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TABLE DES MATIÈRES.

Chap. VI. — Le roi de France s’unit aux rois de Prusse et de Pologne pour faire élire empereur l’électeur de Bavière, Charles-Albert. Ce prince est déclaré lieutenant général du roi de France. Son élection, ses succès, et ses pertes rapides, 194. — Discours singulier, 15 décembre 1740, 195. — Maréchal de Belle-Isle, 196. — Courage de Marie-Thérèse, 198. — Enthousiasme de l’Angleterre pour Marie-Thérèse, ibid. — Le comte de Saxe, 199. — Prague prise par escalade, ibid. — Marie-Thérèse près de sa ruine, 200. — Charles-Albert, empereur, ibid.

Chap. VII. — Désastres rapides qui suivent les succès de l’empereur Charles-Albert de Bavière, 201. — Pandours, Talpaches, Croates, Houssards, ibid. — Fausse démarche du cardinal de Fleury, 202. — Mort du cardinal de Fleury, 203.

Chap. VIII. — Conduite de l’Angleterre, de l’Espagne, du roi de Sardaigne, des puissances d’Italie. Bataille de Toulon, 204. — Un patron de vaisseau marchand fait déclarer la guerre, 205. — Les Anglais prennent Porto-Bello, 206. — Ce qui se passait en Angleterre dans cet embrasement général, ibid. — Conduite du roi de Sardaigne, 207. — Neutralités singulières en Italie, 208. — Étrange aventure à Naples, ibid. — Pendant qu’on se bat en Allemagne, l’infant don Philippe prend la Savoie, 209. — Récapitulation de l’état de l’Europe, ibid. — Bataille navale de Toulon, ibid.

Chap. IX. — Le prince de Conti force les passages des Alpes. Situation des affaires d’Italie, 211. — Escalade de Villefranche et de Montalban, 212. — Journée du Château-Dauphin, ibid. — Journée des barricades, 213.

Chap. X. — Nouvelles disgrâces de l’empereur Charles VII. Bataille de Dettingen, 214.

Chap. XI. — Première campagne de Louis XV en Flandre. Ses succès. Il quitte la Flandre pour aller au secours de l’Alsace menacée, pendant que le prince de Conti continue à s’ouvrir le passage des Alpes. Nouvelles ligues. Le roi de Prusse prend encore les armes, 219. — Première campagne de Louis XV, ibid. — Prise de Courtrai et de Menin, 220. — Le prince Charles de Lorraine passe le Rhin, 221. — Les Autrichiens en Alsace, 222. — Le roi de France marche au secours de l’Alsace, 223. — La guerre plus vive qu’auparavant. Le roi de Prusse fait marcher cent mille hommes, ibid.

Chap. XII. — Le roi de France est à l’extrémité. Dès qu’il est guéri il marche en Allemagne ; il va assiéger Fribourg, tandis que l’armée autrichienne, qui avait pénétré en Alsace, va délivrer la Bohême, et que le prince de Conti gagne une bataille en Italie, 224. — Le roi de France est à l’extrémité, ibid. — Témoignages singuliers de l’amour des Français pour leur roi, ibid. — Paroles de Louis XV étant à l’extrémité, 225. — Belle marche du prince Charles de Lorraine, 226.

Chap. XIII. — Bataille de Coni. Conduite du roi de France. Le roi de Naples surpris près de Rome, 227. — Prise de Fribourg par le roi de France, 228. — Les Anglais soudoient presque tous les princes, 229. — Conduite du maréchal de Saxe, ibid. — Situation de l’Italie, 230. — Journée de Velletri, ibid.