Malherbe et ses sources (Counson)

Albert Counson

Malherbe et ses sources

H. Vaillant-Carmanne, 1904.

BIBLIOTHÈQUE

de la

FACULTÉ

de

PHILOSOPHIE & LETTRES

de

L’UNIVERSITÉ DE LIÈGE

FASCICULE XIV

xxMALHERBE ET SES SOURCESxx

par

Albert COUNSON

Docteur en philosophie et lettres,
Lecteur à l’Université de Halle

LIÈGE

IMPRIMERIE H. VAILLANT-CARMANNE

(Société Anonyme)

8, rue Saint-Adalbert, 8

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1904

MALHERBE ET SES SOURCES

Pour donner à la poésie de Malherbe le nom qui lui appartient, il faut considérer s’il imite, quelles sont les choses qu’il imite, et de quelle sorte d’imitation il s’est servi.

Godeau, Discours, dans Malh., éd. Lalanne, t. I, p. 379.

TABLE DES MATIÈRES

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Pages

Introduction 

 

 7

Chapitre 

III.I. La Normandie 

 13

Chapitre» 

III.II. Malherbe et ses relations 

 43

Chapitre» 

III. La Bible 

 49

Chapitre» 

III.IV. Les Grecs 

 61

Chapitre» 

III.V. Les Latins :

  

V. LesIII.I. Sénèque 

 69

  

V. LesIII.II. Virgile 

 96

  

V. LesIII. Horace 

 112

  

V. LesIII.IV. Ovide 

 123

  

V. LesIII.V. Stace, Martial, Tibulle, Catulle, Properce, Claudien. Influences générales des Latins 

 134

  

V. LesIII.VI. Les poètes latins modernes 

 157

Chapitre 

III.VI.II.I. Les Italiens 

 161

  

III.II. Les Espagnols 

 190

Chapitre» 

III.VII. Sources françaises 

 197

Conclusion 

 

 228

Bibliographie 

 

 233

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