Autres balades (Christine de Pisan)

Christine de Pisan

AUTRES BALADES

Œuvres poétiques de Christine de Pisan, Texte établi par Maurice Roy, Firmin Didot, 1886 (p. TdM).

AUTRES BALADES

Pages

I. — 

Car qui est bon doit estre appellé riche 

 207

  

Éloge de Charles d’Albret.

II. — 

Si com tous vaillans doivent estre 

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À Charles d’Albret.

III. — 

Et Dieux vous doint leur bon droit soustenir 

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IV. — 

Et honneur en toutes querelles 

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V. — 

Avisons nous qu’il nous convient morir 

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VI. — 

Ne les princes ne les daignent entendre 

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VII. — 

Car de Juno n’ay je nul reconfort 

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VIII. — 

Il veult trestout quanque je vueil 

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IX. — 

Amours le veult et la saison le doit 

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X. — 

Amours le veult et la saison le doit 

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XI. — 

Assez louer, ma redoubtée dame  

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XII. — 

Si qu’a tousjours en soit mémoire 

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XIII. — 

Vous semble il que ce fausseté soit ? 

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XIV. — 

Juno me het et meseùr me nuit 

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XV. — 

Se Dieu et vous ne la prenez en cure 

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XVI. — 

À Charles d’Albret, connétable de France

  

Ce premier jour que l’an se renouvelle 

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XVII. — 

N’on n’en pourroit assez mesdire  

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XVIII. — 

À la reine Isabelle de Bavière

  

Ce jour de l’an, ma redoubtée dame 

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XIX. — 

À Louis de France, duc d’Orléans

  

Ce jour de l’an vous soiez estrené 

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XX. — 

À Marie de Berry, comtesse de Montpensier

  

Ce plaisant jour premier de l’an nouvel 

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XXI. — 

Christine fait hommage à Charles d’Albret de son poème « Du Débat de deux Amans »

  

Si le vueilliez recepvoir pour estreine 

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XXII. — 

Christine recommande son fils aîné au duc d’Orléans

  

Si le vueilliez, noble duc, recevoir 

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XXIII. — 

Faittes voz faiz a voz ditz accorder 

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XXIV. — 

Le corps s’en va, mais le cuer vous demeure 

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XXV. — 

Chapiaulx jolis, violetes et roses,
Fleur de printemps, muguet et fleur d’amours 

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XXVI. — 

Et certes le doulz m’aime bien 

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XXVII. — 

Et ce vous fait tout le monde plaire 

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XXVIII. — 

En ce jolis plaisant doulz moys de May 

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XXIX. — 

Au duc d’Orléans, sur le combat de sept Français contre sept Anglais (19 mai 1402)

  

De hault honneur et de chevalerie 

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XXX. — 

Sur le combat des sept chevaliers français et des sept chevaliers anglais (19 mai 1402)

  

Sera retrait de leur haulte vaillance 

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XXXI. — 

Même sujet

  

On vous doit bien de lorier couronner  

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XXXII. — 

À pou que mon cuer ne font ! 

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XXXIII. — 

Au sénéchal de Hainaut, 1402.

  

D’entreprendre armes et peine 

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XXIV. — 

Apercevoir

  

Vueillez le voir 

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XXXV. — 

Vostre doulceur me meine dure guerre 

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XXXVI. — 

À la reine Isabelle de Bavière

  

Soit, sanz cesser, toute joye mondaine 

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Rondel. — 

Mon chier seigneur, soiez de ma partie 

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XXXVII. — 

On est souvent batu pour dire voir  

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XXXVIII. — 

Sur la Cour du duc Philippe de Bourgogne, 1403

  

Selon seigneur voit on maignée duite  

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XXXIX. — 

Car je vous ay retenue a ma vie  

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XL. — 

Je mourray se m’estes dure 

 253

XLI. — 

Qu’en France soit si mençonge eslevée  

 254

XLII. — 

Sur la mort du duc de Bourgogne (27 avril 1404)

  

Affaire eussions du bon duc de Bourgongne 

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XLIII. — 

Et ne croyez flajolz de decepveurs 

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XLIV. — 

Ne mon penser nulle heure ne s’en part 

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XLV. — 

Mon doulx amy, d’autre ne me vient joye  

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XLVI. — 

Je m’en mettre a mon aise  

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XLVII. — 

Et me vueillez ottroyer vostre amour 

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XLVIII. — 

Je le sçay bien, il fault que je m’en sente  

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XLIX. — 

Je dis que c’est pechié a qui le tait 

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L. — 

S’ainsi le faiz, tu seras preux et saige  

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LI. — 

Et ait ou mal fort et poissant couraige 

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LII. — 

Ce jour de May gracieux plain de joye 

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LIII. — 

Quant bien me doit venir, meseur l’en chace 

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