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TABLE DES MATIÈRES.
Et Jacob vint à Salem ville des Sichimites, et il acheta de Hémor, père de Sichem, une portion de terrain, au prix de cent agneaux ; et il y dressa un autel, et il invoqua le Dieu d’Israël. (Gen. XXXIII, 18, 20.)
Et il y établit un autel, et il donna à ce lieu le nom de Béthel car c’est là que Dieu lui était apparu, lorsqu’il fuyait de devant son frère Esau. (Gen. Xxxv, 7.)
Voici quelle était la famille de Jacob Joseph étant âgé de dix-sept ans, paissait les troupeaux avec ses frères. (Gen. XXXVII, 2.)
Et Juda vit la fille d’un Chananéen qui s’appelait Sava ; et il la prit et vint vers elle ; et elle conçut et enfanta un fils que l’on nomma Er. (Gen. XXXVIII, 2, 3.)
Et le gouverneur de la prison ne savait rien de ce qui se passait, grâce à Joseph.
Mais Joseph s’éloigna de la présence de Pharaon, et parcourut toute la terre d’Egypte et la terre donna des gerbes dans les sept années de fertilité et il recueillit autant de blé qu’il y a de sable dans la mer.
Et ils revinrent d’Egypte, et ils arrivèrent dans le pays de Chanaan auprès de Jacob, leur père, et ils lui firent leur rapport, disant : Ton fils Joseph est en vie, et il commande à toute la terre d’Egypte. Et Jacob demeura stupéfait, car il ne les croyait pas. (Gen. XLV, 25, 26.)
Le temps de la mort d’Israël approchait, il appela son fils Joseph et lui dit : Si j’ai trouvé grâce devant toi, place ta main sous ma cuisse, jurc-moi que tu me feras une faveur et que tu me tiendras parole : ne m’enterre point dans la terre d’Egypte. Je veux reposer à côté de nos pères ; tu me transporteras hors de l’Egypte, et tu m’enseveliras dans leur tombeau. Joseph répondit : J’accomplirai tes volontés. Jure-lemoi, dit Israël. Et il le jura Et Israël s’inclina profondément devant le bâton de commandement que portait Joseph. (Gen. XLVII, 29, 31.)
Israël dit à Joseph Voici que je meurs, et Dieu vous fera retourner de cette contrée au pays de vos pères. Je te donne de plus qu’à tes frères Sichem que j’ai prise avec mon glaive et mon arc. (Gen. XLVIII, 21, 22.)
DISCOURS SUR LA GENÈSE.
Pourquoi Dieu a dit en parlant du soleil, et de la lune, et du ciel, et des autres créatures : Qu’il soit fait ! et au contraire, en parlant de l’homme : Faisons ; et que signifie A notre image ? (Gen. 1, 3, 6, 26.)
Prononcé au commencement du carême sur ce verset : Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre (Gen. 1, 1) ; sur le jeûne et sur l’aumône.
Sur ces mots : A notre ressemblance (Gen. 1, 26) ; et pourquoi, malgré ce que Dieu nous a dit d’exercer notre empire sur les animaux, nous n’avons pas cet empire, et qu’il y a là une preuve de la grande sollicitude de Dieu à notre égard.
Que le péché a introduit trois espèces de servitude ; contre les auditeurs inattentifs, et ceux qui n’honorent pas leurs parents.
Que nous ne devons pas à Adam d’être punis, mais que nous lui devons des biens plus grands que les maux si nous voulons faire attention à notre salut : contre ceux qui négligent les pauvres.
De l’arbre du paradis. Est-ce de cet arbre qu’Adam a tiré la connaissance du bien et du mal, ou, même avant de manger du fruit, était-il doué de la faculté de faire ce discernement ? Réflexions sur le jeune ; il faut méditer à la maison, sur les paroles entendues dans l’église. (Gen. 11, 17 et suiv.)
