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Etienne-Gabriel Morelly - Code De La Nature.djvu/210
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Quelle éducation perpétue les erreurs de la morale
61
La plupart des législateurs ont rompu les liens de sociabilité, et occasionné, ou entretenu les suites fâcheuses de cette rupture
62
Pourquoi les lois de la nature sont devenues impraticables
63
DEUXIÈME PARTIE.
Défauts particuliers de la politique.
Preuves expérimentales de nos principes
65
État naturel des nations sauvages susceptibles des règles d’un très-sage gouvernement
66
Idée de la politique vulgaire, et courte réfutation de ses maximes
71
Combien les maximes de la politique vulgaire révoltent le bon sens
72
Objections contre la possibilité de notre système chez des nations qui n’auraient point encore reçu de lois
75
Réponses aux nouvelles preuves des succès qu’auraient des lois fondées sur la nature, chez des nations exemptes de nos préjugés
77
L’inclination même de l’homme pour le repos est le principe de l’activité
78
Véritable cause de la paresse
79
Digression sur les répétitions obstinées de quantité d’objections frivoles
80
Véritable origine des nations, et causes de la corruption des sentiments de sociabilité
81
Les législateurs n’ont corrigé aucun désordre
84
Pourquoi les lois devaient être faites
85
Vrai
medium
de toute démonstration politique ou morale, et cause première de tout désordre
86
Combien il était facile aux premiers législateurs de reconnaître les intentions de la nature, et d’y conformer leurs institutions
87
Combien des lois plus parfaites que les nôtres auraient eu de pouvoir
88
Fausseté des principes du droit civil et du droit des gens
89
L’esprit du christianisme rapprochait les hommes des lois de la nature
91
Pourquoi l’esprit du christianisme ne s’est point soutenu
92
Esprit monacal entièrement opposé aux lois de la nature
94
En quoi consistent la liberté et la dépendance
96
Faiblesse du pouvoir de nos maîtres les plus absolus
98