Voyage en Espagne (Doré et Davillier)
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De Perpignan à Barcelone. — De Perpignan à Figueras. — Gerona. — Les serenos. — Le torrent des Manol. — La noria. — Le chemin de fer de Tordera à Barcelone. — Arrivée à Barcelone. Les églises. — Les mendiants. — Une nécropole aérienne. — Une exécution capitale ; le garrote. — Une complainte catalane. — Un bal champêtre. — Les prisons de l’inquisition. — Monserrat. — Tarragone.
De Barcelone à Valence. — De Barcelone à Valence. — Les brigands espagnols. — La diligence, la galère et autres véhicules. — Le mayoral, le zagal et le delantero. — Tortosa. — Vinaroz. — Murviédro et son théâtre antique.
Valence. — Valencia del Cid. — Les abradores et les costumes. — La Llotja de seda. — L’orchata de chufas. — La seu. — Le Gualadaviar. — Les irrigations et le tribunal des eaux. — La bandarria, la citara, et la dulzayna.
Valence (suite). — La bibliothèque. — Le musée de la Merced et ses palmiers. — Les mozos de la esouadras. — La tartana. — Ancienneté de la tauromachie. — Le Cid Campeador. — Rois d’Espagne toreros. — Costillares. — Pedro Romero et ses cinq mille six cents taureaux. — Pepe Illo et son livre. — Une école royale de tauromachie. — Montés et le Chiclanero. — Les ganaderias. — La herradura. — Les novillos. — Vaqueros et cabestros. — Voyage des taureaux. — L’encierro et l’apartado. — La plaza de Toros. — Affiches et programmes des courses. — Arrivée de la cuadrilla. — Les toreros.
Valence. — Combat de taureaux. — Un combat de taureaux à Valence. — Le despejo. — Le défilé de la Cuadrilla : les Alguaciles. — Les espadas, les banderilleros, les chulos et les picadores. — La sortie du taureau. — Les suertes et les cogidas. — Le picador Casderon et sa blessure. — Un quite. — Pedro Romero et les picadores. — El Gordito. — Le Tato. — L’épée et la muleta. — La estocada a Volapies. — Une avalanche de sombreros. — Le cachetero. — Les tiros de mules. — Les banderillas de fuego. — Le sobresaliente. — Les suertes de capa. — El Gordito Sentado. — Un banderillero accroché. — Les taureaux sauteurs. — La suerte de descabellar.
Valence (suite). — L’Albuféra de Valence. — La pêche et la chasse, les batidas ; les phénicoptères. — Alcira et Carcagente. — Les oranges du royaume de Valence. — La huerta de Gaudia. — La pita et son emploi. — Denia. — Alcoy.
D’Alcoy à Orihuela. — La fête de saint Georges à Alcoy ; un combat entre les chrétiens et les Mores. — Jativa. — Almanza. — Albacete : Navajas, cuchillos et puñales. — D’Albacete à Alicante. — Le marquis de Villena. — Une noce à la posada. — Elche et sa forêt de palmiers. — Les dattes et les palmes.
D’Orihuela à Grenade. — Orihuela et sa huerta. — Murcie. — La fête du Corpus Domini. — La Cruz de Caravaca. — Carthagène. — Totana. — Les gitanos. — Lorca ; le pantano de Puentes. — Velez-Rubio. — Cullar de Baza ; une population troglodyte. — Baza. — Guadiz. — Diezma ; la toilette d’une gitana. — Arrivée à Grenade.
Grenade. — Une Casa de Pupilos. — Le Patio. — Les rues de Grenade. — Les louanges des poëtes arabes. — Les origines de Grenade : l’ancienne Karnattah phénicienne ; l’Illiberis des Romains. — Les Goths et les Arabes. Ibn.-Al-Hamar. — Guerres civiles. — Grandeur et décadence de Grenade. — La Calle de los Gomélés. — La Puerta de las Granadas. — Le Bosque de la Alhambra. — Le Pilar de Carlos Quinto. — La puerta Judiciaria ; la Main et la Clef. — La Plaza de los Algibes. — La Puerta del Vino. — Le palais de Charles-Quint. — Les vases de l’Alhambra.
Grenade (suite). — La fondation de l’Alhambra. — Les gouverneurs et leurs dévastations. — La tour de los Siete Suelos. — Les revenants de l’Alhambra : le cheval sans tête, le fantôme velu, le toro feroz et son trésor. — La Alcazaba, la tour del Homenage et celle de la Vela. — La cloche et les jeunes filles. — La capitulation de Grenade. — L’entrée de la casa Real. — Le palais de l’Alhambra. — Le Patio de la Alberca ou de los Arrayanes. — Andrea Navagero, ambassadeur vénitien, visite l’Alhambra en 1524. — Le Patio de los Leones, la Taza de los Leones, les taches de sang. Comment les Abencerrages ont réellement existé. — Les Zégris en massacrent trente-six dans la cour des Lions.
