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la verdure dorée

Pages.

Que m’importent l’amour et les roses si tu 

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Quoi ! pourrais-je envier 

 71

Regarde. La glycine a jauni sur la porte 

 85

Regarde le jardin abandonné, le banc 

 73

Reste dans la coquille et dédaigne, escargot 

 175

Reste étendue encor sous la chaude verdure 

 188

Rouges coquelicots que le soir amoncelle 

 181

Si je dois ne jamais oublier les sentiers 

 57

Si tu as bu le vin suprême des idées 

 43

Six heures tombent de l’horloge 

 157

Soleil triste, mairie obscure, ô jours amers 

 240

Souffle ta lampe ! Le matin 

 66

Sur le toit noir et bleu que mon exil habite 

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T’en souviens-tu comme on écrit dans les romances 

 166

Terrible passion, voici que tu m’exiles 

 95

Tes bras ont une courbe adorable et malgré que 

 116

Tiède azur. Les bouvreuils s’éveillent dans les roses 

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Toi qui passes, foulant la neige de la rue 

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Toi, tu ris, tu te renverses 

 196

Triste, à côté du chien et du chat, j’ai chauffé 

 170

Tu me railles, mais j’aime un livre singulier 

 159

Tu n’aimes pas les vers, car tu es belle et dis 

 195

Tu ne crois plus aux beaux cheveux 

 211

Tu parus. Mais les doigts posés sur le loquet 

 22

Une pie de neige et d’ébène 

 145

Une pie noire et blanche en se posant sur un platane 

 258

Univers, bois, coteaux et les sources ! Je suis 

 151

Un visage, une phrase, un merle, ce fruit d’if 

 128

Va ! tu n’es qu’une femme, une fleur vide, rien 

 90

Vers la croisée et vers les roses du plafond 

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