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TABLE DES MATIÈRES.
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Les inégalités dépendantes de la seconde dimension, qui affectent le mouvement en latitude de la planète troublée, en introduisent d’analogues dans le mouvement de la planète perturbatrice. Ce sont les seules inégalités en latitude qui soient sensibles dans le système planétaire, parmi celles qui dépendent du produit des excentricités et des inclinaisons. N° 11 
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Chapitre II. — Inégalités dépendantes du carré de la force perturbatrice 
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Développements de leurs expressions analytiques données dans les n° 65 et 69 du Livre II. Elles résultent de l’influence que les inégalités à longue période ont sur les termes dépendants du carré des masses perturbatrices. Les variations des excentricités et des périhélies peuvent introduire de semblables inégalités dans les moyens mouvements ; mais on prouve que les termes dont ces inégalités se composent s’entre-détruisent d’eux-mêmes, d’où il suit que les moyens mouvements et les grands axes n’éprouvent aucune altération par l’effet des termes dont il sagit. N° 12 
 35
Variations des excentricités, des périhélies, des nœuds et des inclinaisons, dues à la seconde puissance des masses perturbatrices. N° 13 et 14 
 38 et 41
Ces variations n’altèrent point les relations trouvées dans le Livre II entre les éléments des orbites. N° 15 
 42
Examen des termes de l’ordre du carré des masses perturbatrices, qui ont une influence sensible sur les grandes inégalités de Jupiter et de Saturne. N° 16 
 48
Corrections qu’il faut introduire dans les moyens mouvements de ces deux planètes, en vertu de leurs grandes inégalités. N° 17 
 55
Les coefficients des inégalités des planètes varient à raison des variations séculaires des éléments des orbites. Manière d’y avoir égard. N° 18 
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Chapitre III. — Des perturbations dues à l’ellipticité du Soleil 
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Cette ellipticité donne à la planète un mouvement direct dans son périhélie, et aux nœuds de l’orbite sur le plan de l’équateur solaire, un mouvement rétrograde égal au précédent. Ces inégalités s’affaiblissent rapidement à mesure que la distance au Soleil augmente ; elles ne sont sensibles que pour Mercure. L’ellipticité du Soleil n’influant ni sur l’excentricité de l’orbite, ni sur son inclinaison, ne peut altérer la stabilité du système planétaire. N° 18 bis 
 59


Chapitre IV. — Des perturbations du mouvement des planètes par l’action de leurs satellites 
 62


Ces perturbations se déterminent par les théorèmes du n° 10 du Livre II. Leur grandeur dépend des masses des satellites par rapport à celle de la planète, et de leurs élongations vues du Soleil. Elles ne sont sensibles que dans la théorie de la Terre troublée par la Lune. N° 19 
 62


Chapitre V. — Considérations sur la partie elliptique du rayon vecteur et du mouvement des planètes N° 20 
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Chapitre VI. — Valeurs numériques des quantités qui entrent dans les expressions des inégalités planétaires 
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Valeurs des masses des planètes. Considérations d’après lesquelles elles ont été calculées. N° 21 
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