LIVRE TROISIÈME

CHERCHONS CE QU’IL Y A DE VRAI DANS CETTE OPINION COMMUNE QUE L’ALGÉRIE EST UN PAYS FERTILE ET NATURELLEMENT TRÈS RICHE.


Non excogitandum, neque fingendum quid natura faciat aut ferat.
Bacon


La nature ne dépend ni des règlements administratifs, ni des fonds secrets, ni des prospectus financiers.
Moi.


Chapitre III. — La température envisagée du point de vue de la colonisation. — De la classification exacte, réelle, des régions d’un pays en régions chaudes, tempérées, froides, dépend le succès des cultures de colonisation 
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Chapitre IV. — Dès l’origine de la colonisation algérienne apparut la notion de l’Algérie pays chaud, notion qui dure encore. — Citations de Galibert. — Capitaine Rozet. — Bugeaud — « Revue des Deux Mondes ». — Vivien de Saint-Martin. — « Dictionnaire d’économie politique ». — Reclus. — Paul Leroy-Beaulieu. — Wahl. — « Figaro » 
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Chapitre V. — La notion de l’Algérie pays chaud est due à la science officielle. — Le danger des moyennes 
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Chapitre XI. — Le froid, le chaud, aggravés ou atténués par le degré hygrométrique. — Sur l’élément eau la vérité est connue. — Les compilateurs classiques la donnent. — Wahl. — Leroy-Beaulieu 
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Chapitre XIII. — La région marine 
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Chapitre XIV. — La région montagneuse 
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Chapitre XVII. — La qualité de la terre algérienne. — Les calamités irrégulières » fatalement « régulières » 
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Chapitre XVIII. — La mystification romaine. — En sont responsables nos bons auteurs qui travestissent la vérité historique en légende 
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