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TABLE DES MATIÈRES.
Pages
XLVIII
— De la véritable beauté 
 130
XLIX
— Comment on doit apprendre la philosophie 
 132
L
— De ce qui sert de matière à l’homme de bien et du principal but de ses efforts 
 134
LI
— Contre ceux qui, au théâtre, donnent des marques inconvenantes de faveur 
 135
LII
— À un rhéteur qui s’en allait à Rome pour un procès 
 136
LIII
— Comment doit-on supporter les maladies ? 
 138
LIV
— « Ils viennent des dieux » 
 140
LV
— De l’exercice. — Comment on peut détruire en soi les mauvaises habitudes 
 141
LVI
— Qu’est-ce que c’est que l’abandon ? Et qu’est-ce qui est abandonné ? — La véritable paix. — La mort et l’immortalité 
 142
LVII
— Çà et là 
 144
LVIII
— Qu’il faut y regarder à deux fois avant de se laisser entraîner à une liaison 
 145
LIX
— Justification de la Providence 
 146
LX
— Il ne faut pas se troubler des nouvelles 
 147
LXI
— De l’homme ordinaire et du philosophe 
 148
LXII
— On peut tirer profit de toutes les choses extérieures. — L’erreur et le mal. — La baguette de Mercure 
 148
LXIII
— Le philosophe cynique. Ses devoirs et son rôle dans l’humanité 
 150
LXIV
— Sur ceux qui font des lectures publiques ou soutiennent des discussions pour le plaisir de se montrer 
 158
LXV
— De la liberté. — La liberté pour les animaux. — La liberté pour l’homme. — Les compagnons de route du sage 
 161
LXVI
— La vraie liberté. — Diogène et Socrate 
 168
LXVII
— Ne s’oublier jamais 
 171
LXVIII
— Contre les gens querelleurs et méchants. — La marque des monnaies et la marque des hommes. — La ville forte 
 171
LXIX
— L’examen de conscience du courtisan 
 174
LXX
— Comment on s’élève au-dessus de la crainte. — Les enfants et les gardes du tyran. — La distribution des raisins et des figues. — La véritable loi 
 175