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le faire dans l’œuvre des autres, nous nous attacherons à mettre en lumière les parties durables de sa métaphysique, plutôt qu’à insister sur les lacunes ou les erreurs de sa doctrine : persuadés que l’admiration convient mieux à la jeunesse que la critique. Nous nous aiderons, pour éclairer les obscurités de sa philosophie, des enseignements de notre temps, en même temps que nous chercherons dans les écrits de Leibniz le commentaire réclamé par l’extrême concision du texte de la Monadologie. Notre ambition serait satisfaite si nous réussissions à faire pénétrer jusqu’au cœur, non moins qu’à l’intelligence, de nos lecteurs quelques-unes des pensées du grand Leibniz.


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