La Cité de Dieu (Augustin)/Livre XI

Texte établi par RaulxL. Guérin & Cie (Œuvres complètes de Saint Augustin, tome XIIIp. TdM).
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Tome 13
Chapitre premier. Objet de cette partie de notre ouvrage où nous commençons d’exposer l’origine et la fin des deux Cités.
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II. Personne ne peut arriver à la connaissance de Dieu que par Jésus-Christ homme, médiateur entre Dieu et les hommes.
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III. De l’autorité de l’Écriture canonique, ouvrage de l’esprit divin.
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IV. Le monde n’a pas été créé de toute éternité, sans qu’on puisse dire qu’en le créant, Dieu ait fait succéder une volonté nouvelle à une autre volonté antérieure.
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V. Il ne faut pas plus se figurer des temps infinis avant le monde que les lieux infinis au-delà du monde.
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VI. Le monde et le temps ont été créés ensemble.
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VII. De la nature de ces premiers jours qui ont eu un soir et un matin avant la création du soleil.
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VIII. Ce qu’il faut entendre par le repos de Dieu après l’œuvre des six jours.
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IX. Ce que l’on doit penser de la création des anges, d’après le témoignage de l’Écriture sainte.
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X. De l’immuable et indivisible Trinité, où le Père, le Fils et le Saint-Esprit ne font qu’un seul Dieu, en qui la qualité et la substance s’identifient.
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XI. Si les anges prévaricateurs ont participé à la béatitude dont les anges fidèles ont joui sans interruption depuis qu’ils ont été créés ?
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XII. Comparaison de la félicité des justes sur la terre et de celle de nos premiers parents avant le péché.
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XIII. Tous les anges ont été créés dans un même état de félicité, de telle sorte que ceux qui devaient déchoir ignoraient leur chute future, et que les bons n’ont eu la prescience de leur persévérance qu’après la chute des mauvais.
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XIV. Explication de cette parole de l’Évangile : « Le diable n’est point demeuré dans la vérité, parce que la vérité n’est point en lui ».
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XV. Comment il faut entendre cette parole : « Le « diable pèche dès le commencement ».
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XVI. Des degrés et des différences qui sont entre les créatures, selon qu’on envisage leur utilité relative ou l'ordre absolu de la raison.
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XVII. La malice n’est pas dans la nature, mais contre la nature, et elle a pour principe, non le Créateur, mais la volonté.
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XVIII. De la beauté de l’univers qui, par l’art de la Providence, tire une splendeur nouvelle de l’opposition des contraires.
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XIX. Ce qu’il faut entendre par ces paroles de l’Écriture : « Dieu sépara la lumière des ténèbres ».
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XX. Explication de ce passage : « Et Dieu vit que la lumière était bonne ».
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XXI. De la science éternelle et immuable de Dieu et de sa volonté, par qui toutes ses œuvres lui ont toujours plu, avant d’être créées, telles qu’il les a créées en effet.
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XXII. De ceux qui trouvent plusieurs choses à reprendre dans cet univers, ouvrage excellent d’un excellent créateur, et qui croient à l’existence d’une mauvaise nature.
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XXIII. De l’erreur reprochée à la doctrine d’Origène.
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XXIV. De la Trinité divine, qui a répandu en toutes ses œuvres des traces de sa présence.
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XXV. De la division de la philosophie en trois parties.
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XXVI. L’image de la Trinité est en quelque sorte empreinte dans l’homme, avant même qu’il ne soit devenu bienheureux.
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XXVII. De l’être et de la science, et de l’amour de l’un et de l’autre.
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XXVIII. Si nous devons aimer l’amour même par lequel nous aimons notre être et notre connaissance, pour mieux ressembler à la Trinité.
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XXIX. De la science des anges qui ont connu la Trinité dans l’essence même de Dieu et les causes des œuvres divines dans l’art du divin ouvrier.
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XXX. De la perfection du nombre senaire, qui, le premier de tous les nombres, se compose de ses parties.
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XXXI. Du septième jour, qui est celui où Dieu se repose après l’accomplissement de ses ouvrages.
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XXXII. De ceux qui croient que la création des anges a précédé celle du monde.
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XXXIII. On peut entendre par la lumière et les ténèbres les deux sociétés contraires des bons et des mauvais anges.
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XXXIV. De ceux qui croient que par les eaux que sépara le firmament il faut entendre les anges, et de quelques autres qui pensent que les eaux n’ont point été créées.
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