Les Heures du soir (Verhaeren, 1922)

Émile Verhaeren

Les Heures du Soir

Mercure de France, 1922 (p. 195-197).

DES FLEURS FINES ET MOUSSEUSES COMME L’ÉCUME 

 133

S’IL ÉTAIT VRAI 

 135

LA GLYCINE EST FANÉE ET MORTE EST L’AUBÉPINE 

 137

METS TA CHAISE PRÈS DE LA MIENNE 

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SOIS-NOUS PROPICE ET CONSOLANTE ENCOR, LUMIÈRE 

 143

HÉLAS ! LES TEMPS SONT LOIN 

 145

LE SOIR TOMBE, LA LUNE EST D’OR 

 147

LORSQUE TA MAIN CONFIE 

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ET MAINTENANT QUE SONT TOMBÉS 

 151

QUAND LE CIEL ÉTOILÉ COUVRE NOTRE DEMEURE 

 155

AVEC LE MÊME AMOUR QUE TU ME FUS JADIS 

 157

LES FLEURS DU CLAIR ACCUEIL 

 159

LORSQUE S’ÉPAND SUR NOTRE SEUIL 

 161

SI LE SORT NOUS SAUVA DES BANALES ERREURS 

 163

NON, MON ÂME JAMAIS DE TOI NE S’EST LASSÉE 

 165

QUE NOUS SOMMES ENCORE HEUREUX 

 167

SUBIRONS NOUS, HÉLAS ! LE POIDS MORT DES ANNÉES 

 169

LES MENUS FAITS, LES MILLE RIENS 

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VIENS JUSQU’À NOTRE SEUIL RÉPANDRE 

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QUAND NOTRE JARDIN CLAIR 

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AVEC MES VIELLES MAINS 

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SI NOS CŒURS ONT BRÛLÉ EN DES JOURS EXALTANTS 

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ET CE RUGUEUX HIVER OÙ LE SOLEIL FLOTTANT 

 181

PEUT-ÊTRE 

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OH ! TES SI DOUCES MAINS 

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LORSQUE TU FERMERAS MES YEUX À LA LUMIÈRE 

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