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E. Geoffroy Saint-Hilaire - Principes de philosophie zoologique - 1830.djvu/229
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225
TABLES.
Pages.
S’il n’est point de ganglions céphaliques que l’on puisse déterminer comme le cerveau des mollusques, on ne saurait s’appuyer d’une objection, qu’on fonderait sur les rapports de connexion de cet organe.
68
Les mollusques et à leur tête les céphalopodes, placés ayant d’être étudiés dans les derniers rangs de l’échelle des êtres, ont été remontés trop haut, et près les poissons, sur l’unique considération de leurs organes, où domine le système sanguin : il a fallu plus tard les faire descendre de plusieurs degrés, d’après l’infériorité de leur système nerveux.
70
La
Revue Encyclopédique
renferme plusieurs écrits destinés à faire connaître et à recommander la théorie des analogues.
78
Les systèmes sanguin et nerveux ne se développent point chez les mollusques sous le point de vue de leur quantité respective dans une raison directe proportionnelle, mais au contraire en raison inverse l’un à l’égard de l’autre. Cette relation alternative, au maximum de ses résultats, rend compte des grandes différences, ou autrement du large hiatus qui sépare certaines espèces de ces familles.
110
Il n’est point de ganglions nerveux que l’on doive, chez les insectes et les mollusques, déterminer et nommer leur
cerveau
.
112
Les élémens des deux sortes d’organes respiratoires existent ensemble, mais le plus souvent en quantité inégale chez tous les animaux.
132
Les parties organiques arrivent en nombre et se compliquent dans la série des âges, ou dans les progressions de l’échelle zoologique, selon l’ordre et en raison directe des divers degrés de l’organisation.
142