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TABLE DES CHAPITRES.

Chap. lxxvi. — Comment le roi Édouard manda à la roine sa femme qu’elle appassât la mer ; et comment le marquis de Juliers et sa compagnie, qui étoient allés devers l’empereur, s’en retournèrent.
68
Chap. lxxvii. — Comment le duc de Brabant envoya monseigneur Louis de Craneben par devers le roi de France pour lui excuser qu’il ne voulût croire nulle mauvaise information contre lui.
69
Chap. lxxviii. — Comment le roi d’Angleterre fit ses pourvéances en Angleterre pour passer la mer, et manda à ses alliés qu’ils vinssent à lui sans délai, sur la foi que promis lui avoient.
Ib.
Chap. lxxix. — Comment le roi d’Angleterre et ses alliés envoyèrent défier le roi de France ; et comment messire Gautier de Mauny cuida prendre Mortaigne, et comment il prit le châtel de Thun en Cambrésis.
70
Chap. lxxx. — Comment le roi de France se pourvut bien et grandement de gens d’armes et envoya grand’garnison au pays de Cambrésis ; et comment les Normands prirent Hantonne.
72
Chap. lxxxi. — Comment le roi d’Angleterre se partit de Malignes et s’en vint à Bruxelles parler au duc de Brabant et pour savoir quelle étoit son intention.
73
Chap. lxxxii. — Comment le roi d’Angleterre se partit de Haspre et s’en vint mettre le siége devant Cambray ; et comment le duc de Brabant y vint.
75
Chap. lxxxiii. — Comment le comte Guillaume de Hainaut vint à Cambray durant le siége et y livra un dur assaut contre ceux de la ville.
76
Chap. lxxxiv. — Comment le roi d’Angleterre défit son siège de Cambray et s’en vint vers le mont Saint-Martin pour entrer au royaume de France.
Ib.
Chap. lxxxv. — Comment le comte de Hainaut prit congé du roi d’Angleterre aussitôt qu’il entra au royaume de France ; et comment le roi de France envoya son connétable à Saint-Quentin pour garder la ville et la frontière.
77
Chap. lxxxvi. — Comment messire Jean de Hainaut et plusieurs autres grands seigneurs cuidèrent prendre Honnecourt ; et comment l’abbé et ceux de la ville s’y portèrent très vaillamment.
Ib.
Chap. lxxxvii. — Comment messire Jehan de Hainaut et ses compagnons se retrairent en leurs logis ; et comment le roi d’Angleterre ardit et ecilla le pays de Thierasche.
78
Chap. lxxxviii. — Comment la ville de Guise fut toute arse ; et comment ceux de Nouvion furent déconfits et tout leur avoir perdu.
79
Chap. lxxxix. — Comment le roi de France fit ses gens loger à Buironfosse pour là attendre le roi d’Angleterre ; et comment le comte de Hainaut s’en vint le servir.
80
Chap. xc. — Comment la journée fut prise et assignée entre les deux rois pour eux combattre.
Ib.
Chap. xci. — Comment le sire de Fagnoelles et le sire de Tupegny, Hainuyers, costioient l’ost des Anglois ; et comment le sire de Fagnoelles fut pris.
81
Chap. xcii. — Comment le roi d’Angleterre se traist sur les champs et ordonna ses batailles bien et faiticement ; et quels seigneurs il avoit en sa compagnie.
Ib.
Chap. xciii. — Comment le roi d’Angleterre confortoit doucement ses gens ; et comment le roi de France ordonna ses batailles, et comment la journée se passa sans bataille.
82
Chap. xciv. — Comment le roi de France donna congé à ses gens d’armes, et comment il envoya gens d’armes à Tournay en garnison et ès villes marchissant à l’Empire.
84
Chap. xcv. — Comment le roi d’Angleterre tint un grand parlement à Bruxelles ; et de la requête qu’il y fit aux Flamands.
Ib.
Chap. xcvi. — Comment le roi d’Angleterre enchargea les armes et le nom de roi de France par l’ennortement des Flamands.
85
Chap. xcvii. — Comment le roi Édouard s’en retourna en Angleterre et laissa pour garder Flandre le comte de Suffolch.
86
Chap. xcviii. — Comment messire Hue Kieret et ses compagnons conquirent grand avoir en Angleterre et la grand’nef qui s’appeloit Christophe ; et comment le roi commanda courir et ardoir la terre de messire Jean de Hainaut.
Ib.
Chap. xcix. — Comment ceux de Cambray et ceux de Thun-l’Êvêque se combattirent durement, et furent ceux de Thun-l’Évêque déconfits, et leur capitaine navré à mort.
87
Chap. c. — Comment le roi de France donna congé à ceux de Cambray de faire guerre au comte de Hainaut et comment ils prirent la ville de Haspre et l’ardirent toute et pillèrent.
88
Chap. ci. — Comment le comte de Hainaut assembla son parlement en la ville de Mons, et comment il envoya défier le roi de France.
90
Chap. cii. — Comment le comte de Hainaut s’en vint à tout son ost devant Aubenton où il eut moult dur assaut, et comment les Hainuyers gagnèrent les barrières.
90
Chap. ciii. — Comment la ville d’Aubenton fut prise et conquise par force et toute pillée et robée et arse, et tous ceux qui dedans étoient morts et pris.
91
Chap. civ. — Comment le comte de Hainaut donna congé à ses gens, et comment il monta sur mer pour aller en Angleterre.
92
Chap. cv. — Comment messire Jean de Hainaut mit bonne garnison de gens d’armes par toutes les forteresses de Hainaut marchissans au royaume de France.
93
Chap. cvi. — Comment le roi Philippe commanda au duc de Normandie son fils qu’il allât détruire le pays de Hainaut, et envoya le comte de Lisle en Gascogne son lieutenant.
Ib.
Chap. cvii. — Comment ceux de Tournay, de Lille et de Douay coururent jusques devant Courtray où ils prirent grand’proie de bêtes et tuèrent plusieurs hommes.
91
Chap. cviii. — Comment les comtes de Sallebrin et de Suffolch, qui alloient au secours des Flamands, furent pris de ceux de Lille et envoyés au roi de France.
Ib.
Chap. cix. — Comment le duc de Normandie fit très grand’assemblée de gens d’armes pour aller détruire tout le pays de Hainaut.
96
Chap. cx. — Comment le sénéchal de Hainaut fit une apperte escarmouche en l’ost du duc de Normandie, et comment les coureurs du duc ardirent plusieurs villes en Hainaut.
Ib.
Chap. cxi. — Comment le sire de Fauquemont atout cent lances se bouta en l’ost des François et en tua et prit plusieurs à prisonniers ; et comment quatre cents lances des François ardirent plusieurs villes et prirent la ville de Trith.
97
Chap. cxii. — Comment le duc de Normandie se partit de Castres et ardit plusieurs villes entre Cambray et Valenciennes et prit le château d’Escandeuvre.
99
Chap. cxiii. — Comment ceux de Douay et ceux de Lille issirent de leurs forteresses et ardirent tout le plat pays d’Ostrevant.
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Chap. cxiv. — Comment François et Hainuyers s’entrecouroïent sus les uns sur les autres, et comment le pays de Hainaut étoit eu grand’tribulation.
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