La Rôtisserie de la reine Pédauque

Anatole France

La Rôtisserie de la reine Pédauque

Calmann-Lévy, 1893.

TABLE

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Pages.

J’ai dessein de rapporter les rencontres singulières de ma vie 

 1

J’ai nom Elme-Laurent-Jacques Ménétrier 

 7

Tel que vous me voyez, dit-il, ou, pour mieux dire, tout autre que vous ne me voyez 

 23

Ce qu’il y a de merveilleux dans les affaires humaines 

 30

Cette nuit-là, nuit de l’Épiphanie 

 37

Le lendemain nous cheminions 

 63

Nous trouvâmes dans la salle à manger 

 75

Après le dîner, notre hôte nous conduisit dans une vaste galerie 

 85

Tout le long d’un mois ou de six semaines, M. Coignard demeura appliqué jours et nuits 

 93

Quand je sortis de la rôtisserie, il faisait nuit noire 

 101

Nous menâmes, mon bon maître et moi, jusqu’au printemps, une vie exacte et recluse 

 112

Cette année-là, l’été fut radieux, d’où me vint l’envie d’aller dans les promenades 

 123

Je ne sais comment il me fut possible de m’arracher des bras de Catherine 

 130

Il me restait de ce long entretien le sentiment confus d’un rêve 

 150

La pensée de Catherine occupa mon esprit pendant toute la semaine 

 155

Jahel tint parole 

 179

Ce soir là, nous trouvant, mon bon maître et moi, dans la rue du Bac 

 189

Le petit jour piquait déjà nos yeux fatigués 

 231

Je pris donc à la table du cabbaliste ma place accoutumée 

 264

Le lendemain, au petit jour, je retournai chez le chirurgien 

 348

Deux jours se passèrent en de cruelles alternatives 

 359

M. le curé de Vallars fit à M. Jérôme Coignard des obsèques solennelles 

 364

Trois jours après que mon bon maître eut rendu l’âme 

 368

En cet endroit ma vie perd l’intérêt qu’elle empruntait des circonstances 

 373

Il n’est pas d’amour qui résiste à l’absence 

 380