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X. — La liberté s’accorde avec prescience et la toute-puissance de Dieu. 
 136
XI. — Le songe de Théodose. 
 138
XII. — La vraie notion de la liberté manque à Leibniz. 
 131
Dixième Éclaircissement. — Dieu et le monde des possibles, la théorie de Leibniz
 133
I. — Critique des arguments cartésien en faveur de l’existence de Dieu. 
 134
II. — La preuve de l’ordre et de la beauté du monde. 
 135
III. — Le système de l’harmonie préétablie fournit une nouvelle et décisive démonstration. 
 136
IV. — Dieu prouvé par les vérités éternelles. 
 137
V. — Méthode pour s’élever aux attributs de Dieu. 
 137
VI. — La Création. 
 138
VII. — Le monde des possibles et le choix divin. 
 139
VIII. — Objections d’Arnaud contre la théorie des possibles. 
 140
IX. — Objections de Bayle. 
 144
X. — Sens et but de la théorie des possibles. 
 144
XI. — Elle écarte de la volonté divine la responsabilité du mal. 
 145
XII. — Dieu a créé le monde par bonté. 
 147
XIII. — La Providence. 
 148
XIV. — La création continue. 
 149
Onzième Éclaircissement. — L’optimisme
 151
I. — L’optimisme prouvé à priori. 
 151
II. — L’optimisme défendu contre Bayle. 
 152
III. — Le mal n’est qu’un défaut d’être, un moindre bien. 
 153
IV. — Le mal condition du bien : le mal métaphysique. 
 154
V. — Le mal physique. 
 158
VI. — Le mal moral. 
 157
VII. — La quantité du mal dans le monde. 
 158
VIII. — La beauté de la création dans l’immensité de l’étendue et de la durée. 
 161
Douzième Éclaircissement. — Théorie de la connaissance
 164
I. — Le problème de la connaissance chez les cartésiens. 
 164
II. — La possibilité, mesure du vrai pour Leibniz. 
 161
III. — La science parfaite des possibles n’est qu’en Dieu. 
 167
IV. — Les vérités éternelles et les vérités contingentes. 
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