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TABLE DES MATIÈRES.
Pages
XLVIII.
— De la véritable beauté
XLIX.
— Comment on doit apprendre la philosophie
L.
— De ce qui sert de matière à l’homme de bien et du principal but de ses efforts
LI.
— Contre ceux qui, au théâtre, donnent des marques inconvenantes de faveur
LII.
— À un rhéteur qui s’en allait à Rome pour un procès
LIII.
— Comment doit-on supporter les maladies ?
LIV.
— « Ils viennent des dieux »
LV.
— De l’exercice. — Comment on peut détruire en soi les mauvaises habitudes
LVI.
— Qu’est-ce que c’est que l’abandon ? Et qu’est-ce qui est abandonné ? — La véritable paix. — La mort et l’immortalité
LVII.
— Çà et là
LVIII.
— Qu’il faut y regarder à deux fois avant de se laisser entraîner à une liaison
LIX.
— Justification de la Providence
LX.
— Il ne faut pas se troubler des nouvelles
LXI.
— De l’homme ordinaire et du philosophe
LXII.
— On peut tirer profit de toutes les choses extérieures. — L’erreur et le mal. — La baguette de Mercure
LXIII.
— Le philosophe cynique. Ses devoirs et son rôle dans l’humanité
LXIV.
— Sur ceux qui font des lectures publiques ou soutiennent des discussions pour le plaisir de se montrer
LXV.
— De la liberté. — La liberté pour les animaux. — La liberté pour l’homme. — Les compagnons de route du sage
LXVI.
— La vraie liberté. — Diogène et Socrate
LXVII.
— Ne s’oublier jamais
LXVIII.
— Contre les gens querelleurs et méchants. — La marque des monnaies et la marque des hommes. — La ville forte
LXIX.
— L’examen de conscience du courtisan
LXX.
— Comment on s’élève au-dessus de la crainte. — Les enfants et les gardes du tyran. — La distribution des raisins et des figues. — La véritable loi