Grenade (suite). — La salle des Abencerrages ; encore des taches de sang ; histoires de revenants : les ombres des chevaliers abencerrages. — La sala de las dos Hermanas. — La sala de los Embajadores ; le plafond Artesonado ; les Azulejos. — Réponse d’un roi de Grenade ; le récit d’un chevalier zégri : la revanche des Abencerrages ; la Hermosa Galiana. — Le Peinador de la reina. — Le jardin de Lindaraja. — Le Mirador. — Les Baños de la sultana. — La sala de Secretos. — La Mesquita ou Capilla real. — Le Patio de la Reja. — Les peintures de la sala del Tribunal. — Le Généralife, les cyprès de la sultane. — La Sella del Moro. — Les Carmenes del Darro. — La Fuente del Avellano ; les villas moresques en 1524. — Le Darro et son or. — La Plaza Nueva et le Zacatin. — La cathédrale de Grenade ; Alonzo Cano. — La real Capilla ; la Reja ; les tombeaux de Philippe le Beau et de Jeanne la Folle, et celui des rois catholiques.
Grenade (suite). — Le palais de l’archevêque. — La Plegaria. — La Plaza de Bibrambla ; joutes et tournois moresques ; l’auto-da-fé du cardinal Ximenès. — La porte des Oreilles. — La rue des Couteaux et la rue des Cuillers. — La place des Loups. — l’Alcaiceria. — Le musée. — Le couvent de Santo Domingo ; Gonzalve de Cordoue, le grand capitaine. — La chapelle de l’Ave Maria ; Hernan Perez del Pulgar. — La Cartuja. — La Carrera de las Angustias. — Mariana Pineda. — Le Salon. — Le Genil ; Boabdil et Ferdinand. — L’Albayzin. — La casa del Chapiz. — Le Cuarto Real. — Les bains moresques. — Philippe II défend aux Morisques de se baigner. — Le Sacro Monte. — Un faubourg souterrain. — Les gitanos anthropophages. — Les Vulcains du Sacro Monte. — Maquignonnage et sorcellerie. — Le bohémien Rico. — Un bal de gitanas ; nos succès comme danseurs. — La Pelra. — Le Zarandeo. — La vieille sorcière ; une scène de Buena ventura. — Le Calo. — Mariages et religion des Gitanos. — Ascension à la Sierra-Nevada. — Le nevero Ramirez. — Le trésor du Barranco de Guarnon. — Le Panderon. — Les Ventisqueros. — Le Picacho de Veleta. — Le Mulahacen.
Grenade (suite). — De Grenade à Jaen. — La Sierra de Martos ; les bandits ; Jaen. — Les dormeurs en plein air ; les paysans et leurs costumes. — Défense de Jaen au quinzième siècle. — La cathédrale. — Le Santo Rostro. — Départ de Grenade pour les Alpujarras. — Alhendin ; El ultimo suspiro del Moro ; la fin de Poabdil. — L’insurrection des Morisques. — La vallée de Lecrin. — Fernando de Valor. — La guerre dans les Alpujarras. — Padul. — Durcal. — Ginez Perez de Hita, soldat et historien. — Lanjaron, le paradis des Alpujarras. — Le Barranco de Poqueira. — Ujijar. — La Sierra de Gador. — La Puerto del Lobo. — Le Rio Verde et la Sierra Bermeja. — Berja. — Un mendiant centenaire.
Grenade (suite). — Almeria ; le Sacro Catino des Génois. — Une pièce de Calderon : Tuzani le Morisque et Don Juan d’Autriche. — Adra. — Motril. — Salobrena et Salambo. — Almuñecar. — Velez-Malaga ; végétation tropical : le coton et la canne à sucre. — Ferdinand le Catholique et Garcilaso de la Vega. — Malaga. — L’Alameda ou le salon de Bilbao. — Les femmes de Malaga. — Le climat. — Les patios. — Chansons populaires de l’Andalousie : les Malagueñas. — Les ruines moresques. — La cathédrale. — Les statuettes de terre cuite. — Les delitos de sangre. — Les serenos de Malaga. — Les gens de vida airada. — Un professeur de naraja. — Les Golpes. — La Parte alta et la Parte baja ; le Jabeque ; le Desjarretazo ; la Plumada et le Revès. — Un coup mortel : le Floretazo ; les Golpes de Costado. — Les Engaños. — Les Tretas ; quelques bottes secrètes. — L’escrime au Puñal et au Cuchillo. — Le Molinete. — Lanzar la navaja. — Les Tijeras des G. tonos. — Les Charranes. — Le Barrio del Perchel. — L’Arriero et son once d’or. — Le torrent de Guadalmedina ; combats à coups de pierre des Lazzaroni de Malaga. — Les Barateros. — Les Garitos et les joueurs ; comment se touche le Barato. — Les pourfendeurs andalous ; un défi. — Le Baratero sur la place ; dans la caserne ; dans la prison. — La chanson du Baratero.
Grenade (suite). — Les environs de Malaga ; la Hoya. — Opinion de Voiture sur l’Andalousie. — Le chemin de fer d’Alora à Malaga. — La route de Velez à Alhama. — Les croix de meurtre. — La Sierra Tejada. — Alhama ; les bains. — Ay ! de mi Alhama ! — Santa Fé ; le siége de Grenade ; la couleur Isabelle. — Loja. — La Peña de los Enamorados. — Un chrétien et une Moresque. — Archidona. — Antequera. — La Serrania de Ronda. — Le brigandage en Espagne. — Les Rateros. — Ladrones, Bandides et Bandoleros. — Le capitan et sa partida. — L’attaque de la diligence. — Le partage du butin. — Les Siete Niños de Ecija. — Le capitan Ojitos. — Un sac de duros. — José Maria. — L’indulto. — La chanson du Bandolero. — Sept frères bandits. — La Cabeza del Malvado. — Teba. — Ronda. — Le Tajo. — La casa del Rey Moro. — Une corrida d’enfants. — Les Rondeñas. — Les contrabandistas de la Sierra. — Le corredor. — L’Encuentro. — Ce que deviennent les contrabandistas. — Cancin. — San Roque. — Gibraltar. — Algecoras. — Tarifa ; les Tarifiñas. — Vejer. — Medina. — Sidonia. — Conil. — Chiclana. — Ses surnoms populaires de quelques villes andalouses. — La Isla de Leon. — San Fernando. — Arrivée à Cadix.
Cadiz. — Le ciel d’Andalousie. — Azoteas et miradores. — Les Gaditanes. — Lord Byron à Cadiz ; le poëte et l’Aficionado. — L’Alameda. — Les mantilles. — Les coufiterias ; gourmandise héréditaire des Andalouses. — Les Cigarreras de Cadiz. — Les marineros. — Les Playeras andalouses. — La chanson du Curriyo marinero. — La baie de Cadiz. — Le Puerto Santa Maria. — Los toros del Puerto. — La Calesa andalouse. — Jerez de la Frontera. — Les Jerezanos. — Majos et Aficionados. — La Plaza. — Le Toro del Aguardlente. — La Cartuja. — Les vignobles ; l’exploitation ; les veillées des travailleurs. — Le Capataz et sa Cuadrilla. — La Vendimia. — Les Lagares. — Le Vino Madre. — Le Jerez Seco. — Le Brown Sherry. — L’Amontillado. — Le Pajarote. — Le Moscatel. — Les Bodegas. — Arcos de la Frontera. — La puente de Arcos. — San Lucar de Barrameda ; le manzanilla. — Palos ; le départ de Christophe Colomb. — Bonanza. — Le Guadalquivir. — La Isla Mayor et la Isla Menor. — Les taureaux de combat. — Un Picador en voyage. — Une fête andalouse : le Herradero ; le Tenta’ero ; le baptême des taureaux. — Coria. — San Juan de Alfarache. — Arrivée à Séville.
Séville. — Les origines de Séville ; Hercule ; l’antique Hispalis ; Julia Romula. — Saint-Ferdinand. — La Cartuja. — La Feria de Santi Ponce. — Les ruines d’Italica. — L’amphithéâtre antique. — Les environs de Séville. — Alcala de Guadaria, ou de los Panaderos. — Le Castillo arabe. — Les Caños de Carmona. — Les Alahonas ou moulins arabes. — Moron. — Osuna. — Le chemin de fer de Cadiz à Séville. — Lebrija. — Utrera, la ville des taureaux et des toreros. — La calle de las Sierpes. — Un patio. — La mantilla de tira. — Le Correo ; les noms de femme. — La casa de l’Ayuntamiento. — Les armes et les devises de Séville ; la Empresa des Rois catholiques. — La calle de los Abades. — La maison de don Juan. — La calle de la Feria ; les Ferias de Murillo. — La Macarena. — La tahoma et le tahonero. — L’hôpital de la Sangre. — La Plaza de la Magdalena. — Les Puestos de agua ; les bebidas ou rafraîchissements populaires. — Le Mercado. — L’Alameda de Hercules et les Delicias de Cristina. — La Giralda. — La statue de la Foi, ou Giraldillo. — Le Caballero del Bosque et la Giralda. — Les cloches. — Le Patio de los Naranjos. — Les portes et les marteaux arabes. — La Puerta del Perdon ; la Puerta del Lagarto. — Les chanoines de Séville. — La cathédrale : le Monumento. — La Custodia de Juan de Arfe. — Le Cirio pascual. — Le saint Christophe. — La Capillo mayor. — Tombeau de Ferdinand le Catholique et de Maria Padilla. — La salle capitulaire et la sacristie. — Le saint Antoine de Murillo. — Les peintures sur verre.