamné à la crucifixion, ceux qui l’avaient d’abord chéri ne cessèrent pas de le faire, car il leur apparut trois jours après ressuscité, alors que les prophètes divins avaient annoncé cela et mille autres merveilles à son sujet. Et le groupe appelé d’après lui celui des Chrétiens n’a pas encore disparu. »
- ↑ Ce passage nous semble une interpolation chrétienne : 1o il interrompt le récit des événements funestes survenus aux Juifs sous Tibère (…)
- Une galerie antique de soixante-quatre tableaux: importé sur Commons et corrigé l’ensemble du texte, sans les commentaires
Cette source reproduit les traits de Narcisse, comme la peinture reproduit la source, Narcisse lui-même et son image. (…) Une abeille se pose sur la fleur ; je ne saurais dire si elle est trompée par la peinture, ou si ce n’est pas nous qui nous trompons en croyant qu’elle existe réellement. (…) Les deux Narcisse sont semblables, brillent de la même beauté ; la seule différence entre eux, c’est que l’un se détache sur un fond qui est le ciel, et que l’autre est vu comme plongé dans l’eau ; le jeune homme se tient immobile au-dessus de l’eau qui est immobile, ou plutôt qui le contemple fixement, et comme éprise de sa beauté.
- Les Portraits : un texte corrigé
- autres textes des Œuvres complètes
- Traité sur l’abstinence (constitution du DjVu et correction intégrale)
« Pourquoi ne nous affranchiſſons-nous pas d’une infinité de maux, en renonçant a l’uſage de la viande ? Les richeſſes nous ſeroient pour lors inutiles. Nous n’aurions pas beſoin d’un grand nombre de domeſtiques, & nous nous paſſerions d’une multitude de meubles & d’uſtenſiles. Nous ne ſerions point appéſantis par le ſommeil. Nous éviterions de grandes maladies, qui nous obligent d’avoir recours aux Médecins. Nous ſerions moins portés aux plaiſirs de l’amour. Nos chaînes en ſeroient moins fortes. Enfin nous ſerions garantis d’une infinité de maux. L’abſtinence des viandes remédie à tous ces inconvéniens. »
(p. 70)
Boèce :
- La Consolation de la philosophie : validation partielle