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NOTES

(24) P. 102. Archives, B19, fo 65.

(25) P. 102. Drake, 292.

(26) P. 103. On trouvera ce récit dans la plupart des chroniqueurs : Niles (229), Mather, Williamson, Pike. Parkman (367), Sylvester (II, 463) ; Champigny, lettre du 5 octobre 1692 ; Villebon, journal de 1691-1692. Les chroniqueurs anglais chiffrent les pertes par 50 tués et une centaine de prisonniers.

(27) P. 105. Mêmes références.

(28) P. 106. Arch. de Québec, Rapp. 1927-1928, p. 114.

(29) P. 106. Church, 213.

(30) P. 107. Afin de dramatiser, Godfrey (62) raconte au contraire, qu’ils ont été fusillés à Québec sous les yeux de Nelson.

(31) P. 107. Arch. de Québec, Rapp. 1927-1928, p. 135.

(32) P. 107. Williamson, I, 637.


CHAPITRE VI


(1) P. 108. Arch. de Québec, Rapp. 1927-1928, p. 114.

(2) P. 108. Ibid., 128.

(3) P. 109. Le Jeune, Iberville, 71.

(4) P. 110. Arch. de Québec, Rapp. 1927-1928, 155.

(5) P. 111. Niles, 232 et 233.

(6) P. 111. Niles, 234.

(7) P. 112. Arch. de Québec, Rapp. 1923-1924, 97.

(8) P. 112. Ibid, 91.

Lamothe-Cadillac ne se trompe que sur l’incident de la hache à la mer. C’est le traité de novembre 1691 qui avait été signé sur l’eau.

(9) P. 112. Arch. de Québec, Rapp. 1927-1928, 185 et 156.

(10) P. 113. Ibid., 130 et 175.

(11) P. 114. Ibid., 175.

(12) P. 114. Journal de Villebon, Arch. nationales, C11 D2 fo 264.

D’après Bacqueville (189-190), Villebon avait fait savoir à Frontenac que les pourparlers de paix des Abénaquis n’avaient pour but que d’obtenir des marchandises. La paix était toujours conditionnelle chez eux, ajoute-t-il. « C’est assez le caractère des sauvages d’en agir de même ; ils s’accommodent au temps selon leurs vues et l’état de leurs affaires ». Il reconnaît que la paix fut signée ; les sauvages voulaient échanger les prisonniers, mais, surtout, s’approvisionner. « L’Abénaqui donnait dans ce qui lui convenait le plus. Ils assurèrent cependant qu’il n’y aurait point de faiblesse de leur côté, et qu’ils recommenceraient la guerre plus que jamais au printemps prochain ”.