Livre:Leibniz - La Monadologie, éd. Nolen, 1881.djvu
Titre | La Monadologie |
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Auteur | Gottfried Wilhelm Leibniz |
Éditeur | D. Nolen |
Maison d’édition | Germer Baillière et Cie (Bibliothèque classique d’ouvrages philosophiques) |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1881 (nouvelle éd.) |
Bibliothèque | Internet Archive |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
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Table des matières
Avant-propos.
Notice historique sur la vie et les œuvres de leibniz.
Éclaircissements sur les principales théories de la monadologie.
Premier Éclaircissement. — La pensée métaphysique.
Deuxième Éclaircissement. — La raison philosophique en face du monde de la sensation et de la science.
I. — L’ancienne métaphysique avec Platon et Aristote.
II. — La philosophie moderne avec Descartes.
Troisième Éclaircissement. — La substance.
I. — La théorie cartésienne de la substance, Spinoza, Gassendi et Locke triomphent des erreurs qu’elle renferme.
II. — Les critiques de Locke contre la notion de substance. Leibniz les réfute.
Quatrième Éclaircissement. — Les principes de la raison métaphysique.
I. — Le principe de l’analogie.
II. — Principe de la raison suffisante.
III. — Le principe de la contradiction.
Cinquième Éclaircissement. — Les Monades sont des unités et des forces vivantes.
I. — Les unités véritables et les unités apparentes.
II. — Les monades et la science au temps de Leibniz.
Sixième Éclaircissement. — La perception et l’activité des monades.
I. — La monade n’est qu’une force perceptive
II. — Les petites perceptions ou les reprétentations inconscientes.
III. — Les diverses espèces de la perception.
IV. — La perception de l’univers est commune à toutes les monades. — Objection d’Arnaud. — Réplique de Leibniz.
V. — La perception ne diffère d’une monade à l’autre que par le degré de clarté ou de confusion.
VI. — Le corps est le point de vue sous lequel la monade perfoit l’univers et mesure la clarté de su perfection.
VII. — Le corps, en tant que perception confuse, résultant de l’imperfeclion de la connaissance sensible.
VIII. — Les sens convaincus d’erreur par la science et la philosophie.
IX. — Le monde des corps, produit de l’imagination selon Leibniz et Fichte.
X. — La monadologie ne reconnaît au corps d’autres vérités que celle d’un phénomène bien réglé.
XI. — Vérité de l’étendue et du mouvement.
XII. — Activité de la monade, incessante, spontanée.
XIII. — Dans quel sens la monade est-elle passive ?
XIV. — La vis actua primitiva et la vis passiva primitiva ; distinction de la matière première et de la matière seconde.
Septième Éclaircissement. — La durée des Monades.
I. — La durée des monades égale celle du monde ; pas plus que lui, elles n’ont commencé ni ne finiront dans le temps.
II. — Objections de Clarke et d’Arnaud ; réplique de Leibniz.
III. — L’indestructibilité étendue à toutes les monades sans exceptions.
IV. — L’indestructibilité prouvée par les expériences.
V. — Ni métempsychose, ni traductio, ni eductio.
VI. — Indestructibilité de l’individu tout entier, corps et âme.
VII. — Que sont lu naissance et la mort des êtres sensible.
VIII. — Génération des esprits.
IX. — L’immortalité des esprits distincte de l’indestructibilité des autres substances.
X. — L’hypothèse de Leibniz et la science d’aujourd’hui.
Huitième Éclaircissement. — La communication des substances. — L’harmonie préétablie.
I. — Le problème de la communication des substances chez les cartésiens.
II. — L’occasionnalisme rejeté par Leibniz.
III. — Explications provisoires de l’harmonie ; la comparaison des deux horloges.
IV. — L’action d’un corps sur un autre aussi obscure que celle de l’âme sur le corps.
V. — Aucune analogie sensible n’explique l’action d’une monade sur l’autre.
VI. — Les relations des monades sont d’ordre purement métaphysique.
VII. — Les perceptions des monades se correspondent, parce qu’elles représentent le même univers.
VIII. — Les monades comparées à des bandes de musiciens.
IX. — Première objection : Le monde serait le même s’il n’y avait qu’une seule monade.
X. — Deuxième objection faite par Arnaud. Réponse.
XI. — Sens vrai de la doctrine leibnizienne.
XII. — Comment la monade, sans sortir d’elle même, connaît l’existence des autres monades.
XIII. Comment l’action et la passion se répartissent entre les monades.
XIV. — L’action et la passion dans le monde des phénomènes.
XV. — Distinction de la causalité métaphysique et de la causalité physique.
XVI. — Vérité et rôle des causes efficientes.
XVII. — Vérité et rôle des causes finales.
Neuvième Éclaircissement. Le Déterminisme et la liberté de la volonté.
I. — Le problème de la liberté chez les cartésiens.
II. — Leibniz rejette la théorie de Descartes.
III. — Il réfute la liberté d’indifférence.
IV. — Le fatalisme de Spinoza.
V. — La volonté, forme supérieure de l’appétit ; et la liberté, degré supérieur de la volonté.
VI. — Le déterminisme du vouloir et la tendance essentielle de la volonté vers le plus grand bien.
VII. — Causes des erreurs de la volonté : moyen d’y remédier.
VIII. — Le déterminisme de la volonté respecte les trois caractères essentiels des actes libres.
IX. — Le déterminisme, matérialiste et spinoziste.
X. — La liberté s’accorde avec prescience et la toute-puissance de Dieu.
XI. — Le songe de Théodose.
XII. — La vraie notion de la liberté manque à Leibniz.
Dixième Éclaircissement. — Dieu et le monde des possibles, la théorie de Leibniz.
I. — Critique des arguments cartésien en faveur de l’existence de Dieu.
II. — La preuve de l’ordre et de la beauté du monde.
III. — Le système de l’harmonie préétablie fournit une nouvelle et décisive démonstration.
IV. — Dieu prouvé par les vérités éternelles.
V. — Méthode pour s’élever aux attributs de Dieu.
VI. — La Création.
VII. — Le monde des possibles et le choix divin.
VIII. — Objections d’Arnaud contre la théorie des possibles.
IX. — Objections de Bayle.
X. — Sens et but de la théorie des possibles.
XI. — Elle écarte de la volonté divine la responsabilité du mal.
XII. — Dieu a créé le monde par bonté.
XIII. — La Providence.
XIV. — La création continue.
Onzième Éclaircissement. — L’optimisme.
I. — L’optimisme prouvé à priori.
II. — L’optimisme défendu contre Bayle.
III. — Le mal n’est qu’un défaut d’être, un moindre bien.
IV. — Le mal condition du bien : le mal métaphysique.
V. — Le mal physique.
VI. — Le mal moral.
VII. — La quantité du mal dans le monde.
VIII. — La beauté de la création dans l’immensité de l’étendue et de la durée.
Douzième Éclaircissement. — Théorie de la connaissance.
I. — Le problème de la connaissance chez les cartésiens.
II. — La possibilité, mesure du vrai pour Leibniz.
III. — La science parfaite des possibles n’est qu’en Dieu.
IV. — Les vérités éternelles et les vérités contingentes.
V. — Les vérités de raison sont tirées de notre propre fonds.
VI. — Les vérités de fait ou d’expérience.
VII. — L’innéité des faits chez Descartes et chez Leibniz.
VIII. — Leibniz et le sensualisme de Locke.
IX. — Leibniz et la vision en Dieu de Malebranche.
Notice sur la monadologie.
Historique.
Analyse.
Sujets de dissertation